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 Face aux conséquences... | Douglas&Lirose

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Lirose Denali

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MessageSujet: Face aux conséquences... | Douglas&Lirose   Face aux conséquences... | Douglas&Lirose Icon_minitimeSam 18 Déc - 19:35

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Face aux conséquences...

"Il y a certaines choses qui sont comme ça. Il ne faut pas chercher à les comprendre où les expliquer. Il ne faut pas chercher à les changer ou à les éviter. Elles sont ainsi éternelles comme la vie et le temps. Mon amour pour toi fait parti de ses choses."


Ma main courrait sur le papier, telle une danseuse qui jamais ne s'arrêterait. Elle était dans un ballet bien orchestrer, entrainer par une musique récente et dynamique. Chaque mouvement était en continuité avec le précèdent et s'ouvrait sur le suivant. Elle virevoltait au dessus de la feuille se posant toujours exactement où je voulais et ne faisant aucun faux pas. Voilà ce qui la différenciait de la danseuse. Ma main sur la papier était infaillible, ou presque, alors que la danseuse, simple humaine, pouvait à tout moment chuté, prendre l'équilibre ou plus simplement commettre un faux pas. Ma main ne pouvait pas. Même quand je regardais ailleurs, même quand je ne me concentrais pas sur mon dessin, ma main faisait sa mission avec perfection. Ne prenez pas cela pour de la non-modestie ou de la vantardise. Ce n'était que la simple vérité. Je dessinais depuis tellement longtemps que cela n'était pas si étonnant. J'avais plus de neuf siècles d'entrainement derrière moi et j'étais un vampire. Mes sens, ma perception des choses, ma précision d'éternelle m'aidaient grandement là dedans. C'était la pure vérité. Je dessinais bien et c'était devenu un sorte d'habitude quand j'avais quelque chose pour écrire dans les mains de laisser mon stylo tracer sur le papier de jolis dessins sans vraiment les regarder ou y mettre un soin particulier. D'ailleurs, j'avais pris pour habitude de ne pas regarder ce que je dessinais et c'était ce que j'étais en train de faire. J'avais les yeux posé sur ma table à manger et je me disais qu'il faudrait un jour que je la range. C'était la bazzar depuis quelques jours. Ni Robin ni moi n'avions pour habitude de directement ranger les choses à leur places alors des babioles, feuilles volantes et autres trainaient dans tout les coins. Et avec l'approche de la rentrée des notes, des feuilles de cours, des listes d'élèves s'étaient accumulées sur la table. Bref, un bordel magnifique qui allait pas se ranger seule et me prendre du temps. Beaucoup moins de temps que si j'avais été un humain mais du temps quand même et puis l'idée de ranger quelque chose m'embêter royalement. Je rangeais mes partitions, mes dessins, photos et peintures mais le reste généralement c'était le dawah totale et j'aimais ça. Bien sur quand je cherchais un habit en particulier cela pouvait me prendre beaucoup de temps mais j'avais rarement une idée précise de ce que j'allais mettre alors cela tombait à pic parce que j'aurais pas le courage de chercher tout les jours parmi mes vêtement celui que je voulais mettre.

Mes yeux se posèrent sur la feuille et je sentis mon coeur se serrait. J'aurais été humaine les larmes me seraient montées aux yeux. Mais je savais que mon expression parlait pour moi. Il faut dire que j'avais de quoi être perturbée, par ma propre faute encore une fois. Je reconnaissais ce dessins. Ce n'était pas la première fois que ma main dessinait cela et jamais, au grand jamais, je ne l'oublierait. Je passais une main dans mes cheveux alors que l'autre déposais doucement le crayon à côté de moi. Un sourire triste s'étira sur mon visage quand je lisais le nom que j'avais tracé sur le papier. Douglas... Pourquoi est-ce qu'il m'obsédait à ce point là dernièrement ? Tous les jours, depuis que je le connaissais, je pensais à lui, tous les jours, toutes les heures... Il ne quittait jamais réellement mes pensées, bien que j'avais admirablement bien appris à le dissimuler dedans pour chasser les curieux. Il était toujours là, près de mon coeur. Alors que moi je l'avais laissé, je lui avais fait croire que cette place dans mon coeur n'était pas pour lui. Mais je l'aimais, je l'aimais tellement. Et le savoir dans cette ville où je vivais me tuer. Cela me tuait de savoir qu'il était là et que je ne le voyais pas encore. Ca me tuait de me savoir si près de lui sans le voir, le serrer dans mes bras. Ca me mangeait de l'intérieur. J'en dormais plus la nuit, enfin je dormais jamais mais là mes nuits, moment habituel de calme et de repos, étaient agitées de questions, d'interrogations et de remords. Pourquoi étais-je parti loin de toi mon Douglas ? Mes doigts caressèrent le papier doucement et mes lèvres formèrent doucement les mots que mon coeur ne voulaient avouer. Douglas je t'aime J'avais pris l'habitude de faire ce genre de chose à Volterra il y a maintenant cent ans, et cette habitude n'avait, semble-t-il pas totalement disparue. Etait-ce de le savoir si près de moi qui faisait remontait à la surface ce type d'habitude ? Je n'en savais rien.

