LEVINSTON, Clarisse Tallula ♠ [ TERMINEE ]

© Sarah

LEVINSTON, Clarisse Tallula

SURNOM(S) ; La plupart de ses connaissances ne donnent pas de surnom à Tallula, elle n'aime pas ça et ne l'accepterait donc pas. Cependant ses plus proches amis l'appellent Tally.
ÂGE ; 151 ans
DATE & LIEU DE NAISSANCE ; 30 juin 1901 à Austin (Texas)
SITUATION (célibataire/marié, etc.) ; Compliqué
GROUPE ; Vampire sanguinaire
~~DON~~ ; Illusionnisme
Spoiler:
AVATAR ; Amber Heard

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© Sarah

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BEHIND THE SCREEN

PRÉNOM/SURNOM ; Mina
ÂGE ; 18 ans
EXEMPLE RP ;
Spoiler:
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Spoiler:

EVERYBODY HAS HIS STORY ; AND YOURS ?

. n a i s s a n c e .

1901, Austin.

C'était une nuit étrange, une nuit qui ne présageait rien de bon. Il faisait sombre, trop sombre pour une nuit de printemps. Puis il y avait ce vent, il soufflait si fort qu'on se demandait si les habitacles allaient tenir.
Chez les Levinston, famille assez noble du Texas c'était l'angoisse totale. Kimberly la femme de Jackson Levinston était assez agitée, enceinte de sept mois cette dernière commençait à avoir ses premières contractions. Leur gens ne cessaient d'appeler le médecin seulement avec ce vent il était difficile pour lui de se rendre rapidement à la résidence des futurs parents. Monsieur Levinston commençait à s'impatienter et quand le médecin arriva enfin il le lui fit savoir. N'ayant pas le temps de s'attarder sur ce genre de niaiseries et mettant cela sur le compte du stress, le docteur se pressa de rejoindre Kimberly qui se trouvait dans la chambre conjugale.
Le temps paraissait tellement long pour Jackson, il se demandait pourquoi cela prenait autant de temps. Il s'inquiétait pour sa femme et leur futur enfant. Était-ce une fille ? ou peut-être un garçon ? Peu lui importé du sexe de l'enfant, lui et sa femme avaient attendus si longtemps l'heureux évènement qu'il ne serait pas exigeant. Il accepterait ce que Dieu lui avait donné. Il entendait des cris, ceux de sa bien aimée mélangés à ceux si purs qui ne pouvaient provenir que du nourrisson. Il s'impatientait mais prit sur lui. Tout à coup la porte s'ouvrit.
« Félicitions Monsieur, vous êtes l'heureux papa de magnifiques enfants! »

'De magnifiques enfants' que signifiait cela ? Il y en avait plusieurs ? Jackson était ravi, il s'empressa donc de rejoindre Kimberly afin de pouvoir admirer ses chefs d'œuvres... ses bébés.

C'est donc en cette nuit de juin 1901 qui ne présageait pourtant rien de bon pour la ville, que naquirent Clarisse Tallula et Jude Chace Levinston.

. e n f a n c e .
« Nanou le temps ne changera rien, bien au contraire... »

Cher journal,

Voilà déjà presque trois ans que Tally et Judy sont nés. Je me rappelle encore à quel point Monsieur et Madame Levinston étaient heureux en ce jour de juin 1401. Seulement depuis les choses ont bien changés. La famille Levinston est ruinée. Monsieur Levinston a investit dans une usine de textile texane qui a fait faillite juste après la naissance des jumeaux. Beaucoup de leurs gens ont été congédiés après cela, ils n'avaient plus les moyens de les payer. Seul Katia et moi avons été gardées. Ils ont bien trop besoin de nous pour faire 'tourner' leur résidence. En parlant de la résidence une vente est prévue dans quelques jours, nous ne savons pas où nous allons vivre. J'ai proposé à mon maître d'aller vivre dans l'ancienne ferme de mes parents qui est aujourd'hui abandonnée. Elle se trouve en France dans un petit village. Il m'a dit qu'il allait y réfléchir mais que c'était gentil de ma part de le proposer.

Extrait du journal de Elena Marie Martin (nourrice de Tallula et Jude), Mai 1904.

