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 J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux...

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J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux... Vide
MessageSujet: J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux...   J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux... Icon_minitimeJeu 23 Déc - 2:03

J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux... Oliver_james_020 J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux... 23idqp1 J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux... Selena_Gomez_075
JESSE ATEARA & MILIE VOLTURI
« J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux... »

    J'approchais de la maison de mon père. Je souriais. Je passais la porte d'entrée, ma princesse dans les bras, rigolant aux éclats. Je m'assis sur le canapé pour la poser sur mes genoux. Je l'embrassais, puis je recommençais encore et encore. Je l'aimais et elle ne cessait de me dire qu'elle aussi m'aimait. On était heureux ensemble et on voulait plus se quitter pour quelque raison que ce soit.

    Ha ! La belle illusion ! Oui ceci n'est qu'une illusion, un léger fantasme sans doute, un mélange de mes désirs et de ce que devrait être la réalité à mon sens, mais il n'en était pas ainsi. Non, ce matin encore je rentrais bredouille de la chasse à la Milie. Ça faisait maintenant une semaine et demie que je la cherchais et qu'elle semblait me fuir comme la peste. Je ne l'avais pas croisée une seule fois en me promenant dans Fort Smith, ni elle, ni son petit toutou de Mike; pour une fois que j'aurais aimé ne serait-ce que le croiser celui là.
    Les trois premiers jours je n'avais pas dormis du tout, animé par la passion et l'envie plus forte que tout de la retrouver. Le jour d'après je m'étais effondré de fatigue et j'avais dormis pendant facilement les trois quarts de la journée et puis j'étais retourné en chasse, à l'affût du moindre détail de sa présence en ville. J'avais été jusqu'à retourner au domicile des Black demander à sa mère ou à son frère s'ils ne l'avaient pas vu. Matt ne m'avait pas répondu, les rapports avec sa sœur étaient un peu tendus en ce moment, mais sa mère, elle, m'avait répondu par la négative ce qui ne me rassurait pas vraiment. J'avais peur qu'elle soit repartie de nouveau, il faut bien l'avouer. Je ne peux pas me séparer d'elle. Ça faisait dix jours que je ne l'avais pas vu et ça me pesait, je n'étais plus vraiment moi-même sans elle.

    Trois semaine et deux jours d'absence. J'avais cessé de chercher depuis une semaine, las de me balader en ville pour me casser les dents sans ne serait-ce que l'apercevoir. Au fond de moi je voulais me persuader qu'elle ne pouvait pas être repartie, qu'elle allait bientôt me retrouver et que cette absence allait s'expliquer, mais j'avais de plus en plus de mal à y croire. J'aimais Milie, mais une fois de plus elle me donnait l'impression de jouer avec mon cœur et si elle parvenait à le briser une fois de plus il risquerait de ne plus pouvoir se recoller … J'étais assis sur un fauteuil face à la fenêtre, dans ma chambre et je n'en avais pas bouger depuis une semaine sauf pour ce qui était des besoins naturels et obligatoire pour vivre … ou survivre. Je fixais l'extérieur avec attention. Je n'étais pas sortit de la maison depuis une semaine, mais j'avais l'impression que ça faisait des mois. J'avais l'air d'un zombie, les yeux dans le vague, dormant peu et ne mangeant que le strict minimum m'étant imposé. Je n'avais pas pris de repas digne de ce nom depuis que j'avais arrêté de la chercher et je voyais mes espérances s'envoler peu à peu.
    Quelqu'un frappa à ma porte. « Jesse ? Je peux entrer ? » La porte s'ouvrit sans que je n'ajoute un seul mot.

    QUIL « Jesse, ça va ? »

    JESSE « ... »

    QUIL « Tu devrais sortir tu sais ? Ca te ferait du bien ... »

    JESSE « Pas envie. »

    QUIL « … J'ai justement besoin de pain et ... »

    JESSE « Tu n'as qu'à aller en chercher ou demander à Will ou Ethan ... » dis-je en soupirant.

    QUIL « Non, je veux que ce soit toi qui y aille ... »

    JESSE « … Pourquoi ? ... »

    QUIL « Parce que tes frères ne sont pas avachis devant une fenêtre depuis une semaine. »

    Je me leva pour aller m'assoir sur mon lit.

    JESSE « Je ne suis plus devant la fenêtre. »

    QUIL « Jesse je ne rigole pas … une baguette … s'il te plaît. » dit-il en me tendant de la monnaie que je pris en soupirant.

    Je savais que mon père n'aimait pas me voir comme ça et à vrai dire ça ne me plaisait pas vraiment non plus de rester là à rien faire. D'un côté, j'en voulais à Milie de m'avoir rendu aussi dépendant d'elle. J'avais finis par vivre sans l'avoir tout le temps à mes côtés, mais me voilà dans le même état que celui dans lequel j'étais avant qu'elle parte pour Volterra. J'étais retomber dedans comme un bleu …
    Mon père sortit de la chambre en soufflant un « Merci » et je me résigna à me diriger vers la salle de bain pour me préparer. Je ne mis pas bien longtemps et pris les premiers habits qui passèrent sous ma main. Un simple T-shirt, un jean, ma veste et ce fut finit. Je ne pris même pas la peine de dresser mes cheveux sur ma tête comme j'avais l'habitude de le faire en temps normal. Pourquoi faire ? De toute façon j'irais à la boulangerie, j'en reviendrais et basta, peu importe les gens que je croiserais.
    En un rien de temps j'étais à quelques mètres de la boulangerie. Je marchais tête baissée lorsqu'une odeur me fit relever ma tête aussitôt. Le tintement indiquant qu'on avait ouvert la porte de la boulangerie parvint jusqu'à mes oreilles, malgré le fait que je sois de l'autre côté de la route. C'était elle. Elle sortait de la boulangerie avec un sachet en papier contenant je-ne-sais-quoi. Je m'arrêta net. Je ne m'attendais pas à la trouver ici et c'était le moins qu'on puisse dire. Une vampire dans une boulangerie … y'a plus commun que ça quand même. Je ne bougeais pas, partager entre l'envie de l'ignorer totalement comme elle l'avait fait depuis trois semaines ou celle de lui sauter dans les bras pour lui montrer à quel point elle m'avait manqué. Je me résigna à traverser la route pour lui demander des explications. Plus j'approchais et plus je sentais quelque chose d'étrange en elle. Je finis par me planter devant elle, avec un regard qui se voulait pas très sympathique, mais il ne le resta pas longtemps surtout lorsque je l'embrassa avec passion, mes mains posées sur ses joues. La présence inconnue était plus forte, je sentais vraiment quelque chose. Je détacha mes lèvres des siennes et la regarda avec un regard emplit de questions. Lorsque je remarqua que deux secondes avant que j'arrive elle avait fondu dans son fondant au chocolat qu'elle venait d'acheter. Deux secondes … Milie mangeait de la nourriture humaine ? o.O Pour je ne sais qu'elle raison, je baissa mon regard sur son ventre et un sourire s'étira sur mes lèvres. J'avais comme l'impression qu'elle me cachait quelque chose. A défaut d'avoir sa confirmation pour ma supposition, mes lèvres se plaquèrent de nouveau sur les siennes avec passion. Elle ne pourrait nier l'évidence et me mentir bien longtemps … J'avais comme l'impression d'avoir trouvé pourquoi elle m'avait évité pendant tout ce temps.
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MessageSujet: Re: J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux...   J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux... Icon_minitimeDim 26 Déc - 23:29


Un enfant, qu'est-ce donc ?
Un morceau d'amour égaré,
un signe du temps en marche...




    La tête dans les toilettes, tous les matins depuis une semaine je regrettais d’avoir refusé finalement l’avortement au médecin. Cet enfant me rendait complètement malade. Je ne pouvais plus avaler de sang sans en vomir. Il refusait catégoriquement le sang humain. Ça en venait à m’en rendre dégoûtée. Si ça c’était pas un bon moyen de sevrage… Mike était inquiet de mon état. Il n’était pas habitué à avoir à faire à des hybrides. Je lui disais que c’était normal. Je lui cachais ma grossesse. Pourquoi ? Je n’étais pas non plus idiote. Si je ne pouvais plus boire de sang humain cela voulait dire que l’enfant ne serait pas un hybride comme moi mais plus comme son père ou son oncle. Rien ne me donnait les origines de mon enfant mais je le sentais au fond de moi. J’allais donner naissance à un louveteau. Une fille ou un garçon mais un loup. Je le sentais au plus profond de moi. D’ailleurs je comprenais aujourd’hui les mots de maman quand elle disait que j’avais de l’emprise sur elle. Mon propre enfant avait la même emprise sur mon régime alimentaire. Je redécouvrais la nourriture humaine comme dans le passé. J’avais oublié les goûts. Cet enfant me rendait bien plus humaine que je ne l’ai été jusque là. Combien de temps encore je pourrais cacher cette grossesse ? Je l’ignorais mais ça ne devait pas arriver aux oreilles des Volturis tout de suite. Seul ma mère et Lirose le savait. Es-ce que les autres oui ? Je l’ignorais. J’évitais au maximum la maison depuis… Bref j’avais fini par partir loin de mon clan pour me rendre dans une boulangerie…

    Combien de temps encore j’allais fuir l’amour de ma vie comme ça ? Pour la vie… Si je restais ici pour l’instant c’était pour l’enfant. Mes idées étaient claires. Je n’avais su tué cet enfant qui naitra de notre union mais je flippais à l’idée de l’assumer. Je ne pouvais… J’accoucherais ici avec le médecin humain qui m’a aidé à prendre conscience de mon erreur d’avorter. Ensuite je le laisserais à la famille Ateara. L’enfant ne devait pas être connu des Volturi. Je préférais préserver sa vie en le confiant à la famille de Jesse. Je savais qu’il serait bien traité et aimé. Je ne pouvais l’emmener avec moi à Volterra. L’abandonnerais-je alors pour son bien ? Ou simplement par la peur ? J’avais peur de mon amour pour Jesse… J’avais donc peur de cet enfant. J’étais jeune et j’avais peur de toutes ces responsabilités. Et bien évidemment je les rejetais sur Jesse comme si lui pouvait être plus prêt que moi… Je manquais surement de temps et de conversation avec Jesse pour apprendre, grandir et assumer enfin. Seulement maligne comme j’étais je préférais encore faire l’amour et être inconsciente que de parler de sujet épineux…

    Je faisais la queue dans la boulangerie. Ça n’aurais tenu qu’à moi j’aurais plus mangé la boulangère que les gâteaux autour de moi. Il faut croire que ce n’est pas du goût du bébé. A chaque pensée c’est comme si les nausées me reprenaient. A croire que je le contrariais à penser de cette façon. J’attendais alors sagement mon tour jusqu’à commander un fondant au chocolat, ce que je préférais dans le temps et ce qu’adorait apparemment aussi le bébé… Une fois payé, je sortis tranquillement avec la cuillère pleine de chocolat à la bouche. Je me sentais un peu étriquée dans mon t-shirt. Je sentais que les boutiques allaient s’imposer si je ne voulais pas craquer mes fringues. Ça allait que je n’avais encore qu’un ventre légèrement rebondi et peu visible ! Je léchais ma cuillère toute contente en fermant les yeux de bonheur. J’enlevais alors la cuillère de ma bouche que…



