DENALI, Carmen.

© FAITH

NOM & PRÉNOMS

SURNOM ; Aucun
ÂGE ; 415 ans et 21 ans physiquement
DATE & LIEU DE NAISSANCE ; le 17 Juin 1635 en Espagne
SITUATION ; Mariée
GROUPE ; I am a vegetarian vampire
~~DON~~ ; Aucun
AVATAR ; Eva Longoria

EVERYBODY HAS HIS STORY ; AND YOURS ?

Même si Carmen n’a plus aucun souvenir de sa vie humaine je vais vous la conter, moi son inconscient.

Après plus de dix neuf heures de travail, Carmen naquît enfin le dix sept Mai 1635. Sa mère n’eut pas le temps de la baiser comme le font toutes les mères à la naissance de leurs enfants. En effet, la mère exténuée et ayant perdu beaucoup de sang durant son accouchement mourût alors que sa fille recevait les premiers soins donnés aux nouveau-nés. Les soins donnés aux mères à cette époque dans un pays aussi pauvre qu’était l’Espagne ne laissaient jamais beaucoup de chance de survie aux deux êtres. La petite Carmen fut alors élevée par sa grand-mère, son père travaillant afin de subvenir aux besoins de son enfant. En somme, nous pouvons dire que Carmen eut une enfance plutôt heureuse, même si les temps étaient durs avec les guerres, les famines etc... Elle atteignit ses dix neuf ans sans trop de dégâts, même si elle avait perdu la seule réelle « mère » vers ses douze ans et que son père l’avait promise à un homme riche et plus vieux de dix ans. A partir de cet âge, son père qui avait toujours voulu la préserver mais qui souhaitait plus que tout qu’elle vive aisément et sans craindre les problèmes à laquelle l’Espagne faisait face depuis sa naissance, décida qu’il était temps qu’elle épouse cet homme riche. La jeune femme qui était encore naïve en ce temps ne se fit pas prier et s’en tint à ce que son père désirait. Bien sûr, elle ne connaissait encore rien à l’amour mais savait très bien qu’elle n’éprouvait rien envers son mari. Le seul avantage qu’elle y voyait c’était qu’ils allaient pouvoir fuir son pays, elle et son père puisque l’homme était quelqu’un de puissant et qu’il avait une maison en Italie. Quelques douze mois après son mariage, alors que Carmen attendait un enfant, son mari décida qu’il était tant de mettre sa future descendance en sécurité, ils s’installèrent dans une immense propriété italienne, non loin d’une ville nommée Volterra. Le père de Carmen décéda sept mois plus tard des suites d’un accident de travail qui s’était aggravé et était devenu une gangrène. La jeune femme se retrouva alors seule, avec son mari et son futur enfant sur lequel elle porta d’énormes espoirs : il allait la sauver de la solitude dans laquelle son mari l’avait enfermée. En effet, elle ne parlait que quelques mots d’italiens et d’Anglais puisqu’il l’avait forcé à apprendre ces langues. L’italien devait lui servir pour tous les jours, mais Carmen n’arrivait pas à se lier. Quant à l’anglais, elle avait plus de temps devant elle pour apprendre à le pratiquer, étant donné qu’ils avaient prévu d’aller en Amérique d’ici quelques années. Apparemment l’Amérique était le nouveau pays où son mari pouvait devenir encore plus riche. La jeune femme se moquait de tout cela, elle ne voyait qu’une chose ; l’arrivée prochaine de son enfant. Il représentait déjà tout pour elle. Si c’était une fille, elle se promettait de ne pas lui faire subir ce qu’elle vivait. Si c’était un garçon, elle ferait tout pour qu’il réussisse. Enfin, dans le cas où elle survivait à l’accouchement. Lorsque la date du dit accouchement arriva, Carmen n’eut pas peur pour sa vie mais pour celle de l’enfant et elle eut raison. En effet, durant la grossesse l’enfant s’était mal positionné et s’était lui-même enroulé le cordon ombilical autour du cou. Ainsi, à sa naissance l’enfant fut annoncé mort. Carmen ne put se remettre de ce décès, c’était celui de trop. Lorsqu’elle rentra chez elle, la jeune femme resta enfermée et ne faisait que rarement le tour du propriétaire. Son mari décéda de vieillesse à l’âge de trente et un ans. L’hygiène et les soins prodigués en Italie n’étaient pas meilleurs que ceux offerts en Espagne. Ce dernier décès sonna comme la cloche de récréation pour les enfants de nos jours : Carmen se réjouit et décida que sa vie commençait enfin. Pour bien débuter, elle sortait souvent dans la ville voisine qui se nommait Volterra, elle y rencontrait diverses personnes pas toujours très intéressantes, mais elle tentait quand même de se lier. Un soir, elle rencontra un homme prénommé Jack. Elle n’avait pas immédiatement comprit ce qui s’était passé, mais