« EVERYBODY HAS HIS STORY ; AND YOURS ? »

Prologue.
Une nuit d'Été alors qu'il faisait chaud, un petit garçon choisit ce jour là pour pointer le bout de son nez. Le petit garnement empêcha sa mère de dormir toute la nuit, et puis, celle ci fut conduite à l'hôpital le plus proche et c'est à cet endroit que le petit bébé, au cheveux noirs de jais, fit son apparition. Lorsque sa mère le prit pour la première fois dans ses bras celle ci murmura doucement à son oreille « Bonjour, Jesse Nolan Thélio Ateara. » Petit dernier d'une fratrie dont il était le troisième, il fit le bonheur de ses parents et de ses aînés qui avaient sept et cinq ans de plus que lui. Le garçon grandit dans la joie et l'amour. Petit garnement plutôt animé, il en fit voir de toutes les couleurs à ses parents, mais peut importe, ils l'aimaient quand même.

Chapitre 1. L'âge de l'insouciance.
Mon enfance aurait pu se dérouler très bien et ressembler à celle de tout les bambins de mon âge si elle n'avait pas été rythmée par une tragédie atroce. En effet, un soir où le vent soufflait fort et où le temps était loin d'être clément, moi, jeune garçon âgé d'environ cinq ans, étais assis sur son lit. La lumière de ma chambre était éteinte. J'étais là, fixant la pluie qui s'écrasait sur le carreau de ma fenêtre, immobile et silencieux. Je n'arrivais pas à dormir parce que la pluie faisait trop de bruit, mais aussi parce que je savais qu'aucun de mes deux parents n'étaient à la maison. Je n'aimait pas ces soirs là. Oh je n'étais pas froussard, et je n'appréciais pas qu'on le traite ainsi -et n'avisez vous pas de le faire maintenant non plus ou je vous le ferez payer- , mais comme la plupart des garçons de mon âge, j'étais très attaché à ma mère en particulier et n'aimais pas qu'elle parte. Pour mon père c'était différent, je m'étais fait à l'idée et puis ça allait quand ma mère était là, mais je détestais que les deux soient absent.
Ne pouvant plus résister à la tentation de sortir de ma chambre, affreusement froide, je rejoignis ses frères sur le divan pour regarder la télé. Mes deux aînés ne furent pas étonnés de me voir débarquer, c'était souvent comme ça quand mes parents n'étaient pas là et qu'il ne faisait pas beau. Aussi, sans discuter, ils me firent une place à leur côté et me laissèrent un coin de plaid pour couvrir mes genoux. L'émission de télé n'était pas très passionnante, mais ça valait mieux que de rester seul.
Je savais que mes parents rentreraient tard dans la nuit, et le petit garçon que j'étais finit par s'endormir paisiblement sur l'épaule d'Ethan, mon frère aîné. Je fus réveillé par le mouvement rapide de mes frères pour se lever du canapé. Je frotta ses yeux de ses points minuscules et chercha l'objet de leur action. Se tournant vers la porte, je découvris mon père, torse nu, de l'eau dégoulinant sur tout son corps, le regard triste et dépiter, portant un corps dans ses bras. Le petit cerveau que j'avais était embrumé par le sommeil duquel il émergeait doucement, en même temps que moi, mais lorsque j'aperçus le corps mes yeux ne purent s'en détacher. Ils étaient ronds comme des balles. Je restai un moment figé avant de me jeter sur le corps inerte pour pleurer à chaudes larmes.

Cet événement m'a évidemment beaucoup marqué, j'ai du grandir avec l'absence d'une mère que j'aimais plus que tout. Et le plus frustrant c'est que je constatais que petit à petit, j'oubliais son odeur, son rire, j'avais peur d'oublier à quoi elle ressemblait mais c'était sans compter sur mon père. Il avait en effet laisser beaucoup de photos sur les meubles, pour que ses enfants se rappellent toujours de cet être disparu.