    Je sentis une vague puissante de passion irradier tout mon corps sans comprendre la provenance. Il ne me fallut que quelques secondes pour comprendre quand des lèvres venaient de m’embrasser avec passion. Je sentais de l’excitation au fond de moi. J’avais la sensation que le bébé qui n’avait que deux mois comprenait qui venait de m’embrasser avant même que moi je capte. Je n’avais jamais ressenti un aussi grand bien être jusque là. C’est comme si le bébé libérait des phéromones dans mon corps accentuant les effets que Jesse me faisait. Jesse ? Oh oui Jesse… Qui vous voulez que ce soit d’autre qui m’embrasse comme ça ? J’avais lâché dans la seconde qui a suivi son baiser et par surprise mon peau de fondant au chocolat qui tomba par terre. Ses mains tenaient mes joues délicatement. Je sentais une pointe de bonheur monter encore en moi. Il sentait quelque chose… s’il savait… L’excitation du bébé montait en moi par vague. Il prenait vraiment de l’ampleur pour un fœtus seulement de deux mois… Je ne l’avais jamais senti se manifester à ce point pourtant avant. Serais-ce Jesse qui provoquait tout ça en nous ? Il détacha ses lèvres des miennes pour me regarder. Je sentais milles questions… Il ne tarda pourtant pas à comprendre avant même que je ne lui dise. Il baissa son regard vers mon ventre et je sus qu’il comprit. Il m’embrassa alors de nouveau. Le repousserais-je ? Franchement ? J’en étais complètement incapable… et encore plus avec le bébé en moi. En tout cas inutile de lui cacher la vérité, il la sentait déjà… Il finit alors par décoller ses lèvres des miennes une seconde fois. Mon corps par instinct se rapprocha malgré tout pour venir s’y blottir. Mes yeux se fermèrent et je laissais son odeur et sa chaleur m’entourer…

    J’avais imaginé tant de scénario si jamais on se recroisait malgré mes facilités à le fuir mais jamais je n’aurais imaginé cela comme ça. J’avais bien envisagé une longue discussion ou même un engueulade ou pire une traque. Mais pas ça… pas cette tendresse qui au fond était juste ce qu’il me fallait… Je ne saurais dire combien de temps je restais comme ça contre lui. Moi qui avait promi de ne plus lui céder… j’étais si faible ! mais tellement amoureuse… Je finis par dire en redressant mon regard vers lui accompagné d’un sourire :

    MILIE « Moi qui pensais arriver à te résister et te demander de me laisser enfin tranquille… Je crois que c’est mal barré. Jesse… je… il faut que je t’avoue quelque chose… »

    Les mots suivant pourtant ne pouvait pas sortir. Ça rendait les choses encore plus réelles. Pourtant il était bien là. Je pris tendrement la main de Jesse pour la poser sur mon ventre qu’il sente vraiment cette vie qui grandissait dans mon ventre aujourd’hui. Je le laissais ainsi le parcourir à nu, le laissant poser sa main sous mon t-shirt avant de finir par dire :

    MILIE « Je crois que ce sera un petit loup… »
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MessageSujet: Re: J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux...   J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux... Icon_minitimeLun 27 Déc - 2:05

    Je vais être papa … J'ai du mal à savoir si c'est la réalisation d'un rêve ou juste une suite logique des évènements, mais …. je vais être Papa ! :D Je n'avais jamais vraiment songé à l'être si tôt car j'étais encore jeune, mais je sais qu'au fond de moi je l'espérais depuis longtemps. J'avais envie de l'engueuler, de la bouder, de lui faire savoir que moi je l'avais cherchée pendant ces semaines d'absences et qu'elle n'avait pas le droit de jouer comme ça avec mon cœur, mais j'étais incapable de lui en vouloir. J'étais aveuglé par l'amour et le fait qu'elle porte en elle le fruit de notre amour. Je ne pouvais cacher ma joie et paraître neutre, c'était impossible, c'était un trop beau moment à mes yeux. J'étais fier d'être le père de ce petit être, peu importe qu'il soit fille ou garçon, d'avantage loup que vampire ou l'inverse. Peut importe puisque c'était mon enfant et ça me suffisait pour l'aimer. Moi, papa gâteau en devenir ? Oui, possible. J'étais complètement gaga de ce petit ange avant même qu'il ne pointe le bout de son nez.
    Elle se blottit contre moi et je la serra dans mes bras comme pour la protéger elle et le bébé. Je serais toujours là pour elle, ce bébé je l'assumais totalement et je ne serais pas un de ces garçons qui fuient devant leurs responsabilités. Non, j'en était incapable. J'avais grandis avec l'amour d'un père, et bien trop peu avec celui d'une mère pour savoir à quel point on avait besoin de ses deux parents. Et je voulais que ce bébé ait l'amour de ses deux parents, peu importe qui il sera.
    Milie leva ses yeux vers moi avec un sourire, je lui souris à mon tour. J'aimais la voir comme ça, c'était mon plus beau cadeau.

    MILIE « Moi qui pensais arriver à te résister et te demander de me laisser enfin tranquille… Je crois que c’est mal barré. Jesse… je… il faut que je t’avoue quelque chose… »

    Je n'aimais pas la fin de cette phrase et j'aimais encore moins être laissé en suspens. Qu'elle ne me dise pas qu'elle veuille avorter car je refuserais aussi sec ! Ce bébé avait le droit de vivre et j'étais prêt à l'aimer et j'étais persuadé qu'elle aussi l'aimerait autant qu'une mère le peut: après tout c'est le fruit de ses entrailles.
    La femme que j'aimais plus que tout au monde, mon amour incarné et la mère de mon fils prit ma main pour la poser sur son petit bidon sous son t-shirt. Je sentais son bébé qui savait déjà très bien montrer qu'il était là. Combien temps ? Trois semaines au grand maximum ? Il paraissait prendre bien plus de place qu'un fœtus de trois semaines … en même temps avec des parents comme les siens ça n'avait rien de très étonnant.

    MILIE « Je crois que ce sera un petit loup… »

    Je souris d'avantage et l'embrassa sans attendre plus longtemps.

    JESSE « Garçon ou Fille, loup ou vampire, peu importe, je l'aimerais comme il sera parce que c'est notre enfant et qu'il mérite notre amour. » dis-je sans cesser de sourire.

    Bien sûr qu'au fond, qu'il est une plus grande partie loup que vampire ça m'arrangeais bien, mais j'en connaissais les conséquences aussi. Il serait le premier descendant Black, futur Alpha héritier de la meute s'il arrivait quelque chose à Matthew, ce que je ne souhaitais pas le moins du monde … mais de toute façon je souhaitais pas l'élever dans cet optique là. Ce serait un enfant bien avant d'être un possible héritier et je n'avais aucune envie de lui prendre la tête avec ça. Au fond, tout ce qui me préoccupait c'était qu'il soit accepté par tout le monde y comprit les Black, les Cullen et le reste de la meute. Pour ce qui est de ma famille, je ne me faisais aucun soucis: mon père sera ravis d'être grand-père et mes frères, tontons. Je craignais que Jacob ai du mal à l'accepter au début, bien plus que Renesmée ou Matthew, mais s'il ne l'acceptait pas je ferais avec. Quitte à devoir partir je protégerais ma famille, mais qu'il l'accepte serait mieux pour tout le monde …

    Ma tête sur son épaule, je la serrais contre moi sans aucune envie de la laisser partir. Je déposa un baiser sur le haut de sa tête avant de poser mon regard sur son fondant au chocolat.

    JESSE « C'est pour ça que tu m'as fuit pendant une semaine ? Parce que tu étais enceinte ? Tu n'aurais pas du Milie, tu devrais savoir que je serais toujours avec toi peu importe les épreuves. Je t'aime Milie et j'assumerais autant que toi ce qui pourra arriver. » dis-je, un peu trop sérieux à mon goût avant de lâcher un rire. « Et c'est parce qu'il ne supporte pas le sang que tu manges de la nourriture normale ? »

    J'avais écarté légèrement la tête de Milie pour pouvoir la regarder avec un grand sourire. Oui, c'est vrai que ça me faisait plus plaisir de la voir manger de la nourriture « humaine » plutôt que du sang, mais j'avais comme l'impression que sitôt l'enfant mit au monde elle reviendra à son ancien régime alimentaire. Mais même ainsi, je l'aimais inconditionnellement.
    Je souris et prit sa main pour aller marcher en ville. Ça faisait longtemps qu'on ne l'avait pas fait. Je la sentais hésitante, mais en insistant un peu elle finit par céder. Sans doute ne tenait-elle pas à croiser Mike ou n'importe qu'elle Volturi. Je me doutais bien qu'ils ne devaient pas savoir … un vampire portant l'enfant d'un loup ça faisait désordre, mais qu'ils essaient de me la prendre ou de faire du mal à notre bébé tiens et ils verraient ce que c'est qu'un loup protecteur en colère … J'étais sans doute aveuglé par la nouvelle du bébé, mais je ne les craignais pas et je protègerais mon fils et ma femme coûte que coûte.

    On marchait dans les rues lorsqu'on passa devant un magasin qui arborait une vitrine remplie d'habits et d'accessoires pour les bout'chous. Je ne pus m'empêcher de m'arrêter en souriant et après un moment je sentis qu'elle me regardait avec insistance.

    JESSE « Ben quoi, il lui faudra bien des affaires à ce petit … » dis-je d'un air innocent. « Et à toi aussi d'ailleurs Ma Belle. » dis-je en souriant après avoir risqué un regard en direction de son bidon.

    Elle était toujours autant magnifique, avec ou sans bidon, mais le petit être qui était pour l'instant bien au chaud était amené à grandir bien vite et même si je l'aimerais toujours autant avec quelques kilos de plus, pas sûre qu'elle rentre encore dans ses habits actuels …
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MessageSujet: Re: J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux...   J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux... Icon_minitimeLun 27 Déc - 4:01


J'ai comme le sentiment...
De ne pouvoir me passer de toi.





    Je laissais ses mains profiter de mon petit ventre qui ne tardera pas à grossir très bientôt alors que je lui confiais penser qu’il s’agira d’un petit loup. Je n’étais sûre de rien comme le sexe de l’enfant. Je ne pouvais que deviner. Mais quelque chose me disait que je n’étais pas très loin de la vérité. C’était peut-être l’instinct maternel. Je vis le sourire de Jesse à la nouvelle pour enfin recevoir mon baiser <3 ! Dans ses bras toutes mes peurs disparaissaient. Ces deux ans s’effaçaient… Je redevenais la Milie qu’il a toujours aimée. Oui j’avais peur mais dans ces bras tout semblait déjà un peu plus surmontable. J’avais du mal à comprendre parfois mais ma place était bien là… Je me sentais si bien… pourquoi vouloir fuir ? Par peur et je le savais. J’avais cette peur au fond de moi de l’avenir. Comment je pouvais savoir que ça marcherait pour toujours ? Comment je pourrais savoir que je ne souffrirais pas ? A trop tarder, à trop repousser, à trop fuir c’est la justement que je souffrais mais j’étais trop tête de mule pour me rendre compte que je ne faisais que compliquer les choses à vouloir me rebeller… En tout cas Jesse avait le don de savoir me rassurer. Ça n’avait d’ailleurs pas été tout le temps le cas. Avant de partir il était plutôt maladroit dans pas mal de choses Il faut croire que les gens changent et murissent avec le temps et que Jesse n’est plus l’adolescent que j’ai connu mais bien un homme. Mais qu’en est-il de moi ? J’avais le corps d’une femme mais je restais encore une enfant par mon manque d’expérience. Je n’avais que six ans d’existence et ça se sentait dans ma façon d’être parfois. Cette façon de fuir et de flipper de cette façon appartenait bien à une enfant et non une femme. Je n’étais pas évidente à suivre mais apparemment Jesse savait bien se débrouiller. Après tout l’imprégnation fait bien les choses… Jesse me sortait alors de mes pensées par une douce parole dont il avait le secret…

    JESSE « Garçon ou Fille, loup ou vampire, peu importe, je l'aimerais comme il sera parce que c'est notre enfant et qu'il mérite notre amour. »