elle avait ressentit que son cœur avait loupé une pulsation et sentait que son estomac était noué à la vue de ses iris noirs. Le jeune homme lui avait plusieurs fois rendu des visites courtoises chez elle avant de se décider de demander à Carmen si elle souhaitait le fréquenter plus sérieusement. Evidemment, elle avait accepté, sentant que quelque chose se passait entre eux. Peut-être était-ce ça l’amour? Les premiers mois ce fut un amour courtois ; simples baisers lors de sorties en soirées, rien de plus, jusqu’à ce que Carmen décide qu’il était grand temps qu’ils passent à l’étape supérieure... C’était l’amour, elle en était sûre. Elle n’avait jamais rien éprouvé avec son défunt mari lors de leur corps à corps. Avec Jack, c’était merveilleux, elle se sentait vivre pour la première fois en vingt et un ans. Il y avait cependant une ombre au tableau, l’homme semblait distant dans ces moments-là, comme occupé à se concentrer sur autre chose. Lorsque Carmen lui demandait ce qui lui prenait, l’homme ne répondait pas et filait. La jeune femme ne le revoyait que quelques soirs plus tard. Elle n’osait pas lui redemander, de peur qu’il ne se fâche pour de bon. Elle nous pouvait se permettre de le perdre, elle l’aimait... Ils filaient le parfait amour. Les mois défilaient, lorsqu’ils arrivèrent en Juin 1656. Carmen eut vingt et un ans. Pour fêter cela, Jack lui proposa de venir s’installer chez lui, d’abandonner son immense propriété qui était autrefois une espèce de prison. Bien évidemment Carmen accepta aussitôt et commença immédiatement à déménager les affaires qu’elle souhaitait garder de sa vie passée. Un soir, qu’elle sentait Jack plus proche d’elle que jamais, elle lui demanda ce qu’il lui cachait réellement. L’homme ne répondit pas, il se contenta de la prendre dans ses bras et de l’amener jusque sur leur lit où la posa délicatement. Carmen reposa sa question, ce qui eut pour effet de coller un sourire malsain sur les lèvres de son compagnon. Effrayée de ne pas comprendre pourquoi il souriait de cette façon elle essaya pour la première fois de le repousser de ses mains, mais il était beaucoup plus fort qu’elle. Allongée sur le lit, elle n’était pas en position de force, elle ne pouvait pas s’enfuir, les bras de Jack l’emprisonnant. Ce dernier approcha doucement son visage près de celui de la jeune femme qui cessa de respirer. L’homme déposa un premier baiser sur les lèvres rosées de Carmen ce qui la détendit. Il la baisa ensuite sur la mâchoire et s’approcha de son cou. La jeune femme brune se raidit tout en fronçant les sourcils, elle ne savait pas ce qu’il faisait. En effet, habituellement il ne restait pas aussi longtemps sans l’embrasser dans le cou, il semblait actuellement respirer l’odeur de sa peau. Etrange. Jack demanda alors si elle voulait réellement savoir ce qu’il lui cachait, alors d’un hochement de tête, la jeune femme lui répondit que oui. Aussitôt son corps fut comme pris d’une crampe, elle cessa de bouger. Une seconde plus tard elle ressentit une douleur intense et indéfinissable près de son épaule gauche. Pour la seconde fois elle tenta de le repousser tout en lui hurlant de s’arrêter quoiqu’il faisait, mais en vain. Carmen ne comprenait pas ce qu’il faisait, ce qu’elle sentait c’était une brûlure qui commençait à s’étendre dans chaque parcelle de son corps et que Jack aimait ce qu’il lui faisait subir. La jeune femme s’époumonait mais l’homme ne semblait pas en prendre compte, ou plutôt en tirer une certaine jouissance... Qu’avait-elle fait pour mériter ça? Au bout de trois minutes, qui lui semblèrent une éternité, Jack se recula et la regarda, un sourire victorieux planté sur ses lèvres ensanglantées. A la vue de son propre sang, la jeune femme hurla de plus belle et tenta de bouger pour le pousser, mais en vain, la douleur qu’elle ressentait consommait toutes ses forces. Elle se sentait brûler de l’intérieur. Chaque muscle, chaque organe la faisait souffrir, elle n’espérait qu’une chose ; mourir sous peu. La mort ne venait cependant pas et Jack continuait de sourire en la regardant se tordre et hurler de douleur. Elle hurlait, elle hurlait, mais Jack ne semblait pas entendre. Lui ou n’importe qui que ce soit d’ailleurs, pourtant la maison était mal isolée et en pleine ville. Carmen en venait à espérer qu’elle se viderait de son sang d’ici peu, que Jack lui donne le coup fatal, mais rien, elle restait là, avec le feu la consommant de l’intérieur...
