| | La Légende la précédé, le Noble est arrivé... | |
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★ je suis Leonardo de Medici
Ҩ QUARTIER : Westside & Conseil Ҩ CREDITS : liloo59 Ҩ MESSAGES : 1074 | Sujet: La Légende la précédé, le Noble est arrivé... Jeu 27 Jan - 18:16 | |
| © ezio
| de Medici LéonardoSURNOM(S) ; Léo ÂGE ; 562 ans DATE & LIEU DE NAISSANCE ; 1490, Florence, Italie SITUATION (célibataire/marié, etc.) ; en cours GROUPE ; Vampire sanguinaire
DON ; Controle de la gravité et des forces terrestres
- Spoiler:
Contrôle de la gravité : Le jeune italien peut, dans un rayon délimité par sa pensée dont il est le centre, agir sur la gravité terrestre. Ainsi il peut soit augmenter la gravité, lui permettant alors d’immobiliser voir même de plaquer violemment une personne au sol suivant la force imposer dans l’augmentation de la graviter. Il peut a contrario, baisser la graviter et donc faire voler toute personne présentent dans le rayon préalablement désigné. Depuis qu’il maîtrise son don il à déterminé un rayon de protection de 50cm autour de lui, où la gravité est assez élevé, lui permettant ainsi de se protéger de toute attaque surprise physique à son encontre. Contrôle des forces terrestres : Ici il s’agit des forces d’attraction et de répulsion. Etant toujours le centre de ce phénomène, il peut attirer toute personne ou objet jusqu’à lui ou au contraire le repousser. Un peu comme le principe d’attraction et de répulsion des aimants. Cela peut se faire lentement et en souplesse mais peut aussi devenir dévastateur lorsqu’il concentre toute son énergie dedans. Lorsqu’il fait cela, il a besoin de quelques secondes pour emmagasiner et concentrer son énergie avant de la libérer violemment tout autour de lui, créant ainsi une onde de choc qui balaye tout sur son passage, telle une explosion. En retour, il en ressort vidé de toute force et à la limite de la mort, il lui faut alors une grande quantité de sang pour se remettre de cela…
AVATAR ; Nick Auger
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EVERYBODY HAS HIS STORY ; AND YOURS ?« Mon histoire n’est pas comme toutes les histoires. Pas comme toutes ces histoires d’amour qui se termine bien et où tout le monde est heureux. Tout d’abord parce qu’elle n’est pas encore finie et que je ne peux prédire l’avenir. Il n’y a pas de happy end. Elle n’est pas faite pour les âmes sensibles. Mais c’est mon histoire et je vais vous la conter… Je suis né en l’an de grâce 1490 à Florence en Italie, pendant la période de la Renaissance. Une des plus belles périodes de l’histoire de l’Europe. Berceau de la Renaissance en Italie, Florence, classé patrimoine mondial de l’Unesco, présente une très grande richesse artistique. La puissante cité des Médicis ne se laisse pas apprivoiser au premier coup d’œil. Cette ville à alors vu naître le dernier fils de la puissante famille italienne des Médicis. Mon père, Lorenzo Il Magnifico de Medici, était celui qui a propulsé la ville de Florence au sommet de l’Italie. C’est sous son gouvernement que Florence a connu son apogée.