Devenu jeune adolescent, contrairement à ce qu'on pourrait penser, je m'assagit peu à peu. Je me mis à la musique, et même un peu à la lecture, mais je préférais encore m'amuser avec ses amis et sauter du haut des rochers de La Push, terrain de jeux par excellence des garçons de mon âge. Je faisais mon petit bout de chemin et avançais dans la vie jusqu'à ce qu'un petit être vienne la bouleversée. En effet, la femme du meilleur ami de mon père mit au monde deux petits prénommés Milie et Mathew. Le jeune garçon que j'étais, alors âgé de quatorze ans, s'attacha très vite aux deux garnements qui grandissant beaucoup plus rapidement que la moyenne. Il faut dire que leur mère est une hybride et leur père un modificateur, imaginez le mixte. Mais qu'importe, je les appréciais. Je découvris rapidement en Mathew un bon ami, mais mes liens étaient encore plus fort envers Milie. Au fur et à mesure qu'elle grandissait, on se découvrit de nombreux points communs. Camarades de jeux, jusqu'à en devenir meilleurs amis, on fit les quatre-cent coups ensemble. On était inséparables.

Chapitre 2. L'insouciance n'est qu'éphémère.
La transformation, une étape importante dans la vie d'un modificateur. Pour ma part, le suspense n'était pas trop intense puisque je savais que ce moment arriverait à un moment ou à un autre. Mon père était modificateur et mes frères l'étaient aussi, il y avait par conséquent toutes les chances pour que je le sois aussi. Et qui plus est, je savais que je ça arriverait bientôt. En effet, j'avais désormais seize ans et mes frères s'étaient transformés aux alentours de cet âge là aussi et pour autant que je sache, beaucoup se transformaient à cet âge là. Pour ce qui est de mes ressentiments, je ne suis pas stresser, je suis même légèrement impatient. Lorsque je pourrais me métamorphoser en loup je pourrais allez chasser avec tous les autres, et Milie. Je sais que son père n'y est pas favorable, mais je lui ai promis qu'on irait chasser ensemble lorsque je pourrais. Oui, bon d'accord j'avoue, j'étais carrément impatient ! Peut être parce que je pensais que je serais plus adulte après, ou un je ne sais quoi du même genre. Bref. Ce jour là, je ne suis pas près de l'oublier.

Il faisait beau, le soleil pointait le bout de son nez et moi, j'avais prévu de me balader avec Milie. Tout se passait à merveille à vrai dire. Aucune ombre au tableau, pour l'instant. J'allais chercher Milie, bien content de passer l'après midi avec elle. Je l'appréciais énormément et chaque moment passé avec elle était un vrai bonheur. J'arrivais aux abords de sa maison, habillé simplement, coiffé comme d'habitude, normalement en somme. Un sourire s'étirait sur mes lèvres à l'idée de retrouver Milie, mais ce sourire s'effaça lorsque je vis un homme avec elle, devant sa maison. Je n'étais pas encore sortit du couvert des arbres mais je m'étais figé instantanément en voyant Chris avec elle. Qui était Chris ? Un 'cousin' stupide qui passait son temps à la draguer. Le fils adoptif d'Alice et Jasper, je crois. Ses parents étaient pourtant sympathiques et je les supportais plutôt bien, mais lui c'était tout le contraire. Il était affreux ce type, et surtout, il tournait beaucoup trop près de Milie à mon goût. Il souriait, il la faisait rire. Je voyais clair en son jeux et ça ne me plaisait pas du tout. Je m'avançais, sortant des arbres, pour lui dire ce que j'en pensais. Je tremblais, je crois. Je devais être plutôt flippant à voir, Milie n'avait pas l'air rassurée, mais l'autre tâche ne cessait de sourire, ce qui avait le don de m'agacer d'autant plus. J'étais là, face à lui, et rien ne sortait. Je ne comprenais pas pourquoi. Ce n'était pourtant pas la première fois que je voulais lui dire ses quatre vérités et de ne pas s'approcher de Milie, mais là, ça sortait pas. Je sentis un contact sur mon bras et Milie dire que j'étais brûlant, plus qu'en temps normal ça va de soit. J'étais tendu, ma mâchoire était crispée et tout ce qui sortit ce fut … un grognement. Cela m'étonna moi même et je détala sur le champs. A peine arrivé dans la forêt que des spasmes violents me secouèrent et je finis par exploser. C'est du moins ce dont je me rappel. La suite est plus ou moins floue. Je me suis retrouvé chez moi, couché. J'ai été bizarre plusieurs jours. J'étais agressif, j'avais du mal à me reconnaître moi même. S'en était même carrément flippant.