Plusieurs jours, ou mois plus tard, elle n’en savait trop rien, la jeune femme brune se « réveilla ». Près d’elle se trouvait un homme grand et brun qui hurla quelque chose lorsqu’elle posa son regard sur lui. Aussitôt apparu un homme de taille moyenne et blond. Carmen voulut ouvrir la bouche pour poser les questions habituelles telles que « Où suis-je ? » ; « Qui êtes-vous ? », mais sa gorge la brûla si fort qu’elle hurla, ce qui lui rappela son horrible mauvaise expérience avec Jack. Elle en conclut deux choses : ce n’était pas un cauchemar et elle n’était pas morte. L’homme blond s’approcha d’elle doucement, prit la place du premier qui les laissa. Le blond commença par se présenter ; il s’appelait Eleazar. Ensuite, il lui promit de « tout lui expliquer si elle promettait en échange de rester calme ». Carmen annonça malgré le feu dans sa gorge qu’elle ferait de son mieux. Eleazar reprit alors la parole et lui expliqua durant deux bonnes heures ce qu’elle était devenue et comment vivaient les vampires. La jeune femme comprit mais n’accepta pas de suite sa nouvelle condition. Pour qu’elle puisse mieux comprendre, l’homme lui promit qu’il allait prochainement l’emmener dehors, mais que pour le moment cela était impossible ; qu’elle était encore trop incontrôlable. Il ajouta qu’il allait lui apporter de quoi calmer sa gorge. Effectivement, quelques instants plus tard il était revenu avec une poche de sang qu’il lui avait tendu avec un immense sourire. Carmen avait écarquillé les yeux et refusé, dans un premier temps bien évidemment. Après plusieurs minutes de discussions avec Eleazar, la jeune femme s’était résolue à goûter au sang humain. Lorsqu’elle aspira sa première gorgée, Carmen grimaça pour le principe mais elle sentit immédiatement que le feu dans sa gorge s’était un peu apaisé. Jamais Ô grand jamais elle n’aurait pensé devoir boire du sang humain...
Quelques mois plus tard, la jeune vampire s’était enfin habituée à son nouveau train de vie grâce à celui qui l’avait recueillit. Au fur et à mesure, Carmen et Eleazar étaient devenus de plus en plus proches jusqu’à se rendre à l’évidence ; tous deux étaient tombés amoureux au premier regard, dans la chambre où Carmen avait été accueilli. En effet, tous deux se comportaient déjà comme un couple avant même que l’un décide de faire un pas vers l’autre. Au bout d’un siècle de relation, les deux vampires avaient décidé de se marier, comme le faisaient les humains. Ils étaient collés l’un à l’autre lorsqu’Eleazar n’était pas avec les Volturi. En effet, Eleazar faisait partie du clan des Volturi, qui étaient et sont encore aujourd’hui les « chefs » des vampires. Même si Carmen ne les appréciaient que très vaguement, elle vivait avec eux et donc avait le même régime qu’eux soit, assez cruel. La jeune femme y était obligée ; elle ne voulait pas quitter Eleazar et comme celui-ci faisait partie de leur clan sûrement à cause de son don, elle devait elle aussi les fréquenter. Cependant, un jour qu’elle en eut assez, elle demanda à son homme si celui-ci n’accepterait pas de partir avec elle en Amérique. Tous deux réussir à partir de chez les Volturi vivants, ce qui était assez rare, les Volturi n’aimant pas qu’on leur fasse faux bond. Les deux amoureux rencontrèrent un clan de vampires végétariens en Amérique qu’ils rejoignirent. Le régime végétarien leur avait semblé insurmontable, mais au bout de quelques années ils réussirent à s’y tenir. En 2017, alors que la jeune femme chassait elle trouva un adolescent mourant. Carmen décida de le ramener au sein de son clan afin de le sauver. Elle ne s’était cependant pas permise de le transformer elle-même mais avait demandé à Tanya, qui était la chef du clan Denali, mais celle qui avait aussi le plus de self-control. L’adolescent, prénommé Ewan une fois sauvé fut adopté par Carmen et Eleazar. Plus tard, le clan Denali fit la rencontre du clan des Cullen, dont les membres étaient comme celui de Tanya des vampires végétariens. Les deux clans devinrent amis et défendaient les mêmes idées. En effet, lorsqu’Edward Cullen s’éprit d’une humaine et qu’ils eurent une hybride, les Volturi avaient décidé de la tuer. Les deux clans s’étaient alors alliés pour combattre les Volturi, même s’ils n’avaient eu besoin que de discuter, les Volturi ayant réalisés que la petite Renesmée n’était pas dangereuse. Aujourd’hui, un peu moins d’un demi-siècle plus tard, le clan Denali a décidé de s’installer à Fort Smith, petite ville canadienne.