Né dans une famille alors assez aisée, je jouis toute ma vie d’une aisance fiscale et diplomatique jusqu’alors réservé à une petite minorité. Cependant, je n’eus pas le loisir de connaître réellement mon père. Il Magnifico comme tout le monde l’appeler alors, nous avait quitté prématurément durant l’année 1492. Je n’avais alors que deux ans. Ma mère, s’occupant avec l’aide de ses fils ainés de l’empire Medici, me confia alors aux bonnes de la maison. De vieilles dames très gentilles qui me donnèrent tous l’amour que je pouvais demander. Je grandi alors dans cette famille, sans vraiment la connaître, et sans vraiment être très connu moi-même comme étant un Medici à part entière. L’ensemble de ma petite vie de privilégié et de Noble se déroula alors assez calmement. J’étudiais les finances, tous ce qui touchaient aux arts, que se soit la peinture, la sculpture, la littérature ou la musique, et était adepte d’un petit jeu que quelques amis et moi avions créés en quelque sorte. En tout cas, simplement les règles puisque pour la base, j’étais sûr que nous n’étions pas les seuls… L’année de mon vingt-quatrième anniversaire, mon meilleur ami, celui que je considérais vraiment comme un frère, me fit le cadeau d’un voyage assez long à Venise. Une magnifique ville d’Italie, réputé pour son carnaval et ses soirées festives. Franchement, je ne trouvais alors pas meilleur cadeau. Les yeux pétillants et tout heureux, c’est en souriant que j’embrassais les femmes qui m’avaient élevées avant de partir au bord de la charrette en direction de cette ville. À ce moment là, j’étais loin de me douter que s’était la dernière fois que je les voyais… Après plusieurs jours de marche, tout en rigolant et en s’amusant, s’arrêtant ci et là, nous arrivèrent dans l’une des plus belle cité d’Europe, les festivités du carnaval commençant déjà à avoir lieu. C’est sous un air émerveillé que nous nous adonnions alors aux joies de la cité, portant des costumes chic et chère et des masques cachant notre visage, les jeux de séduction pouvaient donc avoir lieux…
« Regarde par là-bas mon frère. Ne sont-elles pas magnifique ? En plus elles nous invitent à une soirée privée. Allons-y Léo… »
Ne pouvant l’empêcher et étant là pour m’amuser aussi, je le suivis alors et m’engouffra, après quelques petites secondes de marches dans les rues pavés de Venise, dans une magnifique maison où le hall de réception pouvait accueillir à vu d’œil plus d’une centaine de personne. Quelque chose de vraiment impressionnant et d’enivrant mais la chose qui me perturba le plus à se moment là, était la beauté qui émanait des femmes mais aussi des hommes présent dans le lieu. A coté d’eux, j’avais l’impression de n’être rien d’autre qu’un moins que rien, qu’un minable à coté de Dieux et Déesses. D’ailleurs, je n’étais pas le seul à penser cela. Souriant et faisant mine d’être totalement décontracté, mon ami se retourna vers moi et me glissa alors ses deux mots que je garderai toujours en mémoire « Très effrayant… » Hochant simplement la tête pour lui montrer mon accord, nous fûmes alors précipité violemment contre le mur qui se trouvait derrière nous. Je n’avais rien vu venir. Que s’était-il passé exactement ? Me redressant difficilement en m’appuyant contre le dit mur qui était effrité de toute part, je retombais violemment sur le sol en sentant une douleur envahir l’ensemble de mon corps. S’était comme si tous mes os avaient cédés. Retournant difficilement mon visage vers mon ami, je le vis, les yeux livides alors que les personnes présentent s’acharnaient sur son corps. Qui étaient-ils ? Qu’étaient-ils entrain de lui faire ? Je n’en avais aucune idée jusqu’à ce que d’autres se jettent à leur tour sur moi et m’inflige le même sort… Des monstres… s’était la seule chose qui me venait à l’esprit. Le regard vide, je commençais doucement à perdre se monde. Je sentais mon sang me vider alors que je ne pouvais plus bouger. Ce qu’ils étaient entrain de me faire n’avait plus réellement d’importance. Je ne sentais plus rien et je savais que mon heure était venue. Les yeux clos, je sentais la mort m’envahir et me prendre dans ses bras jusqu’à ce qu’une douce voix se glisse au creux de mon oreille. Celle-ci me murmura plusieurs fois quelques mots, comme si elle s’attendait à ce que je l’écoute, la comprenne et suive ses dires. Mais je ne comprenais rien, simplement un charabia. Etait-ce la parole d’un ange ? Je n’en avais encore une fois aucune idée mais je savais que je me devais de l’écouter et de la suivre. Me concentrant, j’arrivais alors à capter ses paroles…