Abandonnant l'idée de trouver une réponse à cette question, je me levais doucement et comme à mon ancienne habitude j'allais poser mon dessins sur mon oreiller. Bien en évidence là où je savais que n'importe qui pourrait le voir mais c'était comme ça alors je n'allais pas changer mes habitudes. Rapidement j'enfilais une veste par dessus mon débardeur et mon short. Et pied nue, je sortais dehors. Je commençais à avoir soif, terriblement soif alors il fallait régler cela. Un vampire contrôlait pas sa soif devenait dangereux, très dangereux. Que ce soit un végétarien ou pas. Un non végétarien n'hésiterait pas longtemps, et tuerait le premier humaine qui lui passerait sous la main. Un végétarien aurait essayé de se retenir mais il n'en était pas moins dangereux. Ce type de vampire se fondent dans la masse et le jour où ils craquent... Les conséquences seraient désastreuse pour le pauvre humain qui serait là. Mais je n'étais pas de ces vampires là. J'étais un cas à part et je le savais. J'étais la seule végétarienne à l'être non par dégout de sa condition de vampire suceur de sang, bien que je n'aimais pas l'idée, mais parce que je ne trouvais pas le goût et l'odeur de l'humain agréable. Je souris tout en partant vers la forêt en courant. J'aimais courir et rapidement un éclat de rire s'échappa de ma gorge. La sensation du sol défilant sous mes pieds, du vent sur mon visage, du paysage qui courrait au tour de moi... tout cela était un tel bonheur à l'état pur. J'étais de nouveau sauvage à chaque fois que je partais à la chasse, le pied léger. D'ailleurs celle-ci fut fructueuse même si je vous dispenserez des détails là dessus. Comment toujours je m'étais mis un peu de terre partout et du sang sur le visage. Mais bon je ne m'en étais mis que là alors je pouvais être fière de moi non ? Je sortis un mouchoir de ma poche et m'essuyais le visage. J'avais encore un peu soif, rien de bien dérangeant, mais pourquoi rentrer maintenant à la maison ? J'avais personne qui m'y attendait. Et puis si Robin ne me trouvait pas en rentrant il ne serait pas inquiet puisqu'il me connaissait bien.

Je me promenait dans la forêt, remarquant son calme paisible. Il me faisait du bien, me détendait. Je sentais mes muscles se contracter et se relâcher sous ma peau à chaque mouvement et je laissais mes sens se faire inhaler par la forêt. J'étais bien là. Je laissais mes doigts courir sur le bois des arbres. Je me sentais bien et mes problèmes de tout à l'heure me laissaient en paix. Ils étaient toujours là mais je me sentais mieux... Soudain, je sentis quelque chose. C'était une odeur fugace comme si elle n'était pas vraiment là et que c'était mon esprit qui venait de l'inventer. Mais pourtant je la savais bien réelle. Je fermais les yeux, cherchant ce qu'elle était. Mais elle s'était déjà en allée. Je soupirais doucement, un peu déçue de ne pas savoir pourquoi cette odeur avait attirée mon attention quand j'entendis un bruit de branche cachée. Ce fut le dé-clique. Odeur, vampire ! IL y avait un vampire ici. Un bruit aussi fugace mais aussi proche ne pouvait venir d'un animal ou d'un humain, il n'y avait que les vampires qui pouvaient faire cela. Et puis cette odeur, si elle me disait quelque chose cela devait être par sa composition d'odeur vampirique que l'on distinguait aisément de celle des humains. Et je n'entendais pas de bruit de respiration ou même de coeur qui bat. Ma position changea tout de suite. Je pliais légèrement les genoux, serrais les poings. J'étais sur la défensive, pas de doute. Pourtant quand ma voix s'éleva elle était calme. Robin ? Cette odeur était une odeur masculine alors j'avais tenté le tout pour le tout. Mais je savais qu'elle n'appartenait pas à mon fils. Je voulais juste ma rassurer. Un autre bruit, cela venait de derrière moi. Je pivotais sur mes pieds et je faillis tomber à la renverse sous le choc. Ce n'était pas mon fils, loin de là même. Je sentis ma bouche formé ce « o » de quand j'étais surprise. Je sentis mes yeux s'embrumer. Je ne savais pas, je ne savais plus. Il y a quelques heures à peine je pensais à lui et maintenant il était là. La mort de ma soeur me traversa l'esprit mais elle n'arriva pas à me mettre en colère. Une seule chose restait : il était là. Douglas... J'avais murmuré mais je savais qu'il m'avait entendu, qu'il avait entendu ses intonations de supplications dans ma voix. Douglas, j'avais tellement besoin de lui. Je réprimais mon envie de juste aller me blottir dans ses bras mais je n'arrivais pas à m'empêcher de faire quelques pas dans sa direction. Douglas. J'avais parlé plus fort ce coup-ci. Un doux sourire amoureux se peint sur mon visage alors que je retenais ce « je t'aime » qui me brûlait la langue. Doucement je tendis ma main vers lui. Espoir. Mais allait-il l'attraper ?
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Venezia M. Morianty

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MessageSujet: Re: Face aux conséquences... | Douglas&Lirose   Face aux conséquences... | Douglas&Lirose Icon_minitimeMer 22 Déc - 22:59



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face aux conséquences ...
with Lirose Denali.