Cher journal,

Monsieur Levinston a accepté ma proposition. En ce moment même Tallula et Jude sont là avec moi dans la pièce qui a l'époque était ma chambre. Aujourd'hui c'est la leur. Elle n'a rien avoir avec la chambre qu'ils avaient à la résidence mais ils ne se plaignent pas, en fait ils ne s'en plaignent pas. Ils sont si agréables. Aucuns caprices, ce qui n'empêchent pas à leur père de s'énerver sur les enfants. Je commence à m'inquiéter pour eux surtout que mes maîtres commencent à boire, boire beaucoup, beaucoup trop en vue de leur faibles revenus.
L'autre jour, je me suis permise de le signaler à Madame Levinston et elle m'a tout bonnement répondue de 'me mêler de mes affaires'. Seulement ce sont mes affaires, ils sont chez moi et ne peuvent plus me payer mes heures de nourrice. Je ne sais pas quoi faire. Les jumeaux ne méritent pas que je les abandonne mais pourtant je n'ai qu'une seule envie : mettre dehors mes maîtres.

Extrait du journal de Elena Marie Martin (nourrice de Tallula et Jude), Juin 1905.

Cher journal,

Je suis outrée, en faisant la toilette des jumeaux j'ai découvert plusieurs hématomes ainsi que des traces qui sont certainement issues de coups de ceinture. Jane est si frêle, pourtant elle ne se plaint pas. Elle a maintenant 6 ans, c'est devenue une très jolie petite fille. Savoir ce qu'elle subit avec son frère me fend le cœur. Après cette découverte j'ai proposé à Jackson et Kimberly (qui ne sont plus mes maîtres mais des colocataires) de me laisser les enfants et de partir. Jackson a refusé pourtant Kimberly elle, semble penser que c'est une assez bonne idée. Seulement l'alcool les ronge l'un comme l'autre, Kimberly devient une femme faible tandis que Jackson devient violent. Je ne sais plus quoi faire. La situation se dégrade tellement avec le temps...

Extrait du journal de Elena Marie Martin (nourrice de Tallula et Jude), Juillet 1907.

Cher journal,

J'ai enfin prévenu les autorités, Tallula et Jude étaient devenus pires que des enfants battus. Comme j'ai pu le répéter à de nombreuses fois le temps ne faisait qu'aggraver les choses. J'avais trop attendu et il était temps pour moi de réagir, je ne pouvais vivre plus longtemps avec cela sur la conscience. Les seuls gestes d'amour qu'avaient les enfants venaient de moi. Kimberly était devenue une épave, je ne la comprendrais jamais... Elle a eu plus de mal à perdre son argent que ses enfants. Elle avait tout pour être heureuse, mis à part l'argent certes mais ce n'est pas le plus important! L'amour de ses enfants aurait dû lui suffire. C'en est de même pour Jude, enfin seulement pour la forme car lui est bien pire. Il battait ses pauvres enfants qui faisaient pourtant tout pour ne pas effriter leur père qu'ils aimaient tant. Aujourd'hui Tally et Judy sont meurtris, et cela en partie à cause de moi. Je leur ai dis Adieu et leur souhaite d'être heureux, du moins aussi heureux que peuvent l'être deux enfants battus qui vont maintenant être élevés dans un orphelinat américain.

Extrait du journal de Elena Marie Martin (nourrice de Tallula et Jude), Juin 1909.

. a d o l e s c e n c e .

Seize ans et trois cent soixante-trois jours. Dans à peine quelques heures ça allait être notre anniversaire et aussi le jour de notre liberté. J'avais tout prévu avec Jude, nous étions déterminés. Nous ne savions pas très bien si tout irait comme nous l'avions imaginés mais ce que nous savions c'est que nous devions au moins essayer, ça ne pouvait plus durer. J'étais allongée sur mon lit, me demandant pourquoi lui et moi avions choisi cette journée pour mettre notre plan à exécution. Car avouons-le même si là où nous étions les anniversaires n'étaient pas souhaités, Franck risquerait de venir me le souhaiter... à sa manière. Franck... rien que penser à lui me donnait la nausée. Comment pouvait-il exister en ce monde aussi cruel homme ? J'en arrivais à me demander si après tout, tous les hommes n'étaient-ils pas des monstres. Sauf Jude bien entendu. Après tout mon père m'avait battu, et les seuls hommes que je côtoyais ici étaient tous violents aussi bien avec moi qu'avec les autres enfants. Le problème ne pouvait donc pas venir de moi même si pendant fort longtemps c'est ce que j'avais cru cependant Jude avait réussi à m'en dissuader. A tel point que aujourd'hui je haïssais tellement les hommes, que Jude c'était rendu compte que le mieux pour moi était de partir d'ici avant de tuer un des gardiens, avant de tuer Franck. Car oui Franck était l'homme le plus haïssable car il était violent d'une toute autre manière que les autres de ses très chers collègues...