    J’étais rassurée. Peu importe l’origine de notre enfant si jamais ça venait à mal tournée je pouvais compter sur lui pour les aimer peu importe ce qu’ils mangent… Je me voyais parfois si différente de Jesse. Au fond je lui ressemblais bien plus que je ne le pensais. Oui je préférais boire du sang mais je pouvais manger de la nourriture humaine, j’avais besoin de sommeil, j’étais faite en partie de chaire et de vivant. Je pouvais aussi grandir… j’étais comme lui. Je ne réalisais alors pas encore l’avenir de notre enfant. Il s’agissait d’un loup. Il était donc l’héritier direct pour gouverner la meute de mon père si Matthew venait à ne plus être de ce monde… Il était d’autant plus dangereux alors qu’Aro découvre son existence. Mais que ferais-je si Aro me demande prêt de lui alors que je n’ai pas eu le temps d’accoucher ? Désobéirais-je en refusant de revenir tout de suite ? J’espérais que ce jour n’arrive jamais tout comme le fait qu’on ne sache pas que je sois enceinte. Trouver une solution et rapidement pour éviter d’éveiller les soupçons de Mike et des autres était primordial et il faudra que j’en parle avec Jesse… Après tout la survie de notre enfant et de moi en dépendait…

    JESSE « C'est pour ça que tu m'as fuit pendant une semaine ? Parce que tu étais enceinte ? Tu n'aurais pas du Milie, tu devrais savoir que je serais toujours avec toi peu importe les épreuves. Je t'aime Milie et j'assumerais autant que toi ce qui pourra arriver. Et c'est parce qu'il ne supporte pas le sang que tu manges de la nourriture normale ? »

    MILIE « C’est ça… moque toi… c’est pour ça que je le soupçonne loup. Dès que je touche au sang où que je pense même à tuer pour en boire je deviens malade à en vomir tout ce que j’ai pu avaler… Il est anti-sang sans aucun doute et ça m’embête pas mal… D’ailleurs il ou même elle, après tout j’en sais rien mais le bébé est vraiment anti-tout ! Je peux pas faire ce que je veux ! Je sens de la tension quand je suis avec les autres volturis. J’en deviendrais presque irritable. Et je ne parle pas des hommes qui m’approchent à moins de deux mètres… Il à deux mois mais il embête bien son monde. C’est bizarre parce que ça me dit quelqu’un… Et tu n’as pas tord, une fois le bébé né je retournerais à mon régime alimentaire… Et moi aussi je t’aime… =D »

    Il prit alors ma main pour marcher en ville. Ça ne me faisait pas de mal de prendre un peu l’air. Je n’étais pourtant pas très confiance dans cette manœuvre. Restons logique, Jesse sentait le loup. Moi j’adorais son odeur mais les volturi, moyennement. Dèjà que quand je revenais Mike le sentait tout le temps ! J’étais obligée de pui faire par de mes soi-disant avancées. Le souci c’est que j’avais le sentiment que le bébé avait sa propre odeur ressemblant légèrement à celle de Jesse. Pour l’instant ça passait mais pour combien de temps ? Bref je n’étais pas confiante mais je finis par lui céder. Je pourrais faire passer ça pour de la manipulation… Mais qui es-ce que je manipule vraiment. Telle est la question… On s’arrêta alors devant un magasin pour bébés. Je regardais Jesse avec cette lueur de supplice. Pitié… Je ne m’étais encore pas vraiment faite au bébé, ayant tendance à oublier parfois que j’étais enceinte. J’avais du mal… Beaucoup de mal. C’était plus facile prêt de Jesse mais ce n’était pas encore ça.

    JESSE « Ben quoi, il lui faudra bien des affaires à ces petits … Et à toi aussi d'ailleurs Ma Belle. »

    MILIE « Pas aujourd’hui… s’il te plait. Je ne me sens pas d’humeur. »

    Je vis très bien la déception dans ses yeux mais il n’insista pas. Je finis alors par l’attirer à ma voiture. Je n’étais vraiment pas à l’aise en voiture. Il voulait conduire mais mon regard noir le refroidit aussitôt. Non mais oh ! Ya pas marqué danger publique sur mon front mais seulement enceinte ! Je démarrais alors la voiture pour quitter un peu la ville avec lui. J’étais déjà un peu plus à l’aise. Je finissais par être en pleine nature avec une route paumé entre une immense forêt. J’arrêtais un peu la voiture ayant besoin d’air. Je me sentais de nouveau nauséeuse. Ça m’apprendra à conduire à une vitesse vraiment pas autorisée ! Je marchais alors un peu suivi de prêt par Jesse qui devait surement faire attention à ce que je ne tombe pas. Je finis par sourire et me tourner vers lui.

    MILIE « Femme enceinte ne veut pas dire femme en porcelaine… »

    Ça finit par se calmer. Je me posais alors contre la carrosserie pour reprendre un peu mes esprits. Il était dans les quatre heures de l’après-midi. Je finis par lui sourire. En fait finalement j’avais retrouvé une bonne entente avec lui comme si jamais on ne s’était quitté. J’avais le sentiment que le bébé jouait beaucoup dans mon humeur face à son père. J’avais l’impression que quoi que je veille faire, je ne pourrais m’énerver contre Jesse. C’était d’ailleurs plutôt frustrant parce que j’avais besoin parfois de lui gueuler dessus pour me défouler mais je ne pouvais pas. Il me rendait trop heureuse. J’étais vraiment persuadée que ce n’était pas véritablement naturel comme ce besoin de protection et d’être contre lui. Je finis par venir me coller à lui. Je fermais tendrement les yeux me laissant prendre dans ses bras. Un bisou alors dans la nuque me fit démarrer au quart de tour violemment et à une vitesse pu normale. A deux mètres tout à l’heure de la voiture, le voilà le dos contre la carrosserie et mes lèvres saisissant les siennes dans un baiser fougueux avant de calmer le jeu. Les hormones de femmes enceintes ne me réussissaient vraiment pas. Je lui fis alors un sourire en coin.

    MILIE « Pardon… »
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MessageSujet: Re: J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux...   J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux... Icon_minitimeVen 31 Déc - 4:34

    Je souriais. J'étais content et rien ne pouvais m'enlever ce bonheur. Content d'avoir un enfant, content qu'il soit de Milie, content de l'avoir retrouvée et, parce qu'il faut bien l'avouer, content que notre enfant ait de fortes chances d'être un petit loup ! Et puis d'un autre côté … content aussi qu'il empêche sa mère de boire du sang humain. Et pour finir j'étais content de ma petite remarque sur les affaires qu'il faudrait acheter incessamment sous peu autant pour le bébé que pour celle que j'aimais. Oui, le mot était bien le bon. J'aimais Milie, je l'aimais du plus profond de mon âme et je serais prêt à n'importe quoi pour elle. J'envisageais plus que sérieusement de faire ma vie avec elle et encore plus de lui demander sa main, mais je tenais à faire ça dans les règles; pour une fois. Et même si Jake n'était pas toujours favorable à notre liaison, j'irais lui demander la main de sa fille comme il se doit car c'est comme ça que l'on procède et je tenais à le faire. Après tout, je ne tenais pas à me mettre à dos mon beau-père et si les tensions pouvaient s'adoucirent ce serait pas plus mal, surtout pour le bébé qui aurait besoin de toute sa famille, y compris ses grands pères. Mais ce n'était pas le programme du jour, non je ferais ma demande quand tout sera prêt, parfaitement et minutieusement prêt.

    MILIE « Pas aujourd’hui… s’il te plait. Je ne me sens pas d’humeur. »

    Je ne cachais pas la déception dans mes yeux. J'aurais tellement aimé faire les magasins pour ça aujourd'hui, moi qui n'était pas trop du genre à faire du shopping en temps normal … Pour une fois que j'étais motivé … Cependant je garda tout ça sans insister. Après tout, je n'allais pas la forcer à faire les magasins, elle ira les faire bien assez tôt. Elle m'attira vers sa voiture et je la suivis sans broncher. Le gentleman que j'étais, et surtout monsieur-le-protecteur-ayant-la-trouille-qu'il-arrive-quelque-chose-à-sa-copine, a voulu tenter de conduire le véhicule, mais le regard noir que me jeta Milie à peine l'idée m'eut-elle effleurée l'esprit me refroidit quelque peu. Je m'assis donc, résigné, du côté passager et la laissa conduire. On s'arrêta un certain temps après dans un endroit paumé. Je me demandais bien pourquoi on s'était arrêté ici, mais lorsque je la vis sortir de la voiture un peu pâle je n'hésita pas une seconde à la suivre. J'étais juste derrière elle, prêt à la saisir à la moindre défaillance.

    MILIE « Femme enceinte ne veut pas dire femme en porcelaine… »

    Je grimaça. Ça j'aurais dû m'y attendre. Elle semblait aller un peu mieux et s'adossa à la carrosserie. Elle me sourit, je lui souris à mon tour. Sourire un peu crispé, certes, mais sourire quand même. Ben quoi, j'étais pas totalement sûr qu'elle allait bien et je ne pouvais m'empêcher de me faire un peu de soucis pour elle, c'était plus fort que moi. Mais comme pour me rassurer elle s'approcha de moi et me laissa la prendre dans mes bras. Je la serrais contre moi, content de sentir de nouveau son corps contre le mien. Machinalement, je déposa un baiser sur son front avant d'en déposer un dans son coup. Je n'avais pas d'arrières pensées, il n'y avait pas de pulsions particulières dans ce geste, j'étais juste content de l'avoir dans mes bras, mais elle ne sembla pas le prendre comme ça. Je finis rapidement le dos contre la carrosserie, mes lèvres capturées par les siennes, c'était intense et soudain, mais ça ne me déplaisais pas pour autant. Elle se releva un peu, affichant un sourire en coin alors que je n'avais pas bougé de ma place allongé sur le capot. Je m'appuya sur mes coudes pour me relever un peu.

    MILIE « Pardon… »

    J'étais désormais assis sur le capot et j'attrapai ses mains pour la faire se rapprocher de moi doucement. L'une de mes mains alla se poser délicatement sur sa joue et je lui vola un baiser tout aussi délicat.

    JESSE « Pardon de quoi ma Puce ? Je t'aime tu sais ... » dis-je en souriant légèrement

    Mes mains désormais posées dans le bas de son dos à la limite de ses fesses, l'attirèrent on ne peut plus contre moi et je déposa des baisers dans son coup. Faire l'amour ici ? Non, je n'en avais pas l'intention. Je ne voulais pas profiter de ses « hormones de femme enceinte » pour ça. Mais il n'y avait aucun mal à en profiter pour de simples baisers passionnés. Je souris à cette pensée. Elle finit rapidement contre le capot de la voiture, mais je la manipulais avec une grande précaution de peur qu'elle ne casse à causes de gestes trop brusques. Je l'embrassais pendant que mes mains se baladaient là où elles le pouvaient.

    J'étais assis au pied d'un arbre, au milieu de hautes herbes et de fleurs, la fille que j'aimais assise à mes côtés, un de mes bras posé sur ses épaules et sa tête contre mon épaule. Ne me demandez pas comment on était arrivés ici, c'était tout simplement du à une suite d'évènements, et puis, c'était plus toujours confortable que le capot de la voiture. Ma main se posa sur son ventre et la sienne se posa sur la mienne. Je souris, le regard baissé sur le petit bidon dans lequel se trouvait notre bébé. Un jour, il faudrait lui trouver un nom, mais on avait encore le temps pour ça … quoi que je doute fort qu'on bénéficiera des neuf mois dont les humains normaux avaient besoin pour mettre au monde un enfant … Je souriais tout seul. On était jeune, mais qu'importe, j'avais l'impression d'être prêt pour cela.

    JESSE « Il faudrait peut être l'annoncer à tes parents et aux miens non ? Même si ton père n'est pas toujours d'accord avec nous je suis sûr que la venue d'un petit bout'chou l'attendrira. » dis-je avec un sourire.