    Trois jours. Voilà trois jours que j'étais à nouveau à Fort Smith, et cela faisait déjà trois jours que je me torturais l'esprit quand à savoir si je devais aller voir ou non celle qui était autrefois ma bien aimée, ma promise. Je voulais aller la voir afin de lui demander des explications car je me connaissais et je savais que si je n'y allais pas, une fois de retour à Volterra je le regretterais. Cependant je n'avais jusqu'alors pas encore trouvé le courage nécessaire car justement les explications que je tenais tant à avoir, ces explications attendues depuis plus d'un siècle, me terrorisaient. Qu'allais-je devenir, que ferais-je, que dirais-je même si la seule explication que Lirose aurait à me donner était je ne t'aimais plus et je ne t'aime plus ? Je n'arrivais à l'imaginer car cela signifierait sans aucun doute la fin de tout espoir pour moi, la fin de toute perspective de joie dans un futur autant proche que lointain car je ne le savais que trop bien, je ne pouvais vivre dans un monde où Lirose n'était pas mienne, où Lirose appartenait à quelqu'un d'autre. En fait je ne le pouvais pas et je ne le voulais pas car elle était tout pour moi. Alors comment me serait-il possible de continuer à avancer si celle qui était ma raison d'être m'avouait que je n'étais plus la sienne, ou pire que je ne l'avais jamais été ? Au plus j'y réfléchissais, au plus je broyais du noir et au plus je sombrais. C'est pourquoi afin de me changer les idées j'avais décidé d'aller me nourrir dans Edmonton tout en passant par la forêt histoire de me distraire.


    C'est donc ainsi que je m'étais retrouvé dans la forêt, l'âme en peine, marchant plus lentement que nécessaire alors que mon repas devait m'attendre bien sagement quelque part. Mais je n'arrivais à me concentrer sur cette idée qui devrait pourtant me paraitre alléchante. J'étais tellement torturé par ce dilemme qu'était le mien, que c'en était au point qu'il y avait des chances pour que même une proie face à moi je ne réagisse pas. De toute manière il était clair que chaque fois que je me trouvais à Fort Smith, je réagissais étrangement, contre ma nature. Si Aro était là, il serait affligé par la faiblesse dont je fais preuve lorsque je suis préoccupé par un hypothétique avenir entre Lirose et moi. Quoi qu'il en soit et même si il me paraissait impossible de me concentrer sur autre chose, je me dirigeais tout de même vers Edmonton, j'espérais que là-bas le gout du sang ferait son retour et me ferait oublier pendant quelques secondes ma chère et tendre. Seulement tout à coup, une odeur m'envahit. Une odeur si familière, une odeur que j'aurais reconnue entre mille, cette odeur qui était la sienne. Il n'en fallut pas plus pour que j'abandonne l'idée d'aller chasser, de toute manière il était clair que je ne serais bon à rien tant que je serais tourmenté. Je finis donc par rassembler le peu de courage que j'avais et la suivit.


    Elle ne m'avait pas tout de suite senti, ce qui quelque part me faisait de la peine. Avait-elle oublié mon odeur ? Pourquoi n'était-ce pas mon cas ? J'avais la réponse, elle faisait en sorte d'évoluer tandis que moi je ne vivait que dans le souvenir des années passées à ses côtés. Mais je ne pouvais lutter contre ce besoin, il m'était en quelque sorte vital. Assez paradoxal certes, alors que rien ne devait être vital pour un vampire tel que moi, mis à part le sang. Pourtant c'était le cas et surtout depuis ces deux dernières années. Je me rendais compte que je vivais Lirose, je pensais Lirose et la plupart du temps je parlais Lirose, même mon don était consacré à Lirose... Il était donc peu que de dire qu'elle était tout pour moi, qu'elle résumait assez bien mon quotidien. C'est pourquoi il m'était blessant de voir que ce n'était apparemment pas réciproque. Malgré tout je n'arrivais à lui en vouloir... Après tout si je ne la rendais pas heureuse, de quel droit pouvais-je espérer qu'elle m'aime ? Aucun. Cependant je n'arrivais à me résigner à ne pas la suivre maintenant que je savais qu'elle était si proche de moi à cet instant. Je prenais donc un soin non dissimulé à me cacher, à être discret jusqu'à ce que finalement elle ne sent ma présence. Un « Robin » angoissé s'était alors échappé de ses magnifiques lèvres. Je ne savais pas qui était ce Robin et j'avais bien peur de ne pas vouloir le savoir. Après tout même si je la surveillais grâce à mon don, je pouvais avoir loupé un éventuel ami bien que j'espérais me tromper et que ce Robin n'était qu'imaginaire, simplement une tactique pour faire comme si elle n'avait pas peur de qui pouvait bien s'approcher d'elle. Puis enfin, je la vis, je m'étais alors approché mais me trouvais toujours trop loin à mon gout. Mais je ne savais quoi faire m'approcher ? Lui signaler que j'étais ici ? Impossible, car malheureusement j'étais figé et muet par la peur qui m'avait alors saisit. Mes pensées se mélangeaient devenant encore plus confuses qu'elles ne l'étaient quelques instants auparavant, mes membres s'étaient raidis bien plus que d'ordinaire et mes yeux finirent par se fermer. Si elle devait dire ou faire quelque chose qui me blesserait je ne voulais pas qu'elle puisse lire la peine dans mes yeux. J'étais peut-être faible, mais j'interdisais qu'elle le sache...