Finalement, la vie à repris son cour, mais je ne revis pas Milie de suite. Je n'eus le courage de l'affronter qu'une semaine plus tard. J'allai la trouver chez elle, et je la vis assise sur les marches de sa maison. Lorsque mes yeux se posèrent sur elle, je ressentis quelque chose de bizarre. Un frisson, puis une envie forte de m'approcher d'elle. Comme si quelque chose m'attirais vers elle, ou m'y poussait. Je daigna enfin m'approcher au bout de cinq bonnes minutes, mais je me sentais stupide. En théorie on avait pas le droit de parler de ce qui nous arrivait dans ses moments là, mais Milie connaissait bien ce qu'était les modificateurs puisque son père en était un et elle savait que j'en serais un à mon tour. Au final, je crois que ça c'est passé plutôt bien, mais je ne suis toujours pas fier de ce jour. Enfin … C'est passé et je n'étais pas vraiment moi même.

La vie après la transformation ne changeait pas tellement de celle d'avant, si ce n'est que je devais obéir à l'Alpha: Jacob Black, que j'avais des patrouilles à faire avec la meute et que maintenant, je pouvais chasser avec Milie, mais encore fallait-il que je ferme mon esprit à l'alpha pour éviter qu'il le découvre.

Chapitre 3. Pitié un "au revoir" pas un "adieu".
Trois jours que je ne mangeais plus, je ne dormais presque plus non plus. Je passais mon temps à errer seul, souvent loin de la maison. Je ne voulais pas faire partager ma mauvaise humeur et ma tristesse aux miens, aussi lorsque je revenais à la maison, je m'assurais de ne croiser personne. Je ne riais plus, ça va de soit, tout était gris depuis trois jours. Moi qui était si actif et enjouer avant, c'était un sacré opposé. A croire que je ne fais pas dans la demi-mesure, mais il y avait une bonne raison à cette morosité constante: Milie m'a quitté. Pas dans le sens où elle ne veut plus de moi, non, mais elle est partie. Loin. Bien trop loin. L'alpha de notre meute a déménagé et par conséquent, elle a suivit avec son frère jumeau. Cette séparation est une véritable déchirure et je me doute bien qu'elle aussi le vit très mal, mais a vrai dire … je n'en sais rien. Aucune nouvelle, rien. Certains diraient qu'en parler me ferais sans doute du bien … Peut-être … mais je n'en ai pas envie. A vrai dire, d'habitude, à chaque fois que j'avais besoin de parler de quelque chose à quelqu'un c'était à elle, ou à son frère. Là, les deux étaient partis. Je n'avais plus envie de rien. A défaut de parler, je marchais, je m'isolais encore et toujours.
A l'heure actuelle il était sans doute une heure du matin, ou pas loin, et j'étais assis sur un rocher de La Push a attendre, regardant l'eau. Les jeunes qui, comme moi dans un temps qui parait si lointain, sautaient du haut des rochers en contre-bas sont partis depuis quelques temps. C'est le calme plat, parfois rompu par le bruit des vagues sur les rochers. C'est reposant, mais ça ne me suffis pas pour me vider la tête et m'empêcher de penser à Milie.