« … vie. Vie et venge ton ami. Venge ce qu’ils t’ont fait. Un homme aussi beau et puissant que toi ne devrait pas mourir dans ses conditions. Je t’offre une seconde chance. Accepte là et fait en sorte que je ne sois jamais déçue et honteuse de toi. Vie belle homme et peut-être qu’un jour, nous nous retrouverons… »
Qui était-elle ? Qu’avait-elle fait ? Une immense douleur s’empara alors de moi. Moi qui, quelques secondes plus tôt ne ressentais plus rien. Là j’avais mal, je hurlais de douleur. J’avais l’impression qu’un feu, qu’un torrent de lave coulait dans mes veines, me déchirant et me détruisant de l’intérieur. Une seconde chance ? Allais-je vraiment m’en sortir ? J’en doutais. La seule impression que j’avais était que l’on me torturé avant de me rendre à la mort. Puis… plus rien. Petit à petit, je sentais la vie me reprendre. Mon corps était mort, je le ressentais. Je ressentais le fait que plus rien ne bougeait ni ne vivait à l’intérieur. Mais j’étais toujours là, toujours dans se monde. Ma conscience était toujours éveillée et présente dans se monde. Mais bizarrement, elle avait l’air de prendre bien plus de place. Ouvrant alors vivement mes yeux, je fus déconcerté par la clarté de cette vision. Les moindres détails qui apparaissaient devant moi étaient très clairs. Que s’était-il passé ? Me relevant, je me mis sur mes pieds rapidement et en un geste simple et léger. Petit à petit, je découvrais les changements qui avaient eu lieu sur moi-même. M’agenouillant près du corps de mon ami, je le vis sans vie, mort. Très pâle, l’ensemble de son sang l’avait quitté. Et un flash me transperça l’esprit. *Vampires…* pensais-je alors. J’avais lu des histoires, des comtes et des légendes venir des quatre coins de l’Europe. Toutes parlaient de créature, mi-humaine mi-monstre, se nourrissant du sang des humains et étant immortel. Etait-ce ça qui nous avait frappé. Etais-je devenu l’un des leurs ? L’attirance que j’avais à l’instant même pour la petite flaque de sang se trouvant sous le corps de mon ami répondit directement à ma question. Oui j’étais désormais l’un des leurs… et j’étais assoiffé. Mais j’avais aussi une mission. Une mission confiée par une femme que j’avais à peine vue, une femme qui m’avait donné une seconde chance. La Vendetta m’attendait…
Quelque part en Italie, 1544, 30 ans plus tard…
Son visage entre mes mains, je le regardais en souriant alors qu’il me suppliait de ne pas le tuer. Ses paroles me firent rire et c’est en le regardant avec sérieux et méchanceté que je le décapitais avant de le jeter dans les flammes. Me retournant je repris alors mon chemin. Un chemin désormais vide de but. Ma Vendetta avait pris trente ans de ma vie. Trente ans durant lesquelles j’avais traqué à travers toute l’Italie nos assassins. Et maintenant, je n’avais plus rien d’autre à faire. Je me mis alors à marcher, sans savoir où j’allais, laissant mes pas me traîner là ou ils le voulaient. Des heures passèrent, puis des jours avant que je ne rencontre le chemin de quatre personnes, toutes habillées d’une longue tunique noir a capuche. J’avais longuement entendu parler d’eux mais je ne les connaissais pas et ne les avais jamais rencontrés. La garde personnel des Volturi. Une puissante famille de vampire, régnant sur notre race. Enfin… régnant était un bien grand mot. Leur pouvoir et leur influence ne m’atteignant aucunement, j’avais décidé de vivre ma vie selon mes envies sans avoir peur de leur sentence. Ma Vendetta m’avait conduis à éliminer un nombre incroyable de vampire. Ainsi que des humains pour avoir la force de combattre mes semblables… et cela ne leur avait pas plus, mais pas du tout… Ils avaient alors décidé de m’arrêter voir même de me tuer. Mais je n’étais pas une proie facile, même pour eux, alors qu’ils possédaient de nombreux et inquiétant talent. Depuis ma transformation, j’avais acquis une sorte de don. J’étais capable de contrôler la gravité. Mais cela rester encore superflu et je n’en avais pas encore une maîtrise totale. C’est pourquoi, alors même qu’ils se retrouvaient à quatre contre moi, j’arrivais pendant plusieurs minutes à leur tenir. Jusqu’à ce que mon don, et le contrôle assez approximatif que j’en avais, ne me lâche. En proie à leur courroux je me demandais alors si ma vie allait bel et bien prendre fin ce jour. Si la seconde chance que j’aie eu des années plus tôt n’avait été là que pour me permettre de réaliser ma Vendetta. C’est à se moment que je vis une femme se poster devant moi et envoyer valdinguer les Volturi. M’attrapant par le bras, elle m’entraîna au loin et notre fuite fut réussie. Restant quelques jours ensemble, nous fîmes alors connaissance et je la remerciais pour l’aide qu’elle m’avait apporté. Giuliana Vespucci. Elle avait un caractère bien à elle mais je l’adorai tout de même. Même si j’en connaissais que peu à son sujet…