I AM WHAT I AM ...

La jeune femme n’a pas changé physiquement depuis plus de quatre siècles étant à jamais figée dans ses vingt et un ans. Carmen est donc un petit bout de femme qui ne mesure pas plus cent cinquante sept centimètres ce qui contraste avec le reste de son clan. Etant d’origine espagnole, le vampire a une apparence physique assez banale et typé méditerranéen. En effet, elle a le teint mâte, de longs cheveux épais et bruns qui lui tombent en cascade au milieu du dos. Carmen ne les attache que très rarement afin de cacher la cicatrice de sa morsure se situant dans son cou non loin de son épaule gauche. Comme quasiment toutes les femmes espagnoles, ses iris étaient jadis marrons voir noirs ce qui ne permettait pas de les différencier de ses pupilles. Cela représentait un sacré avantage qu’elle avait regretté au début de sa vie vampirique : son regard était dérangeant ce qui faisait les gens n’osaient pas la fixer. Désormais ou plutôt depuis quatre cent quinze ans, elle a les iris comme tous les vampires tirant sur le rouge ou le marron, selon sa soif. Carmen a une silhouette élancée, bien qu’elle se trouve trop mince à son goût. Elle aurait cependant préféré avoir plus de forme ainsi que plus de poitrine, mais cela ne dérange apparemment pas son mari donc elle ne se plaint pas et fait avec ce que la nature lui a donné. Ensuite nous pouvons dire que Carmen fait assez attention à son apparence physique. En effet, elle essaye de faire des efforts pour s’habiller et prend soin d’elle pour qu’Eleazar ne se lasse pas d’elle après plusieurs siècles à ses côtés. Loin d’être comme sa cousine Rosalie Cullen qui est une accro au shopping, Carmen aime cependant renouveler occasionnellement sa garde robe et s’offrir des séances de shopping pour ainsi être habillée comme toutes les femmes et ne pas être remarquée.
En ce qui concerne son caractère, Carmen est une femme plutôt facile à vivre. Si vous ne l’embêtez pas, il n’y a aucune raison qu’elle ne vous prenne comme cible. Comme elle est d’une nature calme, elle n’haussera que très rarement la voix. Il arrive même que lorsque Carmen est dans une colère noire, qu’elle ne s’énerve pas puisqu’elle n’est pas comme tous ces petits nerveux qui hurlent et bougent les bras dans tous les sens. Elle est beaucoup trop confiante et calme. Par contre, si l’on essaye de débattre avec elle, il faut s’armer de patience ; elle est plus que têtue et décidée à avoir raison à tous les coups, même lorsqu’elle sait qu’elle a tort. Carmen est une femme déterminée. Lorsqu’elle désire quelque chose, elle s’arrangera toujours pour l’avoir, quitte à y mettre un certain temps, où d’autres abandonneraient. Si par malheur elle n’obtient pas ce qu’elle désire –ce qui est rare-, elle se sent soumise, totalement dépourvue de pouvoirs. Si tel est le cas, elle cherche à fuir, car ne supporte pas ne pas avoir le dessus sur l’autre, ne pas avoir le dernier mot ou avoir tort. Oui, elle a tout de même son petit caractère. Qui s’y frotte s’y pique. Une autre chose qu’elle ne supporte pas c’est que l’on essaye de s’attaquer à son clan. En effet, très attachée à celui-lui, elle le défendra bec et ongles. Quelques fois peu délicate, la gente dame envoie très facilement les gens sur les roses. Elles a ses humeurs, comprenez-vous. En définitive, il est préférable d’avoir Carmen en amie qu’en ennemie.

I LOVE YOU BABY ; NOT ME!