    « Douglas » avait-elle finalement murmuré... J'avais alors ouvert les yeux afin de l'admirer. Elle se trouvait face à moi, était-ce moi qui m'était approché ou elle ? Je n'en avais aucune idée mais ça n'avait pas d'importance tant j'étais fasciné par ce doux visage qu'était le sien. Je ne voyais à cet instant que ses jolis yeux argentés et ses traits parfaits et rien ne comptait plus que cela. Et même si je désirais plus que tout au monde m'approcher encore un peu plus afin de la prendre dans mes bras et lui dire qu'elle me manquait, je ne fis et ne dis rien de peur de gâcher cet instant magique. Car malgré toutes les fausses notes telles que le fait qu'elle ne m'aimait peut-être plus ou encore qu'elle allait peut-être fuir, ça faisait un siècle passé que je ne l'avais vu de si près et il n'y avait rien de plus beau pour moi que de retrouver ce visage qui hantait tant mes pensées. Et ce fut encore plus exquis lorsqu'elle s'approcha de moi et que d'une voix douce et claire elle avait répété... « Douglas ». Je me demandais si ce moment était fantasme ou réalité, bien que quoi qu'il était je ne voulait qu'il s'achève car j'avais enfin l'impression de revivre.


    Finalement je m'étais à mon tour encore un peu plus rapproché de Lirose et doucement, afin de ne pas la brusquer, j'avais déposé le dos de ma main sur son doux visage avant de le lui caresser. Ce contact me rappela alors tous les instants que j'avais autrefois passés avec elle. Ils m'apparaissaient à la fois si proche et si lointain. Proche de par la netteté de mes souvenirs, lointain car ils me manquaient tellement que j'avais l'impression que plusieurs siècles étaient passés depuis. Puis enfin je me sentis assez fort pour parler, je laissais alors tombé ma main avec délicatesse de sa joue avant de la faire rejoindre la sienne avant de lui souffler « Lirose, ma Lirose... Tu me manques tellement. J'ai besoin d'explications, besoin de comprendre pourquoi je t'ai perdu. Alors s'il-te-plait au nom de notre amour passé, accorde-moi un peu de temps et cesse donc de me fuir. ».




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MessageSujet: Re: Face aux conséquences... | Douglas&Lirose   Face aux conséquences... | Douglas&Lirose Icon_minitimeJeu 30 Déc - 21:01

Face aux conséquences... | Douglas&Lirose Douglaslirose3
Face aux conséquences...

"Il y a certaines choses qui sont comme ça. Il ne faut pas chercher à les comprendre où les expliquer. Il ne faut pas chercher à les changer ou à les éviter. Elles sont ainsi éternelles comme la vie et le temps. Mon amour pour toi fait parti de ses choses."