Fort Smith, 2052, aujourd’hui, 508 ans plus tard…
Le temps avait passé et j’étais toujours là. Combien de fois les Volturi avaient essayé de m’éliminer ? Je ne les comptais plus. Mais j’avais toujours mon ange gardien pour m’aider lorsque j’en avais besoin, et elle savait qu’elle pouvait m’appeler aussi. Mon don avait grandement évolué. Désormais, en plus de la gravité je pouvais contrôler les forces d’attractions et de répulsions. Et pour les Volturi, je n’en devenais pas moins plus dangereux… D’ailleurs For Smith. Que faisais-je là ? J’avais entendu parler d’une famille, les Cullen, des végétariens qui étaient très surveillé par les Volturi. D’après certains dires, Aro voulaient que deux membres des Cullen rejoignent sa famille et ne supportait pas trop le fait que ces vampires végétariens puissent former un clan si nombreux. Je me décidais alors à venir à la rencontre des Cullens et pourquoi pas me mettre a leur service pour les aider si besoin est contre cette famille prétentieuse qui se prenaient pour les maîtres de notre monde… »
I AM WHAT I AM ... Caractère :
« Je vais essayer de répondre à votre question concernant le caractère de mon ami Léonardo. Il est assez… pffff… Il n’y a rien de plus compliqué et d’aussi particulier que la personnalité de Léonardo de Medici. Mon ami. Il est très calme. Extrêmement calme. Assez intelligent pour ne pas dire très intelligent, il reste souvent silencieux, observant les gens avec une rapidité déconcertante avant de pouvoir les jugers et se faire une idée sur leur personnalité. Et autant vous dire que cela fait assez peur puisqu’il ne s’est jamais trompé. En tout cas, je ne l’ai jamais vu se tromper. Assez dynamique, il distribue sa joie de vivre partout où il passe et surtout avec ses amis. C’est quelqu’un qui attache une place importante aux valeurs de l’amitié. Donc, si vous êtes son ami, vous êtes sûr de pouvoir compter sur lui à n’importe quel moment. Il fera tous ce qui est en son pouvoir pour vous aider et vous satisfaire. C’est quelqu’un qui a le cœur sur la main. Mais je soupçonne cette trop grande gentillesse de cacher quelque chose. Une peine, une lourde peine mais quelle est-elle ? Je ne préfère pas vraiment savoir et préfère le voir comme ça, joyeux, joueur et charmeur. On forme une bonne paire tous les deux et ce n’est pas vraiment pour me vanter mais… nous sommes de bon séducteur et on s’amuse bien à compter nos conquête… »
Federico, meilleur ami de Léonardo. « Je le suis depuis sa transformation et autant vous dire que je n’ai jamais eu autant peur de quelqu’un que de lui. Il sait qu’il est suivit et espionner depuis sa renaissance, mais il ne m’a encore jamais découverte. Pourquoi dis-je que j’ai autant peur ? Il dégage une aura phénoménal, quelque chose de monstrueux mais à la fois d’extrêmement doux. C’est difficile à décrire mais je sens derrière cette montagne de muscle quelqu’un de sensible et de torturé. Cette mort qu’il a subit, et celle de son ami l’ont profondément chagriné et changer. Il arbore toujours un visage sans expression, limite dépressif alors qu’au fond, quand on le connait, on sait qu’il est capable de grande chose. De plus, son pouvoir et sa confiance en lui en font quelqu’un qu’il ne faut pas prendre à la légère. Tuer ne lui fais pas peur et il est prêt à exterminer tout ceux qui se mettront en travers de sa route. Quand je lui ai offerte cette deuxième chance, je lui ai demandé de ne pas me faire honte, et de faire en sorte que je sois toujours fière de lui… Jusque là, je n’ai rien à en redire. Simplement, je vous conseille de faire attention. La meilleure des choses qui puissent vous arriver est de devenir son ami sinon… je ne donne plus très chère de votre existence… »
Giulliana, sa créatrice…
Physique :
« Lui ? alala… il est exceptionnel. Regardez-le, même nous, de simple courtisane, restons sans voix devant sa carrure et ce qu’il dégage. Grand, fort et imposant il a des muscles saillant et puissant qui donne envie à n’importe qu’elle femme de tomber dans ses bras. D’ailleurs on en a vu bon nombre faire exprès de chuter ou de se prendre les pieds dans un fils invisible pour tomber dans ses bras. En plus de ça, il a un visage et un sourire d’ange, vraiment très charmeur. Comme je vous le disais, même nous, de simples courtisanes, qui voyons passer bon nombre d’homme dans notre maison, restons sans voix devant sa plastique. Un visage fin et dur à la fois, des yeux perçant… Je ne saurais vous en dire plus. »
Les courtisanes de Florence, en 1510.