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1909

Je me promenais dans les couloirs comme à mon habitude, voilà quelques jours que nous étions ici. Nous avions huit ans Jude et moi et Elena avait décidé qu'il était temps de nous éloigner de nos ivres de parents. A l'époque je lui en étais un peu reconnaissante. Dans un sens même si je m'y étais fait je n'allais plus souffrir, mon père ne nous bâterait plus moi et mon frère. Dans un autre cela signifiait que nous allions nous retrouver loin d'elle, elle qui avait prise dans mon cœur la place de substitut de mère. J'avais donc un peu l'impression qu'elle nous abandonnait et même si Jude disait le contraire c'était un peu le cas pour lui, j'en étais certaine. Enfin voilà je me promenais donc dans les couloirs et commençais peu à peu à m'habituer à ce nouvel environnemen, lorsque tout à coup j'entendis un cri. Ma curiosité l'emporta sur mon instinct qui me disait pourtant que je ferais mieux de continuer à avancer en faisant comme si de rien n'était. Mais j'étais depuis toute jeune de ces personnes pour qui la curiosité l'emporte sur beaucoup. C'est donc pour cela que je me retrouvais face à cette porte et que je l'avais lentement entrouverte. A peine la lumière s'était elle dissipée afin de laisser place à la vue de ce petit garçon qui se faisait battre par un des gardiens que j'avais su qu'une fois encore j'aurais dû écouter mon instinct. Tétanisée, alors qu'à cette vue je revoyais mon père se déchainer sur mon frère, un cri d'horreur sortit alors de mes lèvres. Le gardien arriva alors très vite vers moi et s'était emparé de mon bras, me secouant quelque peu avant de s'écrier qu'il valait mieux que je déguerpisse avant que ce soit à mon tour. Ce que j'avais fait bien entendu.

Et alors que j'essayais les joues humides et les yeux troublés par les larmes, de retrouver Jude dans ce qui lui servait de dortoir, j'étais tombée sur Franck. Il était le gardien le plus gentil. Si gentil qu'il était aimé par tous les garçons. Tandis que les filles le craignait. Jusqu'alors je ne savais pas très bien pourquoi et au final n'avait pas réellement envie de le savoir. Et alors qu'il m'avait arrêté me demandant de sa voix douce et réconfortante ce qu'il se passait et qu'entre deux sanglots je lui avais dit ce que j'avais vu, il avait affiché un air embêté. Il m'avait alors demandé de le suivre pour en parler au directeur, ayant plus ou moins confiance en lui j'avais obéit. Malheureusement sans que je n'ai le temps de comprendre quoi que ce soit je m'étais retrouvée dans sa chambre, j'avais étrangement de suite su que quelque chose cloché et encore plus lorsqu'il avait passée sa main sur ma cuisse. Je le regardais alors intriguée mais toujours aussi muette. Après cela il avait déboutonnée ma robe et j'avais alors fermée les yeux, si fort que je voyais des lumières étranges sous mes paupières. Puis tout doucement je l'avais sentie se poser sur moi alors que ses mains se baladaient entre mes jambes. Pas besoin d'en savoir plus pour deviner ce qu'il s'était passé...

Nous étions en 1409, j'avais un peu plus de 8 ans, j'étais nue dans une pièce qui était devenue en à peine quelques minutes mon enfer sur terre et au delà de perdre ma virginité je venais de perdre foi. Foi en ce monde.

1917

Après cela, j'allais plus que mal. Jude essayait toujours de savoir ce qu'il se passait et pourquoi j'étais devenue cette petite fille renfermée, cependant je n'arrivais pas à le lui dire. Jusqu'au jour où il m'avait retrouvée entrain de préparer un de mes nombreux mauvais coups à un gardien. Au début j'étais soft mais cette fois je voulais taper fort et ma proie était justement Franck. Depuis quelques temps au delà de m'utiliser comme son objet sexuel, il commençait à lever la main sur Jude. Il n'en avait pas fallut plus pour que je décide de le punir. J'étais partie dans le sous-sol, dans cette pièce où ils rangeaient tous les produits ménagers et autres et m'étais alors emparée de l'acide sulfurique, quoi de mieux pour venger mon frère ? Cependant Jude qui me trouvait étrange ces derniers temps m'avait suivi et lorsqu'il était entré dans le sous-sol il m'avait alors questionné. Au début je baissais les yeux et restait muette jusqu'à ce qu'il me dise qu'il me comprenait plus, qu'il avait l'impression de ne plus me connaître. C'est alors que je m'étais effondrée au sol, totalement en sanglots et qu'après avoir repris mes esprits je lui avais tout expliqué.