Douglas, mon doux, mon tendre Douglas... Il était là, juste là devant moi. Je pouvais le voir, je pouvais caresser son corps des yeux. Je pouvais le sentir et sa simple odeur m'enivrait, sa simple odeur réveillé ce qui dormait depuis cent deux ans maintenant. Je pouvais l'entendre, entendre le son de ses déplacements, entendre ses sons qui me faisait le reconnaître à des mètres par le passé. Je voyais, je sentais, j'entendais, je pensais. Il était là, à quelque mètres de moi. Je voulais juste m'avancer, m'avancer et câliner celui qui m'avait ravi mon cœur si sauvagement, si rapidement, lors du siècle dernier. Je voulais... je voulais Douglas dans tous les sens possibles que prenait ce terme. Je le voulais au quotidien dans ma vie, dans ma vie d'où je l'avais éjecté. J'étais partie et maintenant il était là. J'avais l'impression de rêver par ce fait. Oui un rêve où il y avait mon amour de toujours, mon âme sœur et la seule personne qui pouvait faire battre mon coeur pourtant figé dans la pierre. C'était un doux et tendre rêve, un délicieux rêve, un rêve tentation. Un rêve qui me faisait frissonner toute entière. Un rêve qui réveillait en moi la femme. Un rêve qui réveillé en moi la femme amoureuse, doux sentiment qui me rendait humaine tout en dévoilant le vampire que j'étais réellement. Un rêve dont je ne voulais jamais me réveiller, un rêve où je serais toujours. Oui, je voulais continuer de vivre ce rêve. Me persuader que tout n'était qu'un rêve et que si j'ouvrais les yeux, je retournerais en Suède au près de Sven. Je voulais pas retourner là-bas avec lui parce que je savais ce qu'il allait se passer... et parce que la seule personne avec qui je voulais être était dans ce rêve. Parce que dans ce rêve. Parce que dans ce rêve, et c'était cela qui le rendait si séduisant, il y avait Douglas. Dans ce rêve il y avait Douglas et que quand il y avait Douglas j'étais heureuse. Quand il y avait Douglas tout devenait parfaite, éternellement parfait dans ma tête. Douglas, Douglas, Douglas, Douglas... Ce nom, ce simple prénom, me mettait déjà dans tout mes états. Je l'entendais, je le roulais sur ma langue, l'emprisonnant dans ma bouche, je le faisait raisonner dans ma tête. Je l'aimais ce nom. Il me déstabilisait et j'aimais ça et je voulais ça ! E n'était pourtant qu'un prénom. Ce simple prénom, le prénom de l'homme que j'aimais, de l'homme que j'aimerais et de l'homme que j'aime. Douglas Rafaël Volturi. Douglas... L'homme qui était toute ma vie et qui resterait toute ma vie. Même s'il était venu me dire qu'entre nous c'était fini, ce dont malheureusement j'avais terriblement peur, je l'aimerais. Parce que depuis ce jour à Volterra, cette Saint Marcus, où l'on avait joué à cache-cache dans les ruelles de la ville, mon coeur ne m'appartenait plus. Il l'avait détacher de ma poitrine, il avait pris une part de mon âme. Et je ne pouvais pas reprendre ce qu'il m'avait voler. Je ne voulais pas.

Il fit quelque pas vers moi et je fermais doucement les yeux. Je voulais profiter de sa présence par tous mes sens. Je voulais laisser entrer sa présence en moi, la sentir dans chaque fibre de mon être, dans chaque atome. Je voulais profiter de sa présence avant qu'il parte. Je voulais le garder au près de moi pour l'éternité que j'allais vivre après. Je voulais m'assurer que ce n'était pas qu'une vision de mon esprit. Je voulais m'assurer que ce n'était pas la fois ou la fait que je venais de me nourrir qui me rendait encore plus folle que je ne l'étais déjà. Je voulais me dire que c'était la réalité mais je n'y croyais pas. Je ne pouvais croire qu'après tant d'années l'homme que j'aimais revenait vers moi que ce soit pour me dire qu'il m'aimait ou qu'entre nous deux l'histoire est finie. Mais une histoire s'arrête jamais, on passerait de l'amour à la haine, de l'amour à l'ignorance mais cela ne s'arrêterait pas. Jamais, jamais, cela ne s'arrêterait. J'avais besoin de croire que cela ne serait jamais fini, j'avais besoin de croire en lui, en moi, en nous. J'avais besoin de fermer les yeux en priant pour qu'il soit encore là quand je les ouvrirais. Je l'écoutais marcher. J'entendais le bruit de ses pas sur le sol. Son si faible, son vampire. Qui d'autres qu'un vampire pour faire si peu de bruit ? Qui d'autres que Douglas pour faire ce bruit ? Ce bruit si méticuleux quand son poids quittait doucement une jambe pour s'appuyer sur l'autre. Chaque vampire est unique, les sons des pas d'un vampires lui appartiennent, ils sont uniques comme lui. Un taille, un poids, une démarche, impossible de trouver deux vampires pareil. Alors quand tu connais ce vampire, ou du moins que tu le connaissais... Ces pas sont inscrits dans ta mémoire comme ceux de Douglas dans la mienne. Je sentais son odeur. Je frissonnais de toute part. Elle envahissait mes narines, réduisant à néant le monde extérieur, extérieur à la bulle dans laquelle on venait d'entrer. Le bras toujours tendu en avant je sentis ma main rencontrer son torse alors qu'il avançait toujours vers moi. Je me mordis la lèvre, fort, très fort pour m'empêcher de caresser son tee-shirt de la main, de la faire remonter jusqu'à son cou, de la passer dans ses cheveux. M'empêcher d'avoir tous ces petites geste que j'avais par le passé quand il était si proche, physiquement, de moi. Je sentis sa main se poser sur ma joue, et je frissonnais. Il n'avait pas idée, pas idée de ce que cela me faisait. Je ne lui avais jamais dit et mon départ avait largement faussé les choses entre nous.