« Vu qu’il vient généralement s’habiller chez moi, je peux vous dire qu’il a du goût et assez d’argent. Il achète tous ce qui est à la mode, qui fait classe et assez tendance tout en restant discret. Il n’est pas très extraverti et préfère rester dans le chic. Il s’habille généralement comme tout le monde, même si certains de ses vêtements sont de grande marque et de ce fait, il ne se démarque pas vraiment de la majorité des gens. Comme s’il préférait se fondre dans la masse. Il suit de toute façon la mode et quand on le voit on peut se demander s’il n’est pas mannequin, s’il travaille pour une agence ou non. Il a une telle classe que tous ce qu’il met lui va parfaitement, comme si les habilles avaient été créés pour lui. C’est difficile à dire mais je dois avouer que je suis quand même quelque peu jaloux… comme quoi la nature est mal faite, elle peut tout donner à quelqu’un et rien aux autres. C’est ce qu’on pense en le voyant. Il a prit tout ce qu’il y avait de bien à prendre du coté des hommes et n’a laisser que le reste pour les autres… »
Dirigeant d’une marque de vêtement Italien de luxe.
I LOVE YOU BABY ; NOT ME! Federico : L’ami que j’ai perdu. Celui qui était comme un frère pour moi. Celui avec qui j’ai vécu mes plus années humaines. Celui avec qui j’ai fait les quatre-cents coups. Toujours collé l’un à l’autre, nous nous plaisions à draguer, à nous battre avec les fils à papa ou encore se lancer toute sorte de défis. Un frère mort sous mes yeux et grâce à qui il me reste une part d’humanité…
Giulliana : Une amie, la seule amie vampire que j’ai vraiment. Celle qui me libéra des griffes des Volturi une fois ma Vendetta passé. Je ne connais rien d’elle pourtant, du moins, juste le nécessaire, mais cela me suffis. Nous nous entendons et nous entraidons lorsque cela est nécessaire. Elle est ma créatrice et celle qui me suis et me surveille dans l’ombre depuis ma Renaissance, mais je ne le sais pas encore…
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| BEHIND THE SCREENPRÉNOM/SURNOM ; Ezio / Hayden ÂGE ; 22 EXEMPLE RP ; - Spoiler:
Une petite brise se soulevait dans les rues de la ville, apportant avec elle son lot de fraîcheur, alors que le soleil entamait sa descende à l’horizon, diffusant ainsi ses dernières lueurs rougeâtre sur la ville de Floride. Mon regard posé sur l’horizon, sur l’océan qui s’étendait à perte de vue alors que cette brise légèrement fraîche passait dans mes cheveux, caressait mon visage, je respirais doucement tout en attendant ma femme, mes fesses posées sur le capot de notre voiture. Réajustant la chemise, y retroussant les manches, j’attendais alors patiemment que ma belle soit prête pour notre petite soirée ensemble, rien qu’elle et moi, au Palacio. Cela faisait maintenant un bon bout de temps que nous n’étions plus sortis tout les deux en boite, passer un moment autour d’un verre puis danser ensemble. Un long moment qui allait prendre fin se soir. Souriant légèrement à cette pensée, je me laissais alors distraire par mes souvenirs sur nos anciennes sorties quand nous étions plus jeunes, et sur la route que nous avions effectuée pour en arriver là aujourd’hui. Jouant avec les clés de ma voiture, je détournais mon regard de cet horizon si magnifique, synonyme de fuite vers tes contrées lointaine, pour le posé alors sur ce monstre de puissance que je détenais depuis pratiquement toujours. Cette machine qui hurlait sa fureur à chaque fois que j’écrasais la pédale d’accélération. Cette machine que j’avais dû restaurer déjà deux fois en entier mais qui me faisait toujours autant plaisir. Une machine que je ne quitterai jamais, même si je devais en acheter une autre. Une Chevrolet Chevelle SS. Une vieille voiture à l’américaine comme je les aimais. Mes doigts passant sur la carrosserie, je me dirigeais alors vers la portière coté conducteur et l’ouvris en entendant les talons de ma femme résonner dans la maison, signe qu’elle était sur le point de finir et de se diriger vers l’entrée. M’installant alors confortablement au volant, je posais mon regard dans le rétroviseur intérieur et regarda Serena sortir finalement de notre demeure, encore plus belle que jamais. Un sourire s’afficha sur mes lèvres sans détacher mon regard de son corps de rêve, la laissant s’installer à mes cotés tout en la contemplant de toute part, avec une certaine tendresse.