    Je déposa un baiser sur son front. Je l'aimais, il n'y avait rien à redire là dessus, mais je ne la sentais pas très d'accord sur le fait de l'annoncer à ses parents. Bah on pourrait lui annoncer et au passage, je lui demanderais la main de sa fille :D après lui avoir demandé à elle bien entendu. La bague je l'avais, je l'ai toujours eu parce que j'ai toujours cru que ça arriverait un jour ou l'autre, mais j'attendais le bon moment.

    JESSE « Milie, mon cœur, ça va ? »

    Elle n'avait pas répondu à ma question précédente et je me demandais si elle méditait encore sur la question « Jacob » ou si elle pensait à quelque chose d'autre. Elle semblait préoccupée. Je n'aimais pas vraiment quand elle ne disait rien … Peut être que ses nausées la reprenait … ou alors je me faisais du soucis pour rien elle était juste en train de réfléchir.
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MessageSujet: Re: J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux...   J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux... Icon_minitimeVen 31 Déc - 17:45


    Pardon… Pardon de lui sauter dessus… Pardon d’être soumise à des envies que je ne sais contrôler. Pardon aussi de l’avoir fait souffrir pendant deux ans. Pardon d’avoir été si dure avec lui. Pardon d’avoir choisi Chris… Pardon d’être partie. Pardon d’avoir voulu le tuer. Pardon de vouloir parfois encore partir… Pardon d’être si différente et compliquée. Pardon de vouloir la gloire. Pardon de ne pas arriver à accepter la vie simplement comme je pourrais l’avoir plein d’amour et de tendresse. Pardon de chercher l’aventure. Pardon pour tellement de choses que j’ai pu faire ou désirer et qui ont fini par retomber à chaque fois sur Jesse. Le plus mal loti restait lui. Tous mes choix le touchaient directement et le faisaient souffrir. Il n’avait pas de chances de s’être imprégné de moi. C’est un peu comme ça que je voyais les choses. Et je n’aidais pas à ce que ça se calme et qu’il souffre un peu moins. Enfin jusqu’à aujourd’hui. Es-ce le fait d’être enceinte qui me faisait mûrir d’un seul coup ? Es-ce l’enfant qui m’aidait à être plus raisonnable pour protéger son père. Es-ce lui qui m’aide à voir l’essentiel : simplement aimer… Es-ce que j’allais arrêter de fuir ce qui me faisait peur ? Cet amour ne cessait de me hanter le jour où il est né. J’ai perdu mon âme pas auprès des volturis mais bien le jour où j’ai quitté Jesse. Je ne savais pas comment exprimer ce que voulait mon cœur. Comment lui dire que je n’ai plus peur… Comment avouer que j’avais confiance. Etre chez les volturis avait permis de me protéger de cette flamme. J’avais pu me protéger de ses yeux qui me désarmaient. Qui faisais-je le plus souffrir ? Moi ? Jesse ? J’avais parfois du mal à me rendre compte à quel point avec Jesse je renaissais. L’enfant m’aidait à comprendre que sans son père mon cœur se glaçait de l’intérieur… Je le sentais battre de plus en plus à chaque instant que mon corps était dans ses bras. Il ne suffisait que sacrifier ma raison mais quelle était-elle ? Serais-ce de rester loin de lui qui était raisonnable ou prêt de lui ? Une partie de moi n’était pas d’accord avec l’autre. Comme séparée en deux je ne savais qui écouter… La Milie de Jesse ? Celle aimante et douce qui ne peut se passer de ses bras ou la Milie aventureuse qui a besoin de liberté et de solitude ? Quel était le plus raisonnable ? Je n’étais pas capable de trouver une réponse à tout ça… Le bébé le faisait en quelque sorte pour moi. Je m’attachais doucement à cet être me rendant compte que le priver de son père n’était pas la solution. Le priver de sa mère et partir ? Ce n’était plus raisonnable… Les choses tournaient doucement en la faveur de Jesse avec cette grossesse. Assis sur le capot, il me regardait ampli de charmes. Il était si canon et si désirable… Si je ne savais pas me retenir je l’embrasserais de nouveau. Au fond j’aurais du me douter qu’on était inséparable. On finissait toujours par se retrouver. J’en faisais qu’à ma tête ? Le destin avait alors fait en sorte que je ne puisse plus m’enfuir par cet enfant. Quoi que… Tout le monde savait qu’à la moindre douleur je serais capable de m’enfuir. J’avais trop peur de mourir par amour… C’était étrange comme peur. Je n’avais pas de soucis avec la mort ou même les blessures à part celle du cœur. C’était mes plus grandes frayeurs. Je ressemblais tant à mon père. Je l’avais vu tant souffrir à travers ses pensées. J’avais senti à tel point ça faisait mal. J’avais si peur que ça m’arrive avec Jesse. Que le jour où j’accepte enfin à délivrer mon cœur de cette prison que je lui inflige quelqu’un vienne lui planter un poignard directement là où ça fait le plus mal. Alors oui j’avais peur… Mais j’apprenais contrairement à il y a deux ans à la maitriser. Jesse était plus fort, plus responsable et plus mature. Je savais que je pouvais compter sur lui bien plus que dans le passé. Attrapant mes mains il me rapprocha de lui. Sa douceur enivrait mon cœur faisant fondre le métal de cette cage l’entourant. Sa main se posant délicatement sur ma joue le réchauffait encore un peu plus. Son baiser volé était doux et délicat. Mon regard ne quittait plus le sien. Les impulsions de mon cœur étaient bien plus importantes et plus voyantes que ces deux dernières années où j’avais presque réussi à le taire…

    JESSE « Pardon de quoi ma Puce ? Je t'aime tu sais ... »

    Son sourire était si rassurant. Je m’y abandonnerais presque entièrement. J’avais ce désir au fond de moi de dire pour toujours… je t’aimerais pour toujours. Mais mes peurs résidaient. Et si je faisais ce souhait à haute voix ? Quelque chose viendrait-il tout faire pour me gâcher cette envie, ce besoin ? Je voulais lui dire que je l’aimais mais les mots ne pouvaient sortir. Pourtant mon regard, les émotions qu’on pouvait y lire était très claires. Il n’y a jamais eu de personne autre que Jesse qui puisse prendre une si grande place dans mon cœur. C’était bien trop fort, trop puissant et même parfois insoutenable. Ses mains sur le bas de son dos m’attiraient un peu plus contre lui. Mon ventre n’était pas encore assez gros pour nous séparait suffisamment. Un autre baiser vint se poser sur mon cou. J’adorais cette sensation. Il touchait le boumeur de mon cœur. J’avais peur de ne pas être à la hauteur de son amour. Pourrais-je arriver à ne pas le faire souffrir encore ? J’avais peur du moindre tournant de mes actes. Je n’étais plus seule. Mes choix seraient aussi celui du bébé. Il impliquait de briser ou de souder une famille que nous avons commencé à monter. Fuirais-je ces toutes nouvelles choses ? J’avais déjà perdu une part de moi du passé. Allais-je complètement me perdre ? Peu importe le choix que j’allais faire à l’accouchement il changerait pour l’éternité la vie de trois êtres. Et tout dépendait de moi… Le temps me rattrapait et ça me faisait encore plus peur… Et si j’apprenais simplement pour une fois à confier mon destin dans les mains de Jesse. Et si j’acceptais de le laisser pour une fois décider pour nous ? Ses baisers passionnés me faisaient oublier mes pensées et mes peurs. Je restais tout contre lui loin de la ville et de ses tracas en pleine forêt et ignorance. Si on oubliait tout un instant ? Et si j’étais simplement moi sans responsabilité ? Et si je ne pensais plus à rien. Qu’es-ce que ça donnerait ? ça…

    Mon dos maintenant contre la carrosserie, mes lèvres étaient scellées dans les siennes. Ses mains parcouraient mon corps. Je me sentais comme sur un nuage. *Mon amour…* Les mots m’échappaient… Les sentiments de mon cœur imprégnaient le sien par mon don. Longtemps certains de notre famille avant même l’imprégnation de Jesse ont pensé qu’on était fait l’un pour l’autre. D’autres ne comprenaient pas comment je pouvais vivre loin de lui. Chaque imprégnée de la tribu ne pouvait concevoir comment j’arriver à m’écarter de Jesse. C’était une première d’arriver à résister autant. Mais ils ne comprenaient pas… Jamais je n’ai su lui résister. Loin de lui c’était ma façon de me préserver et de ne pas perdre le contrôle de moi-même. C’était si facile de dire que je ne l’aimais pas loin de lui mais une fois face à lui j’étais incapable de dire quoi que ce soit. Mon cœur vibrait bien trop pour que je puisse le nier.

    Ses lèvres ne quittant pas les miennes je me sentais prise de frénésie. Non pas de sang mais bien d’amour simplement. Je finis par sourire entre deux baisers et le faire reculer en continuant à l’embrasser. Le loup en lui voulut échanger les places et me faire reculer à mon tour. Il faut croire que sur ce terrain il était dur pour l’un comme l’autre de laisser taire le prédateur en nous. On finit par s’enfoncer dans la forêt dans ce jeu duquel dominera l’autre. J’ignorais où nous allions. Il en était de même pour lui et peu importe. Laissez-vous simplement nous retrouver et apprendre de nouveau à ne faire plus qu’un à l’unisson de nos cœurs. Je finis le dos contre un arbre Jesse plutôt fier de m’avoir coincée. Je souriais de plus belle en l’embrassant de nouveau et de vitesse le retourner pour le faire glisser au sol avec moi. Le dos contre l’arbre assis de son côté, je me tenais maintenant à califourchon sur lui en continuant nos baisers complètement passionnés. Je le laissais parcourir mon corps sous le tissu de mes vêtements. J’adorais ces moments d’innocence entre nous. Je n’avais besoin que de ça au fond pour vivre aujourd’hui. Je retrouvais cette passion entre nous qui animait mon cœur. Je finis par me faufiler dans ses bras en cessant de l’embrasser, fermant les yeux une fois bien logée. Son bras avait entouré mes épaules alors que ma tête y était contre. Sa main se posa sur mon ventre une fois de plus. Je sentais que cette manie allait vite m’énervait venant des autres mais de Jesse c’était bien trop agréable pour que je l’en empêche une seule seconde… Ma main vint se poser tendrement sur la sienne… Jesse pensait à un nom. Moi j’écoutais simplement ses pensées en silence. Et non on ne bénéficierait pas de neuf mois mais bien de seulement trois voir quatre avec un peu de chance… Pas plus ? L’enfant restait en parti hybride et grandirait à une vitesse flippante ne l’oublions pas… J’allais alors me retrouver à la place de ma mère. Ça me faisait tout drôle de penser ça alors que je n’avais que six ans… J’étais si jeune pour ça… Mais Jesse se sentait prêt et ça me rassurait. C’est tout ce que j’avais besoin.

    JESSE « Il faudrait peut être l'annoncer à tes parents et aux miens non ? Même si ton père n'est pas toujours d'accord avec nous je suis sûr que la venue d'un petit bout'chou l'attendrira. »

    Je réfléchissais à ce qu’il venait de dire. Il n’avait pas tort. Sauf que ce qu’il ne savait pas c’est que Nessie et Lirose le savait déjà. Donc Edouard surement aussi. A mon avis si mon père n’en avait pas encore entendu parler j’avais un coup de chance mais j’avais comme le sentiment que ça ne tarderait pas si ce n’est déjà fait. Je n’aimais pas l’idée d’affronter mon père après deux ans. Moi qui étais si proche de lui dans le passé, ça me faisait bien peur encore une fois… Je le connaissais assez bien pour être capable de condamner mon état et Jesse par la même occasion. A moins que je ne revienne définitivement. Je savais que ce n’était que la seule chose qui pourrait apaiser mes parents. Mais en avais-je envi. Pendant la grossesse je ne quitterais pas Jesse. Je n’en avais pas le courage et le bébé ne m’aidait pas du tout dans cette optique… Après ? Je pensais peut-être partir sans le bébé mais aurais-je ce courage de l’abandonner. Je me connaissais que trop bien. Je ne disais rien mais je savais qu’avec ce bébé je n’étais pas prête de quitter les contrées canadiennes comme ça… Et puis aurais-je vraiment envi de partir après avoir vécu cet idylle avec Jesse ? Franchement ? Là aussi je connaissais déjà la réponse. Il déposa un baiser sur mon front alors que je me laissais faire.