Je sentis sa main quittait ma joue et j'ouvrais brusquement les yeux. Non... Reste, ne pars pas ! Je ne pourrais le supporte qu'il parte, qu'il parte maintenant avant que j'ai pu lui dire combien je regrette, combien je l'aime. Mais son visage était proche, si proche, si tentant. Je refermais les yeux sentant sa main allait à la rencontre de la mienne. Je fus soulagée. Doucement, je laissais mon pouce effectuer des cercles sur sa peau. Ce geste me calmait; pas beaucoup mais tout de même. Je sentais ces choses en moi et il était si dur de ne pas réagir, de ne pas me laisser aller et faire ce qui me tentait tellement. Je l'entendis prendre son souffle, comme s'il allait parler. Alors j'ouvris les yeux pour le regarder parlar. Bien sur l'important était d'écouter mais je voulais qu'il voit que j'étais toute ouïe à ce qu'il disait. Sa Lirose... Je formais doucement le « sa » avec mes lèvres, goûtant pour la première fois depuis cent ans à sa saveur, sa douceur, sa candeur... stop Lirose, calme toi. Je sentis une plaie se rouvrir dans mon coeur à ses mots... Il avait dit « amour passé »... Voulait-il dire que c'était fini ? L'avais-je perdu à jamais le jour où j'avais quitté Volterra ? Est-ce que j'avais perdu dans ces départs la seule personne que je n'avais voulu perdre en faisant ça ? Je voulais pas, je ne voulais pas. Je ne pouvais pas. Je détournais les regards, cherchant mes mots. Mes yeux se posèrent sur nos mains et je souris de les voir enlacées. J'avais tellement voulu sentir la main de Douglas dans la mienne. Je levais ma main et la sienne par la même occasion, je la levais jusqu'à un rayon de lumière. Dès qu'il toucha nos peaux, celles-ci s'enflammèrent. Je souris en regardant cela. Je suis prête à te donner tout le temps que tu veux Douglas... Je tournais la tête à nouveau pour le regarder dans les yeux. parce que le temps passé loin de toi est déjà bien trop important et douloureux comme cela. Je lui souris tout doucement. Puis, cédant juste à mon impulsion qui me tourmentait, je me mettais sur la pointe des pieds pour aller déposer un baiser sur sa joue, presque sur sa bouche. Je me reculais, trop tenter d'aller plus loin mais ayant trop peur qu'il me repousse pour continuer. Je soupirais en passant ma main libre dans mes cheveux, hors de question que je lâche sa main pour libérer mon autre main. Je te dois des explications. Mais sache que ce n'est pas ta faute.. Tu étais parfait avec moi, je n'aurais pu rêver mieux : rien n'était à changer. Il n'allait plus rien comprendre là... Mais je pouvais m'expliquer autrement. Rien sauf moi Oui, il n'y avait qu'en me changeant que l'on pouvait obtenir une autre fin à notre histoire. Je ne sais faire que cela, je ne sais que fuir. J'ai commencé à fuir quand on m'a mordu... Je fuis... je Je repris mon souffle, sachant les sanglots dans ma voix. Je relevais la tête qui à chaque une de mes phrases c'était baissée. Je t'aimais, je t'aime. C'est pour ça que je suis partie. Parce... Parce que je t'aime alors je sais que tu mérites mieux et que je te blesserais comme je l'ai fait en partant. J'ai tellement fait de mal à ceux que j'aime que je... J'ai peur Douglas. Je serrais sa main un peu plus fort, profitant de la douceur que ce contact me procurait. De comment il m'apaisait. J'avais peur de tomber amoureuse mais je l'étais déjà... de toi. Et maintenant j'ai peur que tu m'en veuille, que tu ne le sois pas, ou simplement plus. J'ai peur que ce soit la fin de ce « nous » qui m'a tant manqué pendant ces années loin de toi. J'ai peur de tout gâcher à nouveau. Je souris. Mais tout ça je m'en moque. Je m'en moque parce que quant tu es là, je suis heureuse et que cela me suffit. Je t'aime Doug', je t'aime, je t'aime... je... Je lui souris tristement en reprenant mon souffle. Je l'aime c'est si simple au fond. Pourquoi toujours se compliquer l'existence ?
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MessageSujet: Re: Face aux conséquences... | Douglas&Lirose   Face aux conséquences... | Douglas&Lirose Icon_minitimeVen 14 Jan - 23:10



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with Lirose Denali.