« Tu es magnifique mon amour. Nul doute que tu vas faire tourner des têtes se soir. »
Lui dis-je en souriant, me penchant vers elle pour attraper ses lèvres et l’embrasser tendrement. La regardant toujours avec les mêmes yeux, je tournais la clé dans la voiture, mettant ainsi le contact, allumant le moteur de la bête, et pris lentement la route en direction du Night Club. Sans trop forcer sur l’accélération, je roulais tranquillement dans les rues de la ville qui étaient étrangement calme à vrai dire. Je n’en avais pas vraiment l’habitude, il se passait normalement toujours quelque chose à Volusia qui faisait en sorte que rien ne puisse calme très longtemps. Mais depuis que l’hypothèse d’un tueur en série s’était révélée exacte, et que les chefs avaient organisé des plannings de rondes dans les quartiers, tout était subitement devenu calme et aucune attaque ennemie n’était à prévoir. Je faisais partis d’un petit groupe de six personnes, qui surveillait le quartier trois soirs par semaine. Notre ronde débutait de la maison principale Attwood et nous nous séparions en groupe de deux pour vérifier et surveiller chaque recoin de notre clan. Pour éviter l’apparition du dis tueur et pour ainsi instaurer un climat de paix et de confiance aux habitants de notre quartier. Je m’étais proposé volontaire et je surveillais plus particulièrement, le coin aux alentours de chez moi, gardant ainsi un œil sur ma maison et ma femme qui m’y attendait tranquillement. Enfin tranquillement, s’était grand dire. Je ne connaissais que trop bien Serena pour savoir qu’elle s’inquiétait quand je n’étais pas là et qu’elle attendait impatiemment mon retour. Je la comprenais, je ressentais exactement la même chose quand elle sortait avec des amies. Sentant la main de ma femme se poser sur la mienne, alors que je tenais le levier de vitesse, je détournais l’espace de quelques secondes mon regard de la route pour poser mes yeux dans les siens et m’ancrer dans ses prunelles bleutées. Son regard, son sourire, et son attention, me firent sourire et c’est tout en délicatesse que je croisais mes doigts aux siens sans les lâcher. Lentement, mon pouce se mit à caresser sa main alors que je reposais mes yeux sur la route, pour ne pas dévier de trajectoire, et continua à avancer doucement vers le lieu de notre soirée. Alors que nous approchions, les rues de la ville commençaient à être de plus en plus remplies, beaucoup de voiture étaient stationnées un peu de partout et une foule de personne à pied se ruait tranquillement vers le Palacio que nous arrivions enfin à distinguer à plusieurs mètres de nous. Mes yeux se mirent rapidement à rechercher une place mais tout était vain. A croire que tout Volusia avait eu la même idée pour la soirée. Soupirant doucement tout en souriant, je m’avançais alors encore plus lentement afin de découvrir une petite place et me gara alors le long de l’avenue principale. Nous allions donc devoir marcher quelque peu mais ceci n’était pas vraiment grave.