    JESSE *…et au passage, je lui demanderais la main de sa fille :D*

    Je déglutis d’un seul coup. Ais-je bien entendu ?! Ma main ? Quel main O.O ?! Et quelle bague O.O mon cœur s’accéléra d’un seul coup sans prévenir par stresse. Si je n’étais pas prête pour un enfant, je ne vous parle même pas de mariage. Le truc c’est que le bébé lui avait plus content de l’entendre ! Je vous dis pas le mélange de sentiments en moi –‘

    JESSE « Milie, mon cœur, ça va ? »

    MILIE « euh… oui.. Enfin non. Oui. Mais non !! Non non non !!! Jesse n’y pense pas ! »

    Je me redressais d’un seul coup pour chuter en arrière alors qu’il me rattrapait de justesse. On se retrouvait debout moi contre lui. Je lui donnais des coup sur le torse mais amusé il ne me lâcha pas. Avait-il l’habitude de me voir fuir pour un rien ? Faut croire… Il ne savait pas pourquoi je me mettais dans cet état là mais le petit saligot mettait ça sur les hormones de femmes enceintes. Je vais lui en foutre moi des hormones ! Il me demandait de me calmer… Pas moyen. Je lui criais dessus :

    MILIE « Tu crois que m’avoir mise enceinte te donne une raison suffisante pour demander ma main à mon père et avoir un oui ?! Tu crois franchement que je vais accepter ? Jesse Nolan Thélio Ateara, vous rêvez pour que je vous dise oui un jour !!!! Jamais ! Tu entends ?! Jamais je ne serais ta… »

    Je ne pus finir ma phrase…
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MessageSujet: Re: J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux...   J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux... Icon_minitimeVen 31 Déc - 19:23

    Je la sentais soucieuse et j'étais persuadé que je ne me trompais pas. Je m'étais laissé porté par mes pensées rêveuses sur un avenir ensemble et dans le meilleur des mondes. J'étais tellement inspiré par celles ci que je n'avais même pas fait attention à ma bourde. C'est innocemment que je lui demanda alors si quelque chose la dérangeait dans ce que je lui avais dis. Certes son père et elle n'étaient pas toujours en bons termes, mais ce n'était pas un grand méchant et en l'annonçant correctement il finirait par accepter que son bébé était une femme et qu'elle allait avoir un enfant à son tour. Il était borné mais pas complètement stupide quand même, il devait bien savoir que ça arriverait un jour ou un autre. Il n'y avait pourtant pas de quoi en faire tout un plat. Aveuglé, je ne voyais pas ce qui pouvait autant perturber Milie.

    MILIE « Euh… oui.. Enfin non. Oui. Mais non !! Non non non !!! Jesse n’y pense pas ! »

    Je la regardais étonné. L'annoncer à son père lui faisait-il autant peur que cela ? Elle se releva d'un coup et je l'imita aussitôt. Elle manqua de chuter mais je la rattrapa de justesse, l'attirant de nouveau à moi. Oui, je n'aimais va vraiment qu'elle soit loin de moi, elle l'avait été pendant trop longtemps et je ne voulais pas que ça recommence. Elle me donna des coups sur le torse, je la regardais amusé. Elle était mignonne quand elle faisait cela, elle paraissait si faible et encore si enfantine. Elle faisait cela tellement souvent quand elle était contrarié que ça ne m'attristait pas des masses. Je trouvais ça mignon. En général elle se renfrognait pour de petites choses, le plus souvent sans grande importance, mais je saisissais toujours ce qui l'avait fait réagir, cependant là j'avais du mal. J'étais borné sur le fait que son père n'était pas un monstre et je ne bougeais pas de mes positions, sans penser aux pensées que j'avais pu avoir au même moment. Bah, sans doute les hormones … Ce ne serait pas la première fois que ça arriverait …

    MILIE « Tu crois que m’avoir mise enceinte te donne une raison suffisante pour demander ma main à mon père et avoir un oui ?! »

    Oh le con ! Mais bien sûr ! Je n'étais plus habitué à lui cacher mes pensées pour la simple et bonne raison que je ne lui cachais plus rien. Mes mensonges avaient bien faillit briser mon couple il y a longtemps et j'avais alors prit ma résolution de ne plus jamais lui mentir ou lui cacher ce que je pensais. Grossière erreur, surtout en ce moment où je rêvais au futur, même si rien ne pressait. J'avais songé à lui demander sa main, oui, mais je ne pensais pas le faire dans la semaine à venir, cependant ça, elle n'y avait pas fait attention. On était jeune, on était pas obliger de sceller notre futur aujourd'hui, je me plaisais juste à y penser. Cependant, il faut avouer que j'étais pas très futé d'y avoir pensé en sa présence.

    MILIE « Tu crois franchement que je vais accepter ? Jesse Nolan Thélio Ateara, vous rêvez pour que je vous dise oui un jour !!!! Jamais ! Tu entends ?! Jamais je ne serais ta… »

    Elle n'eut pas l'occasion de finir sa phrase. En effet, un de mes baisers la coupa net dans son élan. Moi, petit profiteur ? Oui, un peu, mais je savais que hausser que le ton pour arriver à couvrir sa voix n'aurait servit à rien. Autant le faire avec délicatesse. Je me détacha doucement de ses lèvres et posa une main sur sa joue. Elle me lançait un de ces regards noirs et j'esquissai un sourire en coin.

    JESSE « Calme toi mon cœur ... » dis-je en la prenant dans mes bras.

    Elle ne luttait pas, mais je savais qu'au fond elle pensait que c'était traitre et petit comme tentative de rachat. Je souriais, ma tête sur son épaule. Finalement, je m'écarta un peu pour la regarder.

    JESSE « Excuse moi mon cœur, je n'avais pas pensé que ça te mettrait dans cet état. Oui, j'ai songé au mariage, mais pas pour tout de suite. On est encore jeune et même si je suis certains de vouloir faire ma vie avec toi rien ne presse. » Dis-je avant de déposer un nouveau baiser sur ses lèvres. « On ne se mariera que quand on sera prêt … quand tu seras prête ... »

    Je déposa un autre baiser tout léger sur ses lèvres douces et si attirantes. J'étais fan de ces baisers et de ses lèvres aussi. Ce mariage je le souhaitais ardemment, mais ce que je souhaitais plus que tout au monde c'est qu'elle soit heureuse et qu'on puisse former une belle famille. Je n'avais pas été très prudent en pensant aussi ouvertement, mais au moins je connaissais sa position sur la question, même si je m'en doutais déjà. Milie n'avait que six ans et même si elle était extrêmement mature pour son âge, je comprenais bien que tout ça aille un peu trop vite. Moi même j'avais parfois un peu de mal à réaliser ce qui se passait entre nous.

    J'étais à quelques millimètres de ses lèvres. J'y étais complètement accro, mais je savais qu'elle aussi était accro au mienne et qu'elle avait envie autant que moi de ce baiser qui promettait d'être on ne peut plus passionné que le précédent. Je m'arrêtais. Immobile, ces tout petits millimètres séparaient nos lèvres et je ne les brisaient pas. J'esquissais un petit sourire en coin.

    JESSE « Ceci dit, maintenant si tu veux toujours me frapper ... » dis-je avec un air taquin

    Sale gosse ? Moi ? Nooon, je suis un aaaaaaaaaaaaange (a). Je n'étais plus le jeune garçon insouciant, joueur et complètement immature que j'étais avant que Milie me quitte. Finalement, cette rupture m'avait peut être fait du bien de ce côté là: ça m'avait obliger à murir et à me remettre en question, mais je restais Jesse Nolan Thélio Ateara: petit bout-d'entrain qui ne manquait pas une occasion de s'amuser et d'embêter sa petite copine, aussi charmante et aimée soit-elle. Oh oui, je l'aimais, c'était un fait certain, mais qui aime bien châtie bien nan ? Et elle, qu'est-ce qu'elle en pensait ? Est-ce qu'elle me frapperait ? Est-ce qu'elle cèderait et m'embrasserais passionnément ? J'avais ma petite idée la dessus, mais pas question d'y penser, ça risquerait d'influencer son choix: on ne fait pas deux fois la même erreur et de toute façon, je n'eus pas longtemps à attendre pour savoir ce qu'elle avait décidé de faire.
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MessageSujet: Re: J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux...   J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux... Icon_minitimeDim 2 Jan - 0:01


    J’étais loin de comprendre qu’il ne voulait pas m’épouser dans la minute. Moi je ne me sentais pas prête. A moins que ce ne soit encore un moyen de repousser ma destinée. Comme si franchement j’allais y arriver enceinte de ce petit loup maintenant ?! J’étais assez butée dans mon genre et loin de faciliter les choses. Je ne savais pas faire dans la simplicité. Il fallait que je passe par milles chemins pour revenir sur mes pas et finalement reprendre le chemin qui aurait du être pris depuis le début. J’étais comme ça mais si je prenais le premier chemin dès le départ la vie ne serait-elle pas un peu trop ennuyant ? Serais-je ce que je suis si je ne suis pas passée par toutes ces zones de difficultés ? Je n’étais pas si sûre. Aurais-je eu cet enfant si j’étais restée là ? Aurais-je grandi de cette façon là ? Pas dit… Je ne regrettais rien parce que mes choix avaient fait ce que je suis maintenant et je l’assumais totalement. Mais un mariage… Franchement… Un bébé ne lui suffisait pas ? Il voulait en plus ma main et mon âme en plus de mon corps et de mon cœur ? ça ne m’étonnait pas de Jesse. Il n’a jamais aimé partager une partie de moi à quelqu’un d’autre. Mais au fond étais-je si différente ? Que dirais-je si une femme approchait Jesse pour le séduire. Elle n’aurait que le temps d’y penser que pour une fois le bébé et moi serions d’accord sur la mort de cette nana. Le bébé était d’accord sur ce point avec moi : notre future famille avant tout et gare à celui qui veut la détruire… je me sentais d’humeur jalouse rien que d’y penser. L’épouser enlèverait toute chance à une autre à mes yeux mais l’épouserait serait resté une bonne fois pour toute ici. Je doute que le nom Ateara se marie très bien avec celui de Volturi. Ou alors je serais bien la première à révolutionner cette nouvelle tendance. Je reste l’une des premières hybrides déjà des Volturis et même peut-être la première. Serais-je aussi celle qui permettrait une alliance entre les Volturis et les loups ? Je n’y avais jamais vraiment pensé. Mais cette idée me paraissait tellement dingue ! En tout cas je n’hésitais pas à m’énerver à l’idée qu’il demande à mon père. Pourquoi ? Parce qu’au fond de moi je connaissais déjà la réponse de mon père… Il dirait oui. J’en avais la franche certitude. Après tout j’étais l’imprégnation de Jesse. De plus il était le père de mon futur enfant et enfin c’est le seul qui a le pouvoir de me ramener à la raison. Mon père en était conscient. Et puis il valait toujours mieux pour sa fille, Jesse qu’un volturi. Interdire ma main à Jesse serait prendre le risque que je m’attache à un « sale buveur de sang » comme mon père aimait les appeler. Hors tout ça me déplaisait… Voir Jesse et Jake décider de mon avenir pour moi ne me plaisait vraiment pas. Et moi ? Je pouvais demander mon mot ? Ne voulais-je pas ? Sii ! Mais non ! Pas comme ça ! Pas parce que je suis enceinte ! Pas parce que mon père le veut. Jesse me connaissait-il vraiment assez encore pour oser demander ma main de cette façon. Il se trompait sur toute la ligne. Demander à mon père serait me priver de cette liberté que j’ai cherchée depuis le début. Pour moi mon père n’avait pas son mot à dire. Si je voulais me marier je me marierais peu importe l’avis de mon père. Je restais têtue là-dessus. Me marier serait pour l’éternité. Il n’y avait que moi qui avais le droit de choisir dans cette affaire.