Quatrième jour … Cinquième jour … Premier mois … Deuxième mois … Vingt-cinquième jour du deuxième mois …

Ça fait le troisième jour que je ne suis pas rentré chez moi du tout. Je n'en peux plus c'est trop, il faut que je la rejoigne. Je ne pourrais faire ma vie sans elle. Le seul truc qui me bloquais encore était de savoir que son père, l'alpha de ma meute qui plus est, n'était pas tout à fait d'accord pour qu'on soit ensemble. Et s'il me voit arriver, il pourra très bien me renvoyer avec sa voix d'alpha. Je n'aurais alors pas le choix, je devrais partir. Je ne sais pas vraiment ce qu'il adviendrait de moi si jamais il le faisait, et pourtant je devais envisager cette solution. D'un côté, ne dit-on pas, qui ne tente rien n'a rien ? Je n'ai aucune envie d'être dans ce cas. De plus, au fond de moi, je sais que je n'ai pas le choix. Décidé, je me levai alors de se rocher pour me diriger chez moi. Il devait bien être une heure et demi et je pense ne croiser personne de réveillé dans ma maison. Je ferais mon sac, et je prendrais la voiture, ou la moto que mon père m'avais offert il y a longtemps, si elle marche toujours. Je crois que c'était un cadeau de Jacob à mon père et celui ci me l'a ensuite offert.
Je poussais la porte d'entrer et traversais le salon sur la pointe des pieds. J'en étais presque sortis lorsqu'une voix m'interpella « Jesse ? ». Mon père, sans aucun doute. Je ne me retourna pas, le devinant assis dans l'ombre. « Que fais-tu ? » me demanda-t-il. « Je vais dans ma chambre. » répondis-je aussitôt sans la moindre émotion. Il reprit la parole.
« Ne me prends pas pour un idiot, d'habitude tu rentre bien plus tard. Tu as une idée derrière la tête ... »
« Exact, je vais retrouver Milie. »
« Je t'accompagne. »
« Non ! » dis-je en me retournant. « Ta place est ici, à La Push. »
« Tu fais erreur. Ma place est au côté de l'Alpha, comme l'est la tienne, mais avant tout, ma place est au côté de mon fils. Je ne te laisserais pas y aller seul. »
« Pourquoi ? Tu as Ethan et William ici, et puis, tu as le reste de la meute. »
« Embry meurt d'envie d'aller rejoindre Jake, il attend juste que je lui dise que je parte et pour tes frères … Crois-tu honnêtement qu'ils vont laisser leur petit frère partir sans leur avoir dit 'au revoir' ? On a un esprit de famille Jesse, ne l'oublie pas. »
« Ce serait égoïste de faire partir tout le monde d'ici, juste pour moi. »
« Tu n'oblige personne à te suivre à ce que je sache. On est responsable de nos décisions. Je ne forcerais personne à me suivre, mais moi je te suis. »
« Merci... »
« De rien, mon Fils. »
Je montais dans ma chambre, sortis mon sac et le posa sur mon lit pour commencer à le remplir. Lorsqu'une voix m'interrompit. « Alors ça y est, c'est le moment de partir ? » Mes deux aînés étaient là, sur le pas de la porte. Je les regardais étonné et Ethan pris la parole. « Tu ne croyais quand même pas qu'on allait te laisser seul petit frère ? On t'as surveillé et on savait que ce moment arriverait. » J'esquissai un sourire. Le premier depuis si longtemps. Ça fait du bien de savoir qu'on a les siens derrière soit pour soutenir et aider. Je finis mon sac. Mon père était déjà prêt en bas, tout comme mes frères, visiblement leurs sacs avaient été faits avant moi.
On partit tous. Je jeta un dernier regard à La Push, l'endroit où j'avais grandis, et je monta dans la voiture, impatient d'aller retrouver celle que j'aimais, même si j'appréhendais cette rencontre.