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C'est ainsi que Jude et moi avions pris la décision de partir. Pour nos seize ans juste pour un aspect symbolique, pour que tous le reste de notre vie nous savons qu'à partir de nos seize ans nous étions libres. Enfin. Au début cela m'avait parut fou, puis au plus j'y réfléchissais alors que je me trouvais sur ce lit non confortable qui sentait le vieux, au plus cela me paraissait être une bonne idée.

23h30, même jour.

Enfin. Dans quelques heures nous serions libres. J'attendais que Jude me rejoigne, j'étais dans ma chambre et d'ici quelques secondes il serait là. Du moins normalement. Je faisais les quatre cents tours dans ma chambre lorsque la porte s'ouvrit. Je laissais échapper un soupir jusqu'à ce que j'aperçus Franck. Normalement il ne passait que vers minuit... Pourquoi le hasard faisait qu'il en était autrement ce soir ? Il s'approcha alors de moi et me souffla « Alors on m'attendait avec impatience beauté ? » mon tempérament fit que ça me démangeait de déposer mon poing sur sa joue crasseuse mais je ne pouvais pas, je risquais de me retrouver au trou et cela empêcherait notre évasion. Je serrais donc les dents et me résigna à le laisser. Il s'était alors jeté sur moi comme un lion se jetait sur sa proie. Et alors que je répétais l'alphabet dans ma tête, je le sentis tout à coup tomber à mes pieds. J'ouvris alors les yeux et j'aperçus Jude, qui affichait un air choqué. Il venait d'assommer Franck... Puis lorsque le monstre reprit enfin ses esprits Jude lui lança un « Jamais plus tu ne la toucheras salop ! » avant de lui taper sur la tête avec un morceau de bois qui provenait de je ne sais où. Plus tard, Jude m'expliquera qu'il avait vu Franck se diriger vers ma chambre et qu'il avait préméditer de le tuer.

. r e n a i s s a n c e .
« Le dernier jour ... »
1921, Paris.

A nos âmes dans la nuit, le dernier jour est arrivé .A nos âmes dans l'oubli, juste un dernier jour accordé. A nos larmes dans le gris, le dernier jour est arrivé... ♪

Voilà quatre ans que nous étions partis, je commençais à vivre à peu près normalement. Aucune relation sérieuse en vue bien que les garçons intéressés ne manquent pas. Je suis jeune, blonde et selon beaucoup... Jolie. Cela n'est pourtant en rien une priorité pour moi, je suis de celles que l'on nomme : filles naturelles. Pas de superflus, rien qui puisse faire paraitre à un homme que je suis en quête de quoi que ce soit. Du moins de quelques chose qu'il puisse pour moi car je suis bel et bien en quête, en quête de reconstruction. Je vais mieux, Jude va mieux. Cependant au fond de moi une partie manque, je suis comme un puzzle auquel il manquerait quelques pièces. Rien n'a de sens dans ce monde que je hais la plupart du temps. Jusqu'au jour où je rencontre la nouvelle copine de Jude. Une belle fille certes mais au delà de cela une fille intelligente, c'est d'ailleurs ce qui me plait de suite chez elle. Nous passons beaucoup de temps toutes les deux, à tel point que parfois je perçois en Jude un peu de jalousie. Puis un soir Jude me dit qu'Aby est bizarre depuis qu'il a essayé de concrétiser. Je dis qu'il ne doit pas la brusquer et il me demande tout de même d'essayer d'en savoir plus. Nous en parlons et je m'aperçois aussi qu'elle réagit étrangement, j'abrège donc la conversation me disant qu'elle a peut-être vécut des choses difficiles avec d'autres hommes. Nous discutons puis quelques jours plus tard je passe les voir, ils ont l'air en froid. Je me demande ce qu'il se passe et alors que Jude essuie la vaisselle il se coupe. En à peine un clignement, Aby se retrouve aux côtés de Jude les crocs plantés dans son cou. Un cri strident m'échappa alors et voilà qu'elle se jetait sur moi.

. v a m p i r e m e n t . t a l l y .