    MILIE « Tu crois franchement que je vais accepter ? Jesse Nolan Thélio Ateara, vous rêvez pour que je vous dise oui un jour !!!! Jamais ! Tu entends ?! Jamais je ne serais ta… »

    Seulement je n’eus pas le temps de finir mon énervement sur Jesse que cet effronté qui me connaissait bien trop saisi mes lèvres dans un baiser passionné que je ne sus que lui rendre avec encore plus de puissance et d’intensité. C’est là qu’il me connaissait. Il n’y avait qu’un baiser qui pouvait me calmer. Je ne voulais entendre raison alors pourquoi parler. Seul le corps pouvait m’arrêter et là ce baiser en avait bien joué son rôle… Quand ses lèvres quittèrent les miennes je ne savais plus quoi dire. Il posa sa main délicatement sur ma joue. Je ne pus m’empêcher de lui lancer un regard noir pour seule réponse. Il ne pouvait s’empêcher de sourire. Qu’il cesse où j’allais lui faire ravaler son sourire de beau gosse !

    JESSE « Calme toi mon cœur ... »

    Il me prit dans ses bras. Je ne sus que me laisser faire. Il était terriblement canon avec son sourire. Je ne savais décidément pas lui résister c’était dingue ça ! Je ne luttais même pas une seule seconde. C’était traitre… Et le bébé qui en rajoutait une couche… Je me retrouvais en infériorité face aux charmes de Jesse et aux désirs du bébé…

    JESSE « Excuse moi mon cœur, je n'avais pas pensé que ça te mettrait dans cet état. Oui, j'ai songé au mariage, mais pas pour tout de suite. On est encore jeune et même si je suis certains de vouloir faire ma vie avec toi rien ne presse. » Dit-il avant de déposer un nouveau baiser sur mes lèvres. « On ne se mariera que quand on sera prêt … quand tu seras prête ... »

    J’avais le droit à un autre baiser. Ce qu’il ne comprenait pas c’est que j’étais prête pour tout avec lui. J’avais fait le choix de lui offrir ma première fois. Mon corps à jamais alors que personne n’avait pu et ne pourra jamais y toucher. N’es-ce pas un signe ? Mon cœur était tout à lui. La suite me paraissait logique. Mais je ne voulais pas que mon père joue un rôle à cette union. Je voulais que ça vienne seulement de nous deux et temps pis des conséquences si ça ne plaisait à personne. Je ne voulais pas réfléchir. Je voulais agir et subir après peu importe ce qui arrivera parce qu’à deux on sera bien plus fort.

    Jesse était totalement en kiff sur mes lèvres. Je ne pouvais sentir ma colère s’apaiser en l’entendant ne pas savoir y résister. T’as raison mon amour… Je suis si irrésistible =D ! Je sentais que Jesse désirait ce mariage plus que tout. Il me tentait affreusement… Et si on allait à Las Vegas ?! #SBAFF# XD Non je plaisante… Si je devais me marier je voudrais que ça se fasse sur la plage. Je voulais sentir le soleil chaud nous caresser le visage. Je voulais avoir une robe d’un magnifique blanc écarlate. Etre amenée à l’autel par mon père et voir ma mère tenir notre enfant dans ses bras les larmes aux yeux. Je voulais sentir le vent dans mes cheveux ramenant au même moment son parfum si attirant. Je voulais pouvoir dire oui devant tout le monde… Oui, oui et encore oui. Je me laissais complètement emporter par les rêves de Jesse. J’allais finir par en prendre goût…

    JESSE « Ceci dit, maintenant si tu veux toujours me frapper ... »

    Ses lèvres si proches des miens… cet air taquin et ce sourire… il croit vraiment que j’ai envi de le frapper avec ça ? je finis par sourire malgré moi… Je ne pus m’empêcher de saisir ses lèvres dans un baiser passionné. Il me tenait complètement. Coquin va… Je restais tout contre lui lançant échapper malgré moi les images de notre futur possible mariage que je m’étais imaginée moi-même lançant deviner ma véritable décision cachée sur la question. Je ne quittais plus ses lèvres au point de laisser filer le temps à une vitesse que je ne contrôlais même plus… On s’assemblait si bien au point de se ressentir. On s’aimait à un point que personne ne pouvait comprendre. Un baiser était comme le souffle de notre vie. On en dépendait tous les deux. C’était mon air, mon oxygène… Je ne pouvais pas vivre éternellement sans lui. On n’allait pas toujours dans le même sens mais on finissait toujours pas se croiser de nouveau. On était uni. Et on allait être parent… et je voulais rêver comme jamais je ne l’avais pas fait depuis trop longtemps. Je finis par sourire et prendre la main de Jesse pour l’entrainer avec moi dans la forêt. Peu importe cette voiture au bord de la route. Peu importe ce qui nous attendait. Rien ne pouvait nous empêcher simplement d’aimer. Je reculais alors en tenant ses mains dans les miennes avec un magnifique sourire. Je l’attirais vivement pour gagner ses lèvres dans un baiser vif et rapide avant de me tourner et d’avancer. Il me suivait nos mains étant toujours liées.

    MILIE « Alors Jesse… Que prévois-tu pour nous trois ? »

    Je venais de me retourner en continuant à reculer. Mon dos se posa délicatement contre un arbre alors que mon regard pleins d’étoiles ne quittait plus le sien…
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MessageSujet: Re: J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux...   J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux... Icon_minitimeDim 2 Jan - 22:31

    Elle pensait au mariage, je le voyais. Elle ne prenais pas la peine de cacher ses pensées et ça me faisait sourire intérieurement. Elle n'était pas si contre que ça finalement, je m'en doutais. Ses lèvres ne quittait plus les miennes et par tout les dieux, c'est fou ce que j'aime ça. Pendant combien de temps ? Pourquoi j'irais regarder l'heure ? Je ne m'ennuyais pas le moins du monde et ça pouvait durer des heures que ça ne me dérangerait pas plus. J'aimais ça et jamais je ne m'en lasserai. Elle reculait en tenant mes mains dans les siennes. Elle souriait. Qu'est-ce qui lui passait encore par la tête ? Je me laissais faire, me demandant où elle voulait en venir. Je n'aimais pas être loin de ses lèvres et encore moins quand elle mijotait quelque chose que j'ignorais. Elle n'avait pas l'air d'aimer être loin de moi non plus puisqu'elle m'attira de nouveau à elle pour m'embrasser vivement. Je me détendis rapidement. J'aimais cela. Ca ne dura pas bien longtemps elle se retourna encore et fila, mais toujours sans lâcher mes mains, des fois que je fuis …. sait-on jamais.

    MILIE « Alors Jesse… Que prévois-tu pour nous trois ? »

    Pour l'instant, je me demandais surtout ce que elle elle avait prévu pour nous. Elle s'était retournée vers moi, mais continuait à reculer, et moi j'avançais, suivant le moindre de ses mouvements. Je la dévorais du regard. Elle s'arrêta quand son dos toucha un arbre. Elle me regardais des étoiles dans les yeux. Ah la petite coquine … Je me mordis la lèvre, mais ne toucha pas aux siennes. Je fis mine de réfléchir à sa question.

    JESSE « Hummm je ne sais pas … pourquoi pas un poker ? »

    Elle me regardait bizarrement. Je leva les yeux au ciel et soupirant avant de sourire. * Ben quoi, tu m'as posé une question, j'ai répondu … alors on va se le faire ce poker ? * Oh vous auriez du voir la tête qu'elle m'a tiré ! Elle ferait presque peur. Je m'empêchais de rigoler et l'embrassa. Baiser qu'elle ne me rendit pas. Le contraire m'aurait étonné.

    JESSE « Ah lala … à quoi servent les questions si on ne peut même plus y répondre ce que l'on veut … Tu croyais franchement que j'allais faire un poker quand la plus belle femme du monde est à mes côtés ?  »

    Je déposa un baiser sur ses lèvres au goût sucré. * Boude pas mon cœur sinon je m'en vais … * J'aimais pas l'embrasser dans le vide. J'aimais beaucoup de choses mais certainement pas ça. Oh elle voulait bouder ? Et bien tant pis pour elle: je la chatouillerais à mort ! Mwahahahaha ! Je mis ma menace à exécution aussitôt. Elle me supplia d'arrêter assez rapidement et le baiser qu'on échangea alors fut des plus passionnés. Je m'écarta pour sourire, fier d'avoir réussi mon coup, mais je ne resta pas loin bien longtemps ! Bizarrement la demie-seconde qui suivit j'étais encore collé à ses lèvres, mes mains sur ses hanches. Les baisers défilèrent à un rythme fou et enivrant. Rien ne pouvait me faire arrêter, j'étais enivrer par le rythme des baisers, le goût de ses lèvres si exquises et les battements à l'unisson de nos cœurs respectifs. Mes mains se baladaient aisément sous son t-shirt. Je m'aventura dans son cou déposer un baiser, ou deux ou trois. S'en était finit de nous, notre sort dans l'immédiat était scellé. Son haut était partit un peu plus loin en même temps que le mien. Est-ce que c'était raisonnable ? Qui pourrait le dire en cet instant précis franchement ? Sûrement pas moi en tout cas. J'étais face à elle et je me mordis la lèvre. J'attendais quelque chose ? Non pas vraiment. J'étais juste en train de me dire que cette fille était extrêmement jolie et désirable et que j'avais bien de la chance de l'avoir avec moi.
    Les minutes défilaient, la chaleur augmentait et les habits disparaissaient miraculeusement. Mes mains redécouvraient son corps à chaque fois surtout que là ça faisait plus de trois semaine qu'elles ne l'avaient pas senti. Je lui souriais, lui susurrait des mots doux. Je l'aimais. On était dans notre bulle. J'étais tout contre elle et bientôt le rythme s'intensifia jusqu'à ce qu'il arrive à son paroxysme. Mon cœur menaçait de sortir de ma poitrine avec le rythme auquel il battait. Les baisers étaient plus passionnés.

    La chaleur redescendit quelque peu (enfin tout est relatif avec un loup brûlant dans les parages) et je la pris dans mes bras après lui avoir déposer un ultime baiser. Je respirais l'odeur de ses cheveux, mon cœur tentant de regagner son rythme habituel. Ce qui pouvait arriver maintenant n'avait plus d'importance. Je l'avais retrouvée et je l'aimais.