    En lui disant ces mots, je m'étais un peu laissé aller et je savais que si j'aurais pu mes yeux se seraient mis à briller et peut-être des larmes y auraient coulés. C'était ça le problème avec Lirose... Dès que j'y pensais ma poitrine se contractait sur elle-même et j'avais mal au ventre. Des sensations non réelles étant donné que mon corps était mort, non elles étaient juste le fruit de mon imagination plus particulièrement de mon mal être car oui depuis que la détentrice de mon cœur m'avait quitté j'étais meurtri... même après ce siècle passé. En fait je devrais dire surtout après ce siècle passé, parce qu'au plus les années et les décennies passaient, au plus j'allais mal, au plus je souffrais de l'absence de celle que j'aimais... Et je me rappelle d'ailleurs lors de la centième année à quel point il avait été difficile de me dire qu'elle avait réussi à vivre cent ans sans moi alors que moi elle me manquait toujours un peu plus à chaque instant de mon éternité. Mais qu'aurais-je pu faire ? Venir la voir ? C'était ce qu'il s'était indirectement passé, sans que je le veuille et au lieu de me fuir, elle avait fait pire... Oui elle m'avait ignoré. Comme si je n'existais pas, comme si je n'avais jamais existé, comme si l'Amour auquel j'étais tant attaché n'était qu'un doux fantasme de ma part, une illusion... Après cela, j'étais donc rentré à Volterra, le coeur déchiqueté me disant que j'aurais préféré être démembré et brûlé plutôt que de vivre cet instant. Pourtant le masochiste amoureux que j'étais n'avais pas réussi à ne pas revenir cette fois, même en sachant que je prenais le risque de rentrer encore et toujours plus dévasté...


    En lui disant ces mots, je lui faisais donc part d'une infime partie de mes angoisses depuis ce dernier siècle, ce n'était qu'un début mais je ne voulais pas la brusquer et qu'elle me quitte comme elle l'avait déjà fait. Non je voulais attirer son attention et qu'enfin elle me donne ce qui pourrait peut-être soigner cette plaie que j'avais dans la poitrine, des explications. Pendant que je parlais j'avais cessé de la regarder droit dans les yeux, je ne voyais donc plus ce regard que j'aimais tant et je ne pouvais donc plus essayer de deviner quelle pourrait être sa future réaction. J'avais certes eut l'impression de marcher sur des œufs et donc qu'à tout moment tout ce que j'avais réussi à obtenir pourrait me filer entre les doigts, ce que je me serais éternellement reproché étant donné que le rapprochement qui venait d'avoir lui était le seul espoir qui me restait. Cependant la regarder en même temps que prononcer ces mots me semblait impossible, déjà que j'en souffrais ce n'était pas encore plus pour dire implicitement au fruit de ma passion torturée qu'elle m'avait fait souffrir, tout en la regardant pire la convoitant. Non cela me paraissait impossible... Je ne l'avais donc pas regardé jusqu'à ce qu'enfin j'avais cessé de parler. A ce moment-là je m'étais alors permis de la regarder, l'admirer à nouveau.

    Cependant cette fois se fut elle qui détourna le regard, à mon plus grand malheur. Elle avait en effet posé ses yeux à mon côté pour finalement les poser sur nos deux mains réunies. Je ne savais pas pourquoi mais jusqu'à ce qu'elle n'y pose les yeux je n'y avais pas réellement prêté attention. Peut-être était-ce parce que ce geste me semblait naturel, que le bout de ses doigts était fait pour caresser la peau de main, que nos doigts étaient faits pour être liés, pour se confondre... Oui cela devait être ça. Mais en attendant maintenant que j'y prêtais attention je sentis alors une chaleur s'emparer de moi... Mon dieu que j'appréciais cela, ce nouvel espoir qu'un jour je pourrais à nouveau faire partie de sa vie, lui être à nouveau chère à son coeur... Et en voyant cela je m'étais alors dit : S'il faut que j'attende cent ans pour qu'une fois encore je sente le bout de ses doigts caresser ma main, je le ferais. Car oui même si j'avais envie de plus tout ce que Lirose, ma bien aimée, me donnait été bon à prendre. J'aurais même préféré qu'elle me fasse du mal plutôt qu'elle m'ignore... C'est pour dire à quel point je perd la raison lorsqu'il s'agit de ma Denali...

    Puis une fois son regard posé sur nos deux mains réunies comme si elles ne s'étaient jamais quittées elle les avait alors relevées pour que les rayons du soleil s'y déposent et que nos peau respectives se mettent alors à briller, ne faisant alors qu'une grâce aux éclats de ces dernières. C'était magique, tellement que j'avais l'impression de rêver cet instant... Elle avait alors sourit, ce qui avait créé en moi une nouvelle vague de chaleur, puis enfin sa voix était venue à mes oreilles... « Je suis prête à te donner tout le temps que tu veux Douglas... ». Nouvelle vague de chaleur qui fut amplifiée lorsque son regard avait plongé dans le mien. « parce que le temps passé loin de toi est déjà bien trop important et douloureux comme cela... » Je ne voyais pas vraiment où elle voulait en venir car ce que je comprenais était paradoxal à la situation dans laquelle nous nous trouvions. Mais lorsqu'elle s'était approché un peu plus de moi, se mettant sur la pointe des pieds comme elle avait l'habitude de le faire un siècle auparavant et qu'elle avait déposé un baiser à demi sur l'encolure de mes lèvres à demi sur ma joue, un espoir s'éveilla en moi. Je n'eus cependant pas le temps d'y réfléchir plus longtemps ou de dire quoi que ce soit qu'elle avait déjà repris. « Je te dois des explications. Mais sache que ce n'est pas ta faute.. Tu étais parfait avec moi, je n'aurais pu rêver mieux : rien n'était à changer. Rien sauf moi... Je ne sais faire que cela, je ne sais que fuir. J'ai commencé à fuir quand on m'a mordu... Ah ben tiens... L'éternel discours du " ce n'est pas de ta faute, le problème c'est moi ". Mon visage s'était alors refermé à ces mots. Si elle pensait que cela allait me suffire, il n'en était rien... Malheureusement je ne pus rien faire lorsque son visage s'était relevé. Je la connaissais et je voyais dans ces yeux qu'elle souffrait. Ce que j'interdisais. Je préférais encore souffrir plutôt que l'être aimé souffre. Je lui caressais alors la main comme elle l'avait fait quelques instants auparavant comme pour la rassurer, l'apaiser. Ce qui avait dû plutôt fonctionner parce qu'elle avait reprit. « Je fuis... je... Je t'aimais, je t'aime. C'est pour ça que je suis partie. Parce... Parce que je t'aime alors je sais que tu mérites mieux et que je te blesserais comme je l'ai fait en partant. J'ai tellement fait de mal à ceux que j'aime que je... J'ai peur Douglas. ». Je la regardais totalement perdu, choqué mais surtout... heureux. Elle m'aimait et m'aime ? C'est ce qu'elle venait de dire. J'avais l'impression de planer, de ne plus toucher le sol tant j'étais ... fou de joie. Et c'est lorsqu'elle avait resserrée ma main que j'étais revenu à moi. J'allais lui répondre, mais je voulais avoir le mot juste. Celui qui la rassurerait vraiment. Cependant elle m'avait une fois encore devancée en reprenant « J'avais peur de tomber amoureuse mais je l'étais déjà... de toi. Et maintenant j'ai peur que tu m'en veuille, que tu ne le sois pas, ou simplement plus. J'ai peur que ce soit la fin de ce « nous » qui m'a tant manqué pendant ces années loin de toi. J'ai peur de tout gâcher à nouveau. Mais tout ça je m'en moque. Je m'en moque parce que quant tu es là, je suis heureuse et que cela me suffit. Je t'aime Doug', je t'aime, je t'aime... je... »

    A cet instant j'étais las de parler... de la voir souffrir de ses erreurs passées et lorsqu'elle m'avait sourit à la fois timidement et tristement ma main libre s'était posée dans le bas de son dos, amenant son corps tout contre le mien. J'avais alors approché doucement mais surement mon visage du sien. Puis enfin mes lèvres s'étaient posées sur les siennes. Nous échangions alors un baiser plein d'amour, de regrets, de promesses. Un baiser digne de nos retrouvailles, oui des retrouvailles de deux âmes amoureuses... Il était à la fois doux et passionné et l'amour que chacun éprouvait pour l'autre faisait que quelqu'un d'autre aurait pu me le donner de la même manière, il n'aurait pas eut la même saveur. Surtout que ça faisait plus d'un siècle que j'attendais de retrouver ces lèvres qui m'avaient tant manquées. Ces lèvres qui étaient faites pour que j'y dépose les miennes. Et lorsqu'au bout d'un moment, que je ne pourrais quantifier tant j'étais concentré sur notre baiser auquel j'avais donné corps et âme j'avais enfin prit la parole. « Lirose... Ne souffres plus amor, je suis tien et je le resterais que tu m'aime en retour ou non. Je suis fais pour t'aimer et ce jusqu'à ce que ma vraie mort arrive... C'est pour cela que tu n'as pas à te soucier du passé... Je te demande juste de te consacrer sur notre futur. Sur ce que l'éternité a à nous offrir... Reviens-moi pour ne plus jamais me quitter, c'est tout ce que j'attends de toi et de cette vie à rallonge. Surtout que tu viens de me prouver que quoi que tu fasses, quoi que tu dises, tu seras mienne à jamais. » J'avais alors enlevé ma main de son dos pour l'amener à son visage. Un de mes doigt s'était alors déposé sur ses lèvres et alors qu'il dessinait le contour de ses lèvres, je l'avais finalement enlevé pour lui voler un furtif baiser avant de murmurer contre ces dernières. « Lirose... Lirose Trinity Denali veux-tu devenir à nouveau ma fiancée ? » . Elle l'était déjà qu'elle le veuille ou non, mais j'étais de la vieille époque et tant je l'aimais je voulais faire les choses bien mais surtout je voulais savoir où nous en étions selon elle, si durant toutes ces longues années elle s'était considérée comme étant toujours la fiancée de Douglas Volturi.




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