« I AM WHAT I AM ... »

Jesse est un garçon pas très difficile à comprendre. C'est un grand gamin, il aime s'amuser, blaguer, jouer les casse-cous et faire des sauts du plus des rochers, autant que faire se peut, avec ses amis. D'ailleurs son style vestimentaire traduit plutôt bien ce caractère. Jeans, T-shirt, ou juste short lorsqu'il saute avec ses amis, en bref, un style décontracté pour un caractère joueur. De plus Jesse est un garçon toujours jovial, toujours souriant, et plutôt facile à vivre malgré son côté un peu protecteur/envahissant. Pourtant, comme étant le dernier d'une famille de trois garçons on pourrait penser qu'il pourrait comprendre qu'être trop protecteur n'est pas toujours une bonne chose, et en effet il le comprend, mais c'est dans sa nature et il ne peut s'empêcher de protéger ses amis, sa famille et en particulier Milie. De toute façon, c'est simple, il ferait tout pour cette dernière. En parlant de Milie, on en arrive au côté romantique du garçon. En effet, celui ci est plutôt du genre romantique comme on dit et il rêverait d'emmener sa protégée dans ces restaurants aux ambiances douces et reposantes, lui montrer à quel point il peut être tendre, mais pour l'instant … il se contente des glaces et des marchands de sandwich, dans la mesure où il n'a toujours pas avouée son imprégnation à la principale concernée. En même temps, il y a des facteurs dissuasifs puisque son père n'est autre que Jacob Black, l'Alpha de la meute dont fait partit Jesse. Or, on ne désobéit pas à son alpha, et Jesse avait bel et bien peur qu'il l'oblige à ne plus approcher Milie s'il apprenait ce que le garçon ressentait pour elle.
Jesse à le sens des responsabilités, malgré qu'il soit casse-cous et tout le tralala, on peut lui faire confiance à ce niveau là.

Au niveau physique, Jesse n'est pas en reste. Il est plutôt bien bâti et on lui donnerait facilement deux ans de plus que son âge véritable. De taille normale, bien bâti, mate de peau, de petits yeux bruns, des cheveux noir maintenus au dessus de sa tête l'aide de gel. Sa petite bouille d'enfant sage laisse souvent penser que c'est un ange, mais attention aux apparences trompeuses, elles pourraient bien vous surprendre.

« I LOVE YOU ! I HATE YOU ! »

Les ATEARA - Sa famille, son clan. Jesse est très attaché à sa famille et ferait tout pour eux. La famille c'est sacré et ne t'avises pas de toucher ni à ses frères ni à son père ou tu risque de passer un mauvais quart d'heure. Jesse s'entend bien avec les trois membres restant de sa famille même si ses frères prennent un malin plaisir à le taquiner puisque c'est lui le petit dernier, mais en même temps, ce serait moins drôle s'ils ne le faisait pas.
Les QUILEUTES - Son clan, sa deuxième famille. Jesse s'entend bien avec tout ceux de son clan en général.
Les CULLEN - Ils font partit de la famille de Milie du côté maternel et ils sont plutôt sympa. Jesse n'a aucune raison de ne pas les aimer. Certes, ce sont des vampires, mais végétariens, il n'y a donc rien à leur reprocher. Jesse s'entend même plutôt bien avec tout ceux de ce clan.
Milie BLACK - Jesse l'a côtoyé très tôt puisque c'est la fille de l'Alpha. Jesse s'est imprégné d'elle, mais il n'a toujours pas trouvé le courage de lui avouer, sans doute à cause du fait que l'alpha de la meute soit son père et qu'il a déjà du mal à accepter qu'il ai une relation avec sa fille. En effet Jesse et Milie sortent ensemble, même si ce n'est pas du goût de tout le monde, ils sont bien décidés à vivre leur histoire. Jesse l'aime plus que tout, il n'en doute pas une seconde et la prochaine étape sera sans doute de lui avouer son imprégnation.
Mathew BLACK - Jesse s'entend particulièrement bien avec lui. C'est le fils de l'Alpha de la meute et le frère de Milie de plus, c'est le seul qui soit au courant pour son imprégnation.