1922 à nos jours, 2052.

Depuis ce jour je suis ce qu'on appelle : vampire. J'en ai d'abord voulu à Jude puis j'ai finalement compris que je m'étais faite avoir comme lui. Après tout comment pouvions-nous savoir ce qu'elle était ? Depuis plus d'un siècle je vis aux côtés de mon jumeau. Il ne cesse de me répéter que je suis devenue une séductrice invétérée, qui l'eut cru ? En fait mon truc c'est de boire le sang de mes conquêtes, toujours des hommes. La seule relation saine que j'ai pu avoir été avec Lena, une vampire que j'ai rencontrée en Amérique après avoir quittée Paris. J'étais nouvelle née et je n'avais pour seul repère Jude. Lena m'a aidé à me contrôler, à développer mon don et à comprendre réellement ce que j'étais. Malheureusement ça n'a pas fonctionné et Jude et moi l'avons quittés quelques décénnis plus tard pour nous rendre en Italie. Lena m'avait parlé de cette famille connue sous le nom de Volturi. J'ai de suite voulu les connaître même si Jude m'a fortement déconseillé de m'y rendre. Apeuré de me laisser me rendre seule face à cette famille considérée comme royale, il a décidé de m'y accompagner. Une fois à Volterra, j'ai rencontré les Volturi et j'ai appris à connaître plus particulièrement Demetri avec qui j'ai vécut une relation très physique. J'ai fini par les quitter afin de retourner en Amérique gardant le même rythme de vie.

Par la suite j'ai rencontré Alexander, un vampire extrêmement séducteur... Nous avons joué à un petit jeu, jusqu'à ce que nous soyons tous les deux pris à notre propre piège. En effet il a commencé à s'attacher un peu trop, j'ai pris peur et suis partie. C'est pourquoi j'ai décidé après cela de retrouver Demetri. En chemin Jude a voulu que nous nous arrêtions en Allemagne, car il avait entendu que Aby s'y trouvait. C'est lors de cet arrêt que j'ai rencontré Adam. Il se trouvait dans un petit hangar allemand. La situation dans laquelle je me trouvais et ces hommes qui le retenaient prisonniers et qui m'ont de suite rappeler les gardiens de la pension, fait que je me suis retrouvée dans une rage folle et les ai tués. Et lorsque je suis arrivé face à Adam, il m'a étrangement attendrie et au lieu de le tuer alors qu'il se trouvait être très faible, je l'ai transformé. Après sa transformation j'ai décidé qu'il valait le garder avec Jude et moi, du moins un moment. La reconnaissance qu'il avait envers moi pour l'avoir libéré de ces hommes et mon charme indéniable font qu'il a accepté de nous suivre. Étrangement il m'a toujours résisté, et encore plus étrange cela ne m'a jamais réellement offusqué. Ce garçon inspirait en moi un besoin de le protéger, ni plus ni moins. Un peu comme mon besoin de protéger Jude. Jude qui lui n'avait finalement pas retrouvée Aby... Après cela nous finîmes par rejoindre enfin, Volterra où j'ai retrouvé Demetri qui n'a malheureusement pas su me faire oublier Alexander. Il m'a finalement demandé de passer à Fort Smith pour surveiller les Denali et les Cullen, lorsque j'ai décidé de les quitter à nouveau. J'ai bien entendu accepté et voilà comment je me suis retrouvé dans cette petite ville, où il est très, trop difficile de se nourrir, avec Jude et Adam. En arrivant nous avons rencontrés Samuel, Jack et Noah avec qui nous avons décidés de louer un petit château à Fort Smith. Je ne sais pas encore réellement si je peux leur confiance ou pas, cependant Jude m'a convaincue et pour le moment je les accepte en attendant de les découvrir ou d'enfin pouvoir partir...

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Amber Heard ! Love Love Love ! Très bon choix d'avatar !

Bienvenue sur Blood's Fished et bonne continuation pour ta fiche ainsi que ton test rp' :) :001:

Re-bienvenue ma chérie

Bonne chance pour ton histoire. Je suis sure que Tallula va déchirer la baraque :004:

Merci mes choupettes en sucre

/me fait une :004: ² à mi amoooooor parce qu'à chaque fois elle se rend pas compte des DC ! XD
Tu vas finir par être parano et vérifier à chaque fois l'IP des nouveaux membres si on continue (aa)

Sinon ma Lirose ouép et il nous faudra unlienquituetoutmêmelamortelle-même #zbaff#