« Voila ma belle. On va devoir un peu marcher jusqu’au Palacio mais bon. » Je sortis de la voiture et m’empressa alors d’aller du coté passager pour réceptionner la sortie de Serena. Souriant, je posais mes mains sur sa taille en me rapprochant d’elle, déposant un tendre baiser sur ses lèvres avant de refermer doucement la portière et de l’entraîner le long du trottoir qui longer l’avenue, ma main s’emparant de la sienne. De là où nous étions on entendait déjà les boum boum du rythme de la musique. « J’ai l’impression qu’on va passer une bonne soirée mon cœur. J’espère quand même qu’il n’y aura pas trop de monde pour pas qu’on se sente trop serré et compressé. » Annonçais-je à ma femme en souriant, marchant toujours à ses cotés en arrivant non loin de l’entrée du Club. Une entrée bondée de monde qui attendait patiemment… LE FORUM (/10 + suggestion(s)) ; 10/10, pas de suggestion, juste une demande, que ce soit Nessie qui me valide :) elle y tiens lol OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM ; Déjà ici ^^
AUTRES PERSONNAGES (si oui le(s)quel(s)?) ; Nounou hihii CODE ;- Spoiler:
OK BY NESSIE TA CHÉRIE *sbaff*
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Dernière édition par Leonardo de Medici le Ven 28 Jan - 1:05, édité 6 fois |
| | | f o n d a je veux bien faire la belle, mais pas dormir au bois... ★ je suis C. Avery P-Hastings
Ҩ QUARTIER : - Ҩ CREDITS : enjoy, silly love & tumblr Ҩ MESSAGES : 2348 | Sujet: Re: La Légende la précédé, le Noble est arrivé... Jeu 27 Jan - 19:43 | |
| LEOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO :024: LEOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO :004: LEOOOOOOOOOOOOOOOOOOO :005: reBienvenue & bon courage pour ta fiche (t'auras quasi rien à faire mais bon :p) Si tu as une question ... tu sais où me trouver (a) :034: :033: |
| | | ★ je suis Leonardo de Medici
Ҩ QUARTIER : Westside & Conseil Ҩ CREDITS : liloo59 Ҩ MESSAGES : 1074 | Sujet: Re: La Légende la précédé, le Noble est arrivé... Jeu 27 Jan - 21:28 | |
| NESSIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIE :024: Merci pour ton nouvelle accueil hihi Oui je sais où te trouver ne t'inquiètes pas pour ça va :031: |
| | | « Mon coeur me cri de t'aimer ! » ★ je suis Sixteen Bright
Ҩ QUARTIER : ♥ Ҩ CREDITS : (c)Teafor-tow Ҩ MESSAGES : 385 | Sujet: Re: La Légende la précédé, le Noble est arrivé... Jeu 27 Jan - 21:57 | |
| BIENVENUE DC DE NOUNOUUUU :D |
| | | ★ je suis Leonardo de Medici
Ҩ QUARTIER : Westside & Conseil Ҩ CREDITS : liloo59 Ҩ MESSAGES : 1074 | Sujet: Re: La Légende la précédé, le Noble est arrivé... Jeu 27 Jan - 21:58 | |
| Merci SIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIX :001: |
| | | Invité ★ je suis Invité
| Sujet: Re: La Légende la précédé, le Noble est arrivé... Jeu 27 Jan - 22:09 | |
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| | | ★ je suis Leonardo de Medici
Ҩ QUARTIER : Westside & Conseil Ҩ CREDITS : liloo59 Ҩ MESSAGES : 1074 | Sujet: Re: La Légende la précédé, le Noble est arrivé... Jeu 27 Jan - 22:10 | |
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| | | f o n d a je veux bien faire la belle, mais pas dormir au bois... ★ je suis C. Avery P-Hastings
Ҩ QUARTIER : - Ҩ CREDITS : enjoy, silly love & tumblr Ҩ MESSAGES : 2348 | Sujet: Re: La Légende la précédé, le Noble est arrivé... Ven 28 Jan - 20:25 | |
| Fiche validée Léooooooo chériiiiiii :004: :005: Bon tu connais la maison donc tu sais ce qu'il te reste à faire (a) Flemmarde ? Moi ? Non (a) |
| | | ★ je suis Leonardo de Medici
Ҩ QUARTIER : Westside & Conseil Ҩ CREDITS : liloo59 Ҩ MESSAGES : 1074 | Sujet: Re: La Légende la précédé, le Noble est arrivé... Ven 28 Jan - 20:28 | |
| Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii :005: |
| | | ★ je suis Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: La Légende la précédé, le Noble est arrivé... | |
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| | | | La Légende la précédé, le Noble est arrivé... | |
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