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MessageSujet: Re: J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux...   J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux... Icon_minitimeLun 3 Jan - 17:27


    Que prévoyait-il pour nous trois exactement ? J’avais cette curiosité en moi. Je ne savais pas où allait ni comment on allait y aller. C’était ma façon de lui demander de me rassurer et que tout ira bien quoi qu’il arrive. Je retrouvais mon humanité doucement. Plus ça allait et plus on pouvait se demander si d’ici la grossesse je porterais encore le nom de Volturi. Je refusais de le changer pour porter mon ancien nom pour l’instant… Mais ne changerais-je pas d’avis plus tard alors que cet enfant me rattachera bien plus à la meute qu’aux vampires ? A moins que Jesse ne me laisse pas l’occasion et le temps de retrouver mon ancien nom que je porterais le sien… J’avais mon cœur plein de petits papillons quand j’y pensais. Ne serais-je finalement pas contre ? Au fond de moi j’en rêvais… N’avais-je pas peur comme d’habitude ? Oh que si j’aurais peur mais dans ses bras tout était différent… plus doux. Je le voulais. Je le sentais. Oui je le voulais… Es-ce le bébé qui m’y incitait ? Non c’était moi et seulement moi. Comment ne pas voir la réalité en face. J’ai beau tout faire je finis toujours dans ses bras. J’étais butée mais pas à ce point… Serais-je en train de grandir ? Possible… Mais je voulais être à lui et pas que par le corps… Alors ? Que prévoyait-il ? Il me dévorait complètement du regard… Mon dos toucha un arbre… Il se mordait les lèvres alors que je rayonnais d’un sourire que je n’avais pas retrouvé depuis trop longtemps. Il fit mine de réfléchir à ma question…

    JESSE « Hummm je ne sais pas … pourquoi pas un poker ? »

    MILIE « Quoi ? »

    JESSE * Ben quoi, tu m'as posé une question, j'ai répondu … alors on va se le faire ce poker ? *

    MILIE *JESSE >.< !!!!!!!!!!!!!!!!*

    Et lui il m’embrasse >.> … C’est ça fait toi pardonner ! Si je lui rends ? Que dalle xD !!!! Je boude. Oui je boude. J’ai décidé de bouder et je vais bouder !

    JESSE « Ah lala … à quoi servent les questions si on ne peut même plus y répondre ce que l'on veut … Tu croyais franchement que j'allais faire un poker quand la plus belle femme du monde est à mes côtés ? » * Boude pas mon cœur sinon je m'en vais … *

    Il m’embrassait encore mais je boudais toujours. Je parlais sérieusement et lui il déconnait ! O____O Pas les chatouilles O.O !!!!! Je hurlais de me lâcher ! Je le suppliais même d’arrêter mais rien n’y faisait, il continuait ! Je pris alors sa tête de canaille pour l’embrasser vivement et le faire cesser. Si ça marchait ça ? Bien évidemment ! Je reste la plus belle femme du monde à ses yeux ! Comment pourrait-il résister héhé ! Il me rendit alors mon baiser avec beaucoup de passions. Petit faible =D ! Mais j’en prenais tout de même sacrément goût. J’adorais ses lèvres et son corps autant que lui adorait les miens… Il s’écarta fier d’avoir réussi à avoir son baiser. C’est ça sourit espèce de fourbe… Ses mains sur mes hanches alors il ne quitta pas mes lèvres longtemps et… et quoi ? Ben incapable de nous tenir correctement l’un contre l’autre et complètement indisciplinés et bien… on fit l’amour ensemble =D ! Et ça jamais je n’oserais le dire à mon père mais… J’adore ça O.O ! Et c’est bien parce que c’était Jesse… J’aimais cette façon qu’il avait de me séduire… ce pouvoir en lui de me faire craquer. J’aimais cette passion dans ces lèvres. Je le désirais chaque jour que dieu fait. J’ai tant voulu pendant longtemps qu’il ne me donne pas d’attentions, qu’il m’oublie mais comment pourrais-je vivre sans ? J’adorais tout ce qu’il faisait naitre en moi du simple sourire jusqu’à cette émotion intense et ce besoin de lui. Je niais cet amour parfois mais soyons réaliste… Je sacrifierais ma vie pour lui. Il était l’amour de ma vie quoi que je fasse… Un soupçon de badboy… Un peu d’humour… Cette tendresse… Il avait la formule magique qui me faisait craqué. Un seul sourire et je me laissais emporter dans ces bras. Sa folie et son charme sans parler de son côté romantique et de sa voie. Je ne pouvais plus m’en passer. L’avoir retrouver c’était comme retoucher à la drogue. Je sombrais de nouveau dans mes sentiments… Je ne laisserais personne nous séparer. Après tout il n’y avait que moi qui en avais le droit. Et encore ! je connaissais Jesse pour ne pas me laisser fuir comme ça une seconde fois. Je le sentais dans chacun de ses gestes. Il tentait de m’accrocher, toucher mon cœur. C’était une jolie réussite. Dans ses bras je ne pensais qu’à rester… Mon corps encore nu dans ses bras refusait de le quitter. Pourtant on ne pouvait pas rester nu comme ça tous les deux. Il fallait bien que je me couvre surtout avec cette fraicheur. J’étais immunisée mais pas autant qu’un vampire ou un loup. Je restais en partie humaine et même si la maladie ne pouvait me toucher je pouvais très bien avoir froid. Les bras de Jesse me réchauffait suffisamment mai s ce n’était pas une raison =p On finit par retrouver nos vêtements avant que je ne finisse par lui donner un coup sur son torse en me mordant les lèvres.

    MILIE « Jesse… Tu n’es qu’un pervers incapable de te contenir et de ne pas me faire l’amour cinq secondes depuis que tu m’as retrouvé ! En plus je n’ai même pas eu de réponses concrètes à ma question. Bravo l’exemple que nous donnons au bébé ! »

    Son air innocent genre lui me fit rire. Oui lui ! Non mais oh ! Canaille… Il faisait vraiment l’innocent choqué par mes paroles. Je rigolais de plus belle. Je finis par l’embrasser. Quoi ? Moi faible ? Et alors ? C’est l’amour de ma vie je fais bien ce que je veux ! Il me prit dans ses bras un instant que je pris le temps d’apprécier avant d’aller chercher le reste de mes fringues plus loin. Ben vis il avait jeté ma ceinture je ne sais où… --‘ C’est que pour me déshabiller non seulement c’était un rapide mais en plus un as en la matière. Je regardais alors un peu partout m’éloignant un peu de Jesse qui lui finissait de remettre son jean alors que son t-shirt trainé non loin. Je finis par retrouver ma ceinture quatre mètres plus loin (il était obligé de semer mes affaires comme ça xD ?!). J’eus alors à peine le temps de la ramasser qu’on me bloquait les mains et les bras d’un seul coup sans prévenir dans le dos. Vampire… Inutile de voir mon agresseur, l’enfant et moi le sentions assez pour le deviner. Une odeur que je ne reconnaissais pas. ça ne pouvait pas être un volturi je les connaissais tous dans leurs odeurs. J’allais alors appeler Jesse mais sa main se posa sur mes lèvres alors que mon amour avait le dos tourné en train de chercher un truc au sol, encore torse nu. Je voulais crier mais je ne pouvais pas. J’allais alors utiliser mon dos pour l’appeler par les pensées quand Jesse se redressait d’un seul coup. Il venait de sentir trop d’odeurs de vampire pour n’être que la mienne. Il tiqua et se retourna vivement. Un vampire me tenait alors que deux autres m’entouraient…

    VAMPIRE « A ta place je ne ferais rien où c’est sa tête que je brise… Tu ne voudrais pas qu’elle meurt si vite… »

    Les vampires contrairement aux loups ne pouvaient pas sentir mon état de grossesse qui n’était pas assez avancé pour se voir. Je gigotais mais il me tenait bien par le ventre et le cou en bouchant mes lèvres. Le vampire menaçait mon corps entier si Jesse faisait un pas de travers. Je suppliais Jesse de ne pas bouger. Je lisais en ces vampires comme un livre ouvert. Ce n’était que des nomades… des exilés par les volturis. Il ne supportait pas tout ce qui touchait mon clan. Il pensait se venger d’Aro en me capturant pour le faire chanter. C’était mal connaitrez Aro et encore moins connaitre ma situation… Si les volturis ne viendrait pas me chercher ils auraient la meute à leur trousse. Je sentais mon corps se faire reculer. Je lançais les informations que j’avais de ces nomades à Jesse pour qu’il considère toute la situation et n’agisse pas sans réfléchir…
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MessageSujet: Re: J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux...   J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux... Icon_minitimeLun 3 Jan - 22:22

    J'aime ça, ces moments calmes entre deux instants où l'intensité est à son comble. Je n'aime pas Milie que pour son talent à faire l'amour, non, je l'aime tout simplement. J'aime la prendre dans mes bras, la contempler à chaque seconde, sentir son odeur, la voir sourire, et la voir bouder me faisait sourire, quand ça ne durait pas trop longtemps. J'aime la voir heureuse et épanouie. J'aime être là pour elle dès qu'elle a besoin de moi. Je n'ai besoin que de ça pour être heureux et fier de moi. La vie est pas si mal faite finalement parce qu'on a eu beau s'embrouiller, se quitter, se disputer pour des raisons x ou y, on s'est toujours retrouvé et aujourd'hui peut importe qui guide nos vies, je lui en était fortement reconnaissant. La vie est si belle à ses côtés …
    Je la tenais dans mes bras avec la ferme intention de l'y garder. On était nus et alors ? J'étais un chauffage ambulant, la température n'était pas un problème et le regard des autres, bah s'il ne veulent pas nous voir ils n'ont qu'à détourner le regard je ne leur en tiendrais pas rigueur. J'étais bien là et je ne voyais aucune raison pour me rhabiller de suite. Je fis la moue quand Milie quitta mes bras pour aller chercher ses vêtements. Ça ne pressait pas ! Bon d'accord, ce serait peut être mieux tout compte fais … Mais qu'elle ne se fasse pas d'illusion, même habillé, j'avais bien l'intention de passer ma journée avec elle et de ne pas la quitter d'une semelle.
    Je céda et fila chercher mes vêtements éparpillés un peu partout. J'avais à peine eu le temps de remettre mon boxer et mon jean que je la retrouva de nouveau. Moi ne pas pouvoir rester cinq petites minutes loin d'elle ? Oui, peut être bien, et alors ? Je n'avais pas encore retrouvé mon t-shirt et elle me donna un coup sur le torse. Je lui lança un regard noir, genre ça me faisait mal … oui bon d'accord, ce n'était pas le cas, mais chut, ça faut pas le dire. En même temps je peux pas lui sourire à chaque fois qu'elle me frappe, elle y prendrait goût. Elle se mordit les lèvres et j'esquissais un sourire. Si seulement elle savait à quel point elle est désirable quand elle fait cela. Hmm non Jesse, on va pas encore recommencer ! Vous venez à peine de vous rhabiller voyons ! >.>

    MILIE « Jesse… Tu n’es qu’un pervers incapable de te contenir et de ne pas me faire l’amour cinq secondes depuis que tu m’as retrouvé ! En plus je n’ai même pas eu de réponses concrètes à ma question. Bravo l’exemple que nous donnons au bébé ! »

    Je la regardais d'un air innocent. Moi, pervers ? Pas du tout ! Et j'aurais été parfaitement capable de lui résister si elle ne m'avait pas tenté autant que ça. Question ? Oui … non … peut-être … vous pouvez répéter la question s'il vous plait ? Et comment ça le poker n'était pas une réponse concrète ? Ahh les femmes … tant qu'on répond pas ce qu'elles veulent ça n'a pas d'importance. Ce que je prévoyais pour nous dans le futur ? Et bien pour elle, devenir ma femme, pour moi, devenir son mari et être toujours là pour elle. Pour nous deux, je prévoyais une longue vie d'amour et d'aimer inconditionnellement cet enfant et ceux qui suivront. Pour lui, je lui prévoyais de grandir dans l'amour de parents qui l'aiment avec une famille présente pour lui et toutes les bonnes choses qu'on peu prévoir pour son enfant. Dans cet avenir ne se trouvait pas le nom de Mike ni Volturi et encore moins les mots dispute, rupture ou séparation. Ça ne me venait même pas à l'esprit.
    Milie finit par m'embrasser. Et après on dit que c'est moi le faible ? >.> Bon certes, j'aime ça, mais il n'empêche que je n'étais pas le seul faible ici. Je la pris un instant dans mes bras, la serrant contre moi comme si chaque seconde loin d'elle, même à quelques mètres, me pesaient atrocement et a vrai dire, ce n'était que pure vérité. Ce moment fut trop court à mon tour et la revoilà partie chercher le reste de ses vêtements. Je m'en voulais d'avoir jeter ses affaires si loin, elle serait revenu plus rapidement auprès de moi autrement. Remarque, il fallait que je trouve mon t-shirt, parce que si moi j'envoyais ses affaires loin elle ne se gênait pas pour en faire autant avec les miennes. Je trouva mon t-shirt un peu plus loin, mais m'arrêta en plein élan. Je sentais une odeur étrange, bien différente de la mienne, celle de Milie ou même celle du bébé … des vampires: ça ne faisait aucun doute. Je ne pris finalement pas la peine de ramasser ce t-shirt et fit volte-face, restant sur mes gardes, en un instant. Lorsque je vis les monstres qui tenaient la femme que j'aimais je me mis aussitôt en position d'attaque. Mon corps s'agitait de soubresauts et un grognement monta dans ma poitrine. Il n'avait pas intérêt à toucher à un cheveux de ma femme ! (ce propos m'avait échapper inconsciemment). Mes traits avaient changer du tout au tout en un rien de temps et ils étaient maintenant bien terrifiants.

    VAMPIRE « A ta place je ne ferais rien où c’est sa tête que je brise… Tu ne voudrais pas qu’elle meurt si vite… »

    JESSE « Touche à un de ses cheveux et ... » Mes dents serrés me faisaient presque mal, tout mes membres étaient tendus, frémissant sous la rage « … je te brise les os ... »

    Ma voix était sombre. Je ne plaisantais pas quand la vie de Milie et celle du bébé étaient en jeux. Qui étaient ces buveurs de sang ? Qu'est ce qu'ils voulaient ? J'en savais rien, mais je savais une chose: je les détestais d'interrompre un tel moment de bonheur !
    Mon corps ne se calmait pas, loin de là et il ne manquait pas grand chose pour que je me transforme en loup. Tout ce qui me retenais encore c'était que je ne voulais pas risquer de blesser Milie ou le bébé et que, même si je paraissais m'en foutre royalement, ces vampires étaient en supériorité numérique. En plus d'êtres détestables, ce sont des lâches qui n'agissent jamais seul … pitoyable. La haine que je leur portais grandissant au fur et à mesure que je regardais Milie dans leurs griffes. Milie me suppliait, par pensée, de ne pas bouger. Je lui obéissais, pour le moment, malgré le fait que je brûle d'envie de les réduire en pièces. Milie m'envoyait des informations en masses par transmission de pensée. Ce sont des nomades exilés par les Volturi. Oh les pauvres choux … Je n'éprouvais pas la moindre pitié pour eux. Ils tenaient ma femme et il était hors de question que je m'apitoie sur leur sort, aussi malheureux pour eux soit-il. Milie me faisait un topo rapide de leur passé et la raison pour laquelle ils étaient là. Peut importe, je ne les laisserais pas s'en tirer ainsi.

    JESSE « Lâchés la ! »

    Ce furent les derniers mots qui sont parvenu à sortir de ma bouche au travers des mes dents de plus en plus serrés. J'explosai. Plus de jean, plus de boxer, finis le petit être humain, me voilà loup. Ah ils voulaient utiliser Milie pour se venger d'Aro hein, et bien ils étaient très mal tomber, c'était le moins que l'on puisse dire. Le museau pointé vers le ciel, un hurlement déchira le silence. Branché en direct sur le canal « Loups » je ne fis même pas attention à savoir si quelqu'un d'autre était transformé, je n'étais plus tellement habitué à agir en meute. Pendant ces deux dernières années, j'avais été un solitaire et ça me restait.
    J'avançais à une vitesse folle, les deux vampires qui ne tenaient pas directement Milie foncèrent dans ma direction alors que je ne sauta au dessus d'eux qu'au dernier moment pour les éviter et atterrir sur celui qui tenait Milie. * Baisse toi * avais-je transmis à Milie avant d'arriver au dessus d'elle, touchant son ravisseur avec mes pattes arrières, le faisant tomber au sol. La technique d'extermination des vampires je la connaissais par cœur et sans aucun état d'âme je lui arracha sa tête avant de faire volte-face, mais il était trop tard. Ses deux comparses apprenant qu'ils avaient été dupés et face à la mort de leur camarade étaient des plus dangereux, affecté par la perte d'un des leurs. Je me retrouvais alors avec les deux vampires sur le dos, avant que l'un se décide de me lâcher pour aller s'occuper de Milie sous les ordres de son camarade restant. Avec toute la bonne volonté du monde, je ne pouvais m'occuper de nous deux en même temps, je devais d'abord me débarrasser du poids mort que j'avais sur le dos pour songer à aller exterminer celui de Milie. Facile à dire, mais pas autant à faire. Il était dans mon angle mort, perché sur mon dos. Malgré mes coups de mâchoire à droite et à gauche je ne parvenais pas à l'atteindre. Si je faisais preuve de hargne, il n'en était pas en manque non plus ! Il me serrait et ne gênait pas pour forcer de plus en plus, m'arrachant un hurlement de douleur. Je n'avais qu'une solution, l'écraser au sol. D'un coup, je fis un bon en arrière, m'étalant sur le dos sur le sol m'arrachant un nouveau hurlement. J'entendais le sang froid pester, il était toujours là. Je roulais sur le dos l'écrasant un peu plus et lui serrait toujours plus fort. S'il continuait il ne tarderait pas à me briser les os ! Je finis par me retourner d'un coup, le laissant au sol, mais il fut plus rapide que moi et m'envoya contre l'arbre le plus proche avec une force plutôt conséquente, m'arrachant un jappement aigu d'un chiot qu'on aurait prit par le coup pour le jeter contre un mur. Je descendis au sol comme un gros poids mort. J'étais affaiblis, je ne pouvais le nier, mais je ne voulais céder. Je n'étais pas bien du tout, mais je me releva tout de même, la fierté surpassant la douleur. Le vampire dont je m'occupais pesta en voyant le vampire que détenait Milie sur le point de trépasser et moi-même me relever sous la douleur. Il fuit aussi rapidement qu'il le pouvait encore et je me décida à le poursuivre. Mal en point comme j'étais c'était du suicide si un autre vampire me tombait dessus mais qu'importe … Lorsque … * Jesse !! * Je m'arrêtais pour retourner là où le combat avant eu lieu. Je voulu arriver auprès de Milie mais m'étala avant; la fatigue et la douleur reprenant finalement le dessus. J'étais faible et je m'en voulais, j'étais pas parvenu à protéger ma femme et mon bébé … j'étais un mauvais père et un mauvais futur mari. Je jetais un coup d'œil désolé à Milie qui ne semblait pas en aussi mauvais état que moi. J'entendis une voix dans ma tête la voix d'Alex, le fils de Sam et meilleur ami de mon frère. * Vous avez un train de retard … ils sont partis... * Ma forme de loup disparue me laissant humain, nu, allongé au sol, semi conscient. « Désolé ... »

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MessageSujet: Re: J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux...   J'ai comme l'impression que nous sommes plus que deux... Icon_minitimeMer 5 Jan - 17:06


    Je vivais un peu entre deux clans qui se détestaient… J’avais bien plus d’ennemis que quiconque peut-être à cause de mes choix ! Par mon côté hybride je ne suis pas la bienvenue pour beaucoup de vampire… Je chasse les humains… Je n’ai plus la meute dans mon cœur. Et pourtant deux clans tenaient à moi… Tous leurs ennemis je les avais. Quel beau coup pour des nomades que de me kidnapper en faisant chanter à la fois les Volturis et les Quileutes… Je ne me rendais pas à quel point je pouvais être un danger pour tous les gens que j’aimais. Et puis s’il n’y avait que ça encore… Mais se venger de celle qui pendant deux ans a tué pour les Volturis est aussi une douce vengeance. Je m’étais vraiment fait beaucoup d’ennemis jusque là et je ne me rendais même pas compte à quel point. Oh je m’en serais foutu avant mais avec le bébé maintenant j’avais peur pour lui… Peur que tout retombe sur lui. Il n’avait rien demandé et n’avait pas à subir mes actes… Les vampires ne connaissaient pas encore l’existence de ce bébé mais soyons raisonnable. Le bruit ne tarderait pas à se faire reconnaitre si j’accouche par exemple à l’hôpital. Hum… Ben oui le bébé était humain et loup principalement, je pourrais si je voulais mais de toute façon il fallait que je me doute depuis le début que la seule personne qui pourra m’aider était bien Carlisle. Refusant de relier avec les Cullens tout comme le reste de la meute il ne me restait plus que deux solutions : j’accouche loin de tout le monde dans un hôpital descend ou alors je fais ça à l’ancienne seule avec peut-être Jesse O_O Moi penser à ça alors que je me fais attaquer xD ? Vous serez surpris des inquiétudes des femmes enceintes dans les moments les plus tragiques…

    VAMPIRE « A ta place je ne ferais rien où c’est sa tête que je brise… Tu ne voudrais pas qu’elle meurt si vite… »

    JESSE « Touche à un de ses cheveux et ... je te brise les os ... »

    Je sentais la colère de Jesse dans chacune des parcelles de son corps. sa voix était glaciale. Jamais je ne l’avais vu comme ça jusque là… Il faut croire que menacer sa petite femme et son bébé pouvait le rendre argneux. Je le comprenais malgré tout. J’aurais été bien pire que lui à sa place. Je n’aurais même pas répliqué que ce vampire n’aurait pas été mort mais torturait violemment jusqu’à ce qu’il me supplie d’en finir. Moi comme ça ? ça se voit que vous ne m’avez pas vu depuis deux ans et attendait un peu si jamais Jesse ou le bébé est menacé. La mort pourrait vous sembler trop douce à côté de ce que je peux vous réserver…

    JESSE « Lâches la ! »

    Jesse ne mit pas longtemps à exploser et devenir mon beau loup gris avec ce regard et ses canines féroces. Par les pensées de Jesse je pouvais avoir accès aux pensées des autres loups. Jesse ne faisait plus vraiment attention à ce détail peut-être par manque d’habitude. Moi je n’hésitai pas à me servir de ce moyen pour transmettre la situation au reste de la meute. Pourquoi ? Ne voulais-je pas les voir plus tôt ? S’il faut sacrifier ma fierté pour sauver Jesse je n’hésiterais pas. Après tout ils étaient trois et lui tout seul. Il avait beau être fort j’avais peur pour lui. Jesse se mit alors en mode attaque et tout défila à une vitesse folle. Je fus lâchée un instant mais reprise trop rapidement. Je luttais de mon côté mais plus je tentais de m’échapper et plus le vampire me faisait mal en voulant me retenir au point d’appuyer un moment sur le ventre. La douleur m’arrêta net. Rien de grave mais suffisant pour que je me tienne. Je pensais aussi au bébé. Je ne pouvais pas me permettre de jouer les héroïnes et risquer sa vie. Jesse réussit à en avoir un mais il en restait tout de même deux. De plus mon amoureux était vraiment salement amoché. Je sentais sa douleur comme si c’était la mienne… Je le vis alors partir à la suite d’un vampire qui voulait s’échapper. Je criais son nom par pensée pour le supplier de ne pas faire cette folie ! Rien ne disait qu’ils étaient que trois et vu son état je ne voulais pas le perdre comme ça ! il s’arrêta net à ma voix… Il retourna alors vers moi et le vampire qui m’avait déjà entrainé un peu malgré mes résistances. Jesse finit par s’étaler devant moi. Son prénom s’échappa de mes lèvres par un hurlement. Le vampire était trop fort pour moi mais je le faisais pas mal galérer. Un autre loup arriva alors très rapidement. Je reconnaissais le pelage d’Alex tout autant que ses pensées. Je vis alors Jesse redevenir humain, tombant complètement dans l’inconscience. Le loup eut le réflexe d’aller voir Jesse alors que j’hurlais. Le deuxième vampire était revenu et attaqua de nouveau mais cette fois sur Alex. Je protestais et me débattais violemment jusqu’à ce que…

    THE END

    (à suivre sur le prochain rp mouhahahaha)
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