Carmen étant d’une nature très douce et très aimante, elle n’a pas beaucoup de problème à se lier aux autres. En effet, au sein de son clan, elle apprécie chaque membre à sa juste valeur. Tout d’abord il y a ses trois sœurs encore en vie : Tanya, Kate et Lirose. Tanya est la chef du clan, c’est grâce à elle que Carmen et Eleazar ont bien été accueillis chez les Denali. Ensuite, il y a Kate avec qui elle est très proche. Cette dernière n’a elle aussi pas eut une vie humaine très simple. Pour finir, il y a Lirose que Carmen n’a pas v depuis deux siècles environ. En effet, celle-ci a subitement quitté le clan. Le clan Denali est aussi composé de deux hommes. Le premier est son homme, rencontré quatre siècles plus tôt : Eleazar. Inutile de décrire leur lien, ils s’aiment depuis la première fois où les yeux du jeune vampire se sont posées sur Carmen. Garrett est le compagnon de Kate et aussi un membre qu’elle aime comme son propre frère. Ces deux membres du clan ont adopté Caroline au même titre que Carmen et Eleazar ont Ewan en fils. Ces deux derniers sont les petits protégés de Carmen. La jeune femme apprécie également le clan des Cullen qui sont le principal partenaire de son clan. Les premiers membres que Carmen a rencontrés sont Carlisle et Esmée. La douceur de ces deux membres a touché la jeune femme. Elle les trouve si bien accordés. Pour le reste du clan, elle les aime beaucoup et a les mêmes idées qu’eux en ce qui concerne les Volturi, bien qu’elle les ai fréquenté durant un certain lapse de temps. Carmen apprécie par la même occasion les Quileute, ou tout du moins la partie Black puisqu’elle est cousine avec la plupart des membres. Pour finir, parlons des Volturi... Carmen, bien qu’elle ait vécue au début de sa vie vampirique auprès des Volturi avec Eleazar, n’aime pas ces vampires sanguinaires. En effet, lorsqu’elle vivait à leurs côtés, elle n’aimait déjà pas leurs pratiques, même si elle a dû suivre durant quelques temps leur mode de vie pour pouvoir rester aux cotés de son homme. Depuis qu’ils sont partis de chez les Volturi, pour rejoindre le clan des Denali, Carmen considère ces vampires comme ses pires ennemis.

© FAITH

© FAITH

BEHIND THE SCREEN

PRÉNOM ; Laura
ÂGE ; Dix sept ans.
EXEMPLE RP ;
Spoiler:
LE FORUM ; 9.5/10. J'ai pour principe, comme les profs de ne pas mettre le maximum. :D
OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM ; Un topsite me semble-t-il.
~~AUTRES PERSONNAGES~~ ; Non.
CODE ;
Spoiler:

Bonjouuuuuuur et bienvenue :004:
Je te souhaite non courage pour ta fiche.
Tu devras faire un petit passage par la case teste de rp aussi
Et le mug shoot doit être une petite image (100*100 par exemple) ou un gif plutôt qu'un avatar
Met bon, ce n'est pas grand chose =D
Bonne continuation, si tu as le moindre question ma boite à mp t'es ouverte
Bonne chance

baby · Ҩ CREDITS : Bazzart Ҩ MESSAGES : 405

Encore bienvenue parmi nous beauté 001

Evaaaaa :004: :005:
Bonne continuation et si tu as des questions on est là pour toi :)

Bienvenue :) & Bonne chance pour ta fiche :)

Bienvenue :) Bon courage pour ta fiche Wink

Bienvenue !

Merci à tous! =)
Fiche terminée et test RP validé. :001:

Il y a un petit problème à ton histoire.
Alors, Carmen (et les Denali en général)e on connu Carlisle quand il était encore seul (donc avant Edward) et c'est lui qui les a rendu végétarien. Ensuite, Ewan est adopté bien plus tard puisqu'il est né humain en 2000. De plus, le clan ne contenait pas encore Ewan et Caroline quand les Denali sont allé aider les Cullen pendant la "guerre" face aux Volturi sur le sort de Nessie. De plus, si tu as bien lu les livres, à part Bella qu'elle rencontre au mariage, Carmen connaissait tous les Cullen avant l'histoire d'Irina avec Laurent.
Alors après, en lisant bien ton histoire on comprend que quand tu parle des Cullen tu parles d'évènements antérieurs mais je te demanderais tout de même de te débrouiller pour que ce soit plus clair quand on lit. merci d'avance...

Bienvenue. Bon courage pour la fiche. ♥

Je vois que les modifications demandées ont été faite (ton pose le signalant c'est supprimé Oo)
C'est donc avec plaisir que je te dis validée
Pense à aller réserver ton avatars, signer le règlement si ce n'est pas déjà fait, faire ta fiche de lien, de rp. Et surtout rp et t'amuser :004:

Félicitations ma belle :024:

Marchiii. :009:

Aux archives ! Pour cause de suppression de compte.
Si tu désires la récupérer réinscris toi